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MessagePosté: Lun Octobre 10, 2005 20:49 
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Re-bonjour tout le monde! (vous m'aviez manqués, vous savez :wink: )

Dans tous les cas, je pense qu'il est primordial de s'informer de la situation. Et non de regarder le journal de 20h pour se faire une idée.
Si je les écoute, je voterai non.
Mais c'est comme tout, il ne faut pas être crédule, ne pas se fier à ce que certains disent mais se faire une idée personnelle en recueillant le max d'infos disponible.

Je n'ai pas encore d'avis tranché sur la question, mais je pense malheureusement que le NON risque de passer sans pour autant avoir été réfléchi, tout comme ça l'a été pour le referendum sur la constitution européenne.
Et ne nous voilons pas la face, la situation religieuse de la Turquie jouera beaucoup sur le vote des Francais.

M'enfin, je continuerai à lire vos posts avec grand intérêt pour ne pas faire d'erreurs lors de mon vote.

Zetman's back for good !

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MessagePosté: Lun Octobre 10, 2005 21:37 
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LightMaul a écrit:
Dionysos a écrit:
- armée européenne inexistante


Il existe l'EuroCorps qui est l'armée Européenne , si on peux appeler ça une armée, elle n'est pas encore très développé mais elle devrait l'être d'ici plusieurs année ;-) .


On n'a pas besoin d'une armée..


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MessagePosté: Lun Octobre 10, 2005 22:03 
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DarkSide a écrit:

On n'as pas besoin d'une armée..


Oui t'as raison, et pas besoin non plus de la police et de la gendarmerie... on va tout casser et chanter "God save the queen"


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MessagePosté: Mar Octobre 11, 2005 00:19 
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Inscription: Mer Juillet 06, 2005 03:20
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DarkSide a écrit:
On n'as pas besoin d'une armée..


Une armée est aussi importante qu'un gouvernement, qu'une autorité. Je regrette même qu'en France on ait aboli le service militaire même si franchement ça me dérange pas de ne pas l'avoir fait. L'Europe a besoin d'une armée de métier, expérimentée, développée et efficace, plus une armée de conquête, d'invasion, d'agression non, mais au moins une armée de défense. Il ne manquerait plus qu'il n'y ait plus de militaires en Europe qui ne doit aujourd'hui sa force qu'à son argent et justement, à son matériel militaire. Sans son argent et son matériel militaire (comme les USA d'ailleurs aussi), l'Europe aurait déjà sombré.

Un pays sans armée, sans autorité, sans gouvernement, c'est une utopie qu'on pourrait appeller l'anarchie, donc une utopie absolument irréalisable et dont les rares tentatives ont été vouées à l'échec en peu d'années.


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MessagePosté: Mar Octobre 11, 2005 05:35 
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DarkSide a écrit:
LightMaul a écrit:
Dionysos a écrit:
- armée européenne inexistante


Il existe l'EuroCorps qui est l'armée Européenne , si on peux appeler ça une armée, elle n'est pas encore très développé mais elle devrait l'être d'ici plusieurs année ;-) .


On n'as pas besoin d'une armée..


L'armée n'est pas seulement pour faire la Guéguerre, c'est aussi pour aider les populations lors de catastrophes naturelles ou autres désastres .


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MessagePosté: Mar Octobre 11, 2005 07:14 
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Si la Poste devient privée c'est de la faute à l'Europe, d'ailleurs c'est dans vraiment pas longtemps. Chevalier Baran a raison.


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MessagePosté: Mar Octobre 11, 2005 07:24 
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Ce n'est pas "la faute de l'Europe", mais la conséquence des accords communs, qui font partie d'une orientation choisie (librement, c'est important) par, entre autres, notre pays.

Ce n'est pas "la faute" de l'europe, mais des élus que vous avez fait accéder au pouvoir depuis quelques dizaines d'années.


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MessagePosté: Mar Octobre 11, 2005 08:22 
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LightMaul a écrit:
Si l'UE n'avait jamais existée, "l'amitié franco-allemande" n'aurait peut-être jamais existée :( et nous serions peut-être à l'aube d'une nouvelle guerre.


Je pense qu'il faut rappeler que c'est l'industrie, donc l'économie qui a permis le rapprochement de la France et de l'Allemagne, et non l'Union européenne.
L'UE est la résultante de plusieurs années d'échanges économiques au sein de la CECA (Communauté Européenne du Charbon et de l'Acier) créée en 1951, elle comprenait la France, l'Allemagne, la Belgique, l'Italie, le Luxembourg, et les Pays-bas.
En 1957, deux traités sont signés à Rome, créant la Communauté Européenne de l'Energie Atomique (CEEA ou Euratom) ainsi que la Communauté Economique Européenne (CEE).
De ces trois communautés naissent le parlement européen, et s'en suit la création de l'UE, en simplifiant bien sûr.

C'est donc bien le rapprochement de l'Allemagne et de la France dans l'économie du charbon et de l'acier qui à permis la création de l'Europe, et non l'inverse.


Pour la privatisation, je pense que c'est tout à fait logique dans un système capitaliste qui se décentralise, mais la privatisation ne signifie pas que l'état n'a plus son mot à dire. Il reste en partie propriétaire de ces grandes industries, mais ne les administres plus, c'est tout.

En fin de compte, l'Europe s'est créée suite à un rapprochement économique, et je pense que c'est la voie de l'Europe, l'économie. Il parait donc logique que tout soit fait pour encourager l'économie et la croissance par des aides Européennes et des privatisations de secteurs publics.


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MessagePosté: Mar Octobre 11, 2005 11:38 
attila a écrit:
DarkSide a écrit:
On n'as pas besoin d'une armée..


Une armée est aussi importante qu'un gouvernement, qu'une autorité. Je regrette même qu'en France on ait aboli le service militaire même si franchement ça me dérange pas de ne pas l'avoir fait. L'Europe a besoin d'une armée de métier, expérimentée, développée et efficace, plus une armée de conquête, d'invasion, d'agression non, mais au moins une armée de défense. Il ne manquerait plus qu'il n'y ait plus de militaires en Europe qui ne doit aujourd'hui sa force qu'à son argent et justement, à son matériel militaire. Sans son argent et son matériel militaire (comme les USA d'ailleurs aussi), l'Europe aurait déjà sombré.

Un pays sans armée, sans autorité, sans gouvernement, c'est une utopie qu'on pourrait appeller l'anarchie, donc une utopie absolument irréalisable et dont les rares tentatives ont été vouées à l'échec en peu d'années.


l'Europe a surtout besoin d'une armée de projection capable d'intervenir dans n'importe quel point du globe pour venir en assistance à des populations en proie à des guerres civiles notamment. Or, aucun pays européen à lui seul ne peut envoyer des contingents suffisants, il faut regrouper le matériel de projection entre les pays européens et construire des gros porteurs entre plusieurs pays pour diviser la facture. C'est le seul moyen de ne pas laisser les EU comme seul gendarme du monde...


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MessagePosté: Mar Octobre 11, 2005 13:02 
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Inscription: Mer Juillet 06, 2005 03:20
Messages: 265
Angel a écrit:
attila a écrit:
DarkSide a écrit:
On n'as pas besoin d'une armée..


Une armée est aussi importante qu'un gouvernement, qu'une autorité. Je regrette même qu'en France on ait aboli le service militaire même si franchement ça me dérange pas de ne pas l'avoir fait. L'Europe a besoin d'une armée de métier, expérimentée, développée et efficace, plus une armée de conquête, d'invasion, d'agression non, mais au moins une armée de défense. Il ne manquerait plus qu'il n'y ait plus de militaires en Europe qui ne doit aujourd'hui sa force qu'à son argent et justement, à son matériel militaire. Sans son argent et son matériel militaire (comme les USA d'ailleurs aussi), l'Europe aurait déjà sombré.

Un pays sans armée, sans autorité, sans gouvernement, c'est une utopie qu'on pourrait appeller l'anarchie, donc une utopie absolument irréalisable et dont les rares tentatives ont été vouées à l'échec en peu d'années.


l'Europe a surtout besoin d'une armée de projection capable d'intervenir dans n'importe quel point du globe pour venir en assistance à des populations en proie à des guerres civiles notamment. Or, aucun pays européen à lui seul ne peut envoyer des contingents suffisants, il faut regrouper le matériel de projection entre les pays européens et construire des gros porteurs entre plusieurs pays pour diviser la facture. C'est le seul moyen de ne pas laisser les EU comme seul gendarme du monde...


8) Nous sommes d'accord... bien que je préfèrerais une Europe comme seule "gendarme" que les USA qui façonnent le Monde à leur manière depuis trop longtemps déjà et qui font pire que bien.


"Si vis pacem, para bellum..." ("Si tu veux la paix, prépare la guerre...") :twisted:


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MessagePosté: Mar Octobre 11, 2005 13:43 
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Inscription: Sam Mai 14, 2005 21:59
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Bon, autant remettre les pendules à l'heure : nous avons dû intervenir plusieurs fois au sujet de ce topic.

Merci de rester dans le strict contexte de la discussion, en respectant aussi bien les membres que ceux dont il est question dans le débat.
Pour rappel, un sujet à caractère potlitique comme celui-ci n'aurait même pas dû rester ouvert (cf règlement du forum), alors montrez-nous que nous avons eu raison de le laisser...

Dernier avis avant verrouillage.

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"Je suis nul en orthographe", ce n'est pas une excuse !


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MessagePosté: Mar Octobre 11, 2005 14:04 
Je ne vois pas en quoi une réflexion globale sur l'Union européenne et ses institutions ainsi que ses perspectives représentent un HS mais bon... :roll:

Je trouve qu'au contraire les arguments de chacun sont constructifs et permettent une réflexion. Enfin le verrouillage a tendance à devenir systématique ces temps-ci... :?


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MessagePosté: Mar Octobre 11, 2005 14:21 
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Inscription: Sam Mai 14, 2005 21:59
Messages: 1749
Localisation: Drôme, France
Non, Angel, nous sommes intervenus en supprimant certains messages agressifs et par mp, c'est pour cela que ça ne transparaît pas dans le topic.

Mais nous ne sommes pas là non plus pour faire le ménage et nous nous cantonnons parfois à ça, sans même pouvoir profiter d'un bon moment sur le forum.

Bon sang, nous sommes tous adultes, ou presque tous, il est possible de se parler sans se sauter à la gorge, comme des gens civilisés... Ce que tout le monde ne fait pas.

Nous ne prenons pas un plaisir particulier à verrouiller, mais parfois il n'y a pas d'autres options.

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MessagePosté: Mar Octobre 11, 2005 15:14 
Le problème c'est que tout le monde ne voit pas que des posts sont supprimés et qu'ensuite des sujets sont verrouillés, celà engendre un problème de compréhension pour tous.
Il faudrait sans doute dire dans un message visible par tous à qui l'avertissement est valable, afin que tout le monde ne se sente pas visé, ce serait à mon sens générateur de plus de clarté dans les topics. :wink:

Bon sur ce revenons à nos moutons turcs ! :lol:


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MessagePosté: Mar Octobre 11, 2005 17:56 
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Inscription: Sam Mai 22, 2004 21:05
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Citation:
Oui t'as raison, et pas besoin non plus de la police et de la gendarmerie... on va tout casser et chanter "God save the queen"


Je vais t'apprendre quelque chose, c'est pas l'armée francaise qui fait la loi, c'est justement la police et la gendarmerie (même si elle fait aussi partie de l'armée)...

Citation:
Une armée est aussi importante qu'un gouvernement, qu'une autorité. Je regrette même qu'en France on ait aboli le service militaire même si franchement ça me dérange pas de ne pas l'avoir fait. L'Europe a besoin d'une armée de métier, expérimentée, développée et efficace, plus une armée de conquête, d'invasion, d'agression non, mais au moins une armée de défense. Il ne manquerait plus qu'il n'y ait plus de militaires en Europe qui ne doit aujourd'hui sa force qu'à son argent et justement, à son matériel militaire. Sans son argent et son matériel militaire (comme les USA d'ailleurs aussi), l'Europe aurait déjà sombré.


Oui, faisons une ptite guerre pour relancer l'économie. Tiens on pourrait envahir le Venezuela y'a du pétrole!!!

Citation:
Un pays sans armée, sans autorité, sans gouvernement,


J'ai pas parlé d'autorité ou de gouvernement

Citation:
L'armée n'est pas seulement pour faire la Guéguerre, c'est aussi pour aider les populations lors de catastrophes naturelles ou autres désastres .


Exactement, mais pas besoin d'avoir une armée pour pouvoir faire ça.

Citation:
l'Europe a surtout besoin d'une armée de projection capable d'intervenir dans n'importe quel point du globe pour venir en assistance à des populations en proie à des guerres civiles notamment


Ah ces européens, tellement altruistes !


Citation:
"Si vis pacem, para bellum..." ("Si tu veux la paix, prépare la guerre...")


Mouais, c'est bof comme idéologie...


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MessagePosté: Mar Octobre 11, 2005 19:10 
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Si je dois voter un jour OUI pour l'Europe, ce sera certainement pas pour posséder une jolie armée, encore moins pour ressembler aux Etats-Unis. Car si l'Europe a pour ambition entre autres de concurrencer les States, quelque part on va forcément les copier et devenir comme eux, se prendre pour des tout-puissants. Et ça non merci.

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Heureux les imbéciles...


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MessagePosté: Mar Octobre 11, 2005 19:29 
Dionysos a écrit:
DarkSide a écrit:

On n'as pas besoin d'une armée..


Oui t'as raison, et pas besoin non plus de la police et de la gendarmerie... on va tout casser et chanter "God save the queen"


J'avoue que cette perspective me plaît au plus haut point.

Pour revenir à ce que j'ai dit plus haut et répondre à Dark, je parlais du chômage pour caricaturer, mais ce que je veux dire, c'est qu'avant d'aider des pays en les faisant venir dans l'Europe réglons nos propres problèmes.


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MessagePosté: Mar Octobre 11, 2005 22:38 
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Justement Dead, l'Europe à moyen terme peut être une solution pour nos problèmes. Je pense que c'est ce que nos dirigeants essaient de mettre en place.

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Ne cliquez pas ici : http://s1.bitefight.fr/c.php?uid=37372


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MessagePosté: Mer Octobre 12, 2005 08:46 
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Localisation: Somewhere in the 21st century...
Citation:
c'est qu'avant d'aider des pays en les faisant venir dans l'Europe réglons nos propres problèmes.


L'entrée du Portugal était-elle une erreur, dans ce cas ? Tu ne crois pas que ça a pu aussi avoir des effets positifs ?

Et puis même si (car je le conteste) ça n'était pas positif pour nous, est-ce une raison pour ne pas le faire ? Pourquoi ton petit bonheur serait-il si important, pourquoi on ne pourrait pas aussi, comme ça, sans trop savoir pourquoi on a eu cette idée particulièrement stupide, essayer d'aider les autres ?

(Je ne dis pas que je suis pour l'entrée de la Turquie, je dis que cet argument ne me plaît pas du tout...)


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MessagePosté: Mer Octobre 12, 2005 09:48 
Citation:
Justement Dead , l'europe à moyen terme peut être une solution pour nos problèmes. Je pense que c'est ce que nos dirigeants essaient de mettre en place.



Ils essaient surtout de trouver le moyen de s'en mettre encore plus dans les poches :lol: .


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MessagePosté: Mer Octobre 12, 2005 11:14 
Pour :

2% de son territoire fait partie de l'Europe ?

Et après ? Les frontières, l'Europe, et cie, c'est de la gnognotte... Inventé, alors.... Mauvais argument !

Le génocide arménien ?

La France a-t-elle avoué ses génocides sur le continent africain ? Les trafics d'armes etc... Personne n'est tout blanc ou tout noir...

Les droits de l'homme ? La peine de Mort ?

30 ans en arrière la peine de mort existait encore ici... En France, il y a je ne sais combien de morts par an dans le milieu carcéral, j'en passe et des meilleures... Les viols, femmes battues, prostitution, racket etc... On ne vit pas dans le pays de candy.

Parce que c'est un pays pauvre ?

Pourquoi est il pauvre ? A cause de quoi ? Ou de qui ?

Avant de critiquer on se doit d'être irréprochable...

Et puis ce sont de faux arguments, à mes yeux.

--------------------------------

Pour, car ça fait un pont au travers de l'Asie, sa position géographique (économie), jouer le role de plaque tournante, sa culture.

Pour, car il faut arrêter avec cette fracture Europe/Afrique/Asie, riche/pauvre.

Pour, car ça les pousserait vers le haut (enfin c'est relatif hihi parce que bon, en attendant, le libéralisme pousse les riches vers le haut...).


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MessagePosté: Mer Octobre 12, 2005 11:57 
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Bambou, désolé de te dire que le monde dans lequel tu vis n'est pas régi par la sagesse ou l'intégrité, mais par la politique.
Les différentes raisons évoquées, mêmes si elles te paraissent injustes, sont pourtant bien réelles. Ce sont ces raisons qui font les difficultés de la Turquie à intégrer l'Europe.
Ce n'est pas en poussant un coup de gueule contre la France ou ses exactions que la machine va avancer.
La France fait déjà partie de l'Europe, son procès n'est plus à faire.
On parle ici de la Turquie, donc seule la loi actuelle effective en Turquie doit être prise en compte.
Et aussi, c'est bien la loi qui se doit d'être conforme avec la réglementation européenne, non pas l'application de la loi.

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MessagePosté: Mer Octobre 12, 2005 12:31 
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chevalierdelombre a écrit:
Citation:
c'est qu'avant d'aider des pays en les faisant venir dans l'Europe réglons nos propres problèmes.


L'entrée du Portugal était-elle une erreur, dans ce cas ? Tu ne crois pas que ça a pu aussi avoir des effets positifs ?


Bien qu'on ne puisse pas comparer un petit pays de 10 000 000 d'habitants en ce qui concerne le Portugal (beaucoup moins étendu et malgré tout, toujours assez pauvre 20 ans après son entrée dans l'UE) avec un grand pays comme la Turquie comportant actuellement près de 72 000 000 d'habitants. Une population turque en constante augmentation avec un taux de fécondité qui n'est pourtant pas extraordinaire (2,43 enfants par femme), passant de moins de 30 000 000 d'habitants au début des années 60 à plus de 70 000 000 actuellement. Les Turcs seront autour de 90 000 000 en 2025, soit le pays le plus peuplé de l'Union européenne à moins d'une nouvelle vague d'immigration massive en Europe occidentale pour combler le vieillissement de la population.

Mais je reste favorable à une entrée de la Turquie. Mais d'abord occupons-nous des nouveaux entrants, de pacifier les Balkans et de s'occuper de l'Albanie. Mais étant donné que l'intégration de la Turquie a plus des raisons économiques pour pas dire capitalistes, il est urgent de l'intégrer, plus urgent que de s'occuper de pays en plein coeur de l'Europe qui n'apporteront pas de bénéfices importants à l'économie euro-américaine.


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MessagePosté: Mer Octobre 12, 2005 12:35 
Justement, je remet là en question le monde dans lequel on vit, le systeme que nous subissons...

On me demande si je suis pour ou contre, je reponds avec mes arguments..

Je ne pretends pas me mettre à la place des politiciens.

Et les raisons évoquées par eux ne me paraissent non pas injustes, mais, excusez moi du terme, complétement connes...

Pour reprendre la référence d'armoria je crois, qui parle du gars qui tombe de l'immeuble et qui se dit jusqu'ici tout va bien, jusqu'ici tout va bien, etc...

A la fin il est dit que l'important, c'est pas la chute, mais l'aterrissage.


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MessagePosté: Mer Octobre 12, 2005 13:05 
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Inscription: Sam Mai 14, 2005 21:59
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Juste au cas où, et pour ceux qui n'auraient pas lu les autres pages, cette citation ne concernait pas le fond de la discussion, mais la forme...
Je n'ai pas donné mon avis et ne le donnerai pas. :wink:

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MessagePosté: Mer Octobre 12, 2005 13:25 
Hihihi.

Mais cette citation (tirée de "La Haine" de Mathieu kassovitz, un de mes films préférés qui plus est) est tellement forte de sens.


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MessagePosté: Mer Octobre 12, 2005 17:11 
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Inscription: Ven Juin 27, 2003 18:19
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Hello,

Ce topic me conforte dans l'idée que nous ne sommes pas super qualifiés pour répondre à ce genre de questions très complexes. Pour comprendre les enjeux, il faudrait idéalement avoir une connaissance étendue de l'histoire de l'Europe, de la Turquie, de l'économie actuelle, et dans un grand nombre de disciplines... C'est comme pour le référendum sur l'Europe. Qui avait réellement ne serait-ce que lu le texte en essayant de le comprendre ? Je pense que ce genre de décision (sur l'entrée de la Turquie en Europe) est trop complexe pour être laissée dans nos mains. C'est exactement pour ça qu'on élit des représentants du peuple et des députés: c'est leur métier d'étudier les dossiers, de se renseigner sur les enjeux...

A priori, je suis pour, mais en fait je ne me sens absolument pas qualifié pour répondre. Je suis pour, mais c'est un sentiment qui n'est pas rationnel, même si je tentais de le justifier par des arguments rationnels choisis. Les gens qui sont pour ont tendance à ne voir que les bons côtés de l'Europe, les gens qui sont contre, les mauvais côtés. Beaucoup pensent à la Turquie en fonction de stéréotypes choisis qui sont véhiculés par les politiques qui doivent "vendre" leurs idées aux votants. Certains politiques véhiculent la peur de l'islamisation et de l'appauvrissement, de la libéralisation commerciale, des délocalisations, mais occultent le fait que les 60 années de paix connues depuis la création de l'Europes n'ont pas de précédent en 2000 ans d'histoire. A l'époque, à la sortie de la 2e guerre mondiale, certains visionnaires avaient fait le pari que les rapports commerciaux avec des règles communes seraient plus importants que les velléités guerrières et c'est un pari on ne peut plus gagné. C'est sur ces bases que les républiques de l'ancienne Yougoslavie veulent intégrer l'Europe. L'entrée de la Turquie en Europe pourrait permettre de faire tomber les tensions historiques avec la Grèce. Nous sommes devant une possibilité de changement. Aucun changement ne se fait sans une certaine part de risque calculé et tout changement, surtout à cette échelle, prend du temps. Ce que l'on dit de la Turquie, ce n'est rien à côté de ce que l'on disait des allemands et des italiens dans les années 40-50.

Globalement, l'Union Européenne a profondément changé les pays européens, et à mon avis, les avantages dépassent largement les inconvénients. L'Europe facilite les échanges commerciaux entre pays adhérents, et de façon plus limitée, avec les pays non-adhérents qui ont des accords privilégiés (Israël, Norvège, Islande, pays du Maghreb, ...).

Personnellement, j'envisage la diversité comme une richesse et une chance, pas comme une division. Bien entendu, il faut avancer en mesurant autant que possible les conséquences de nos actes, mais je crois qu'il faut se renseigner au-delà de nos préjugés avant de laisser nos peurs nous dicter notre conduite.

Yann

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MessagePosté: Mer Octobre 12, 2005 17:31 
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Inscription: Ven Juin 27, 2003 18:19
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Dead,

Citation:
... mais ce que je veux dire, c'est qu'avant d'aider des pays en les faisant venir dans l'Europe réglons nos propres problèmes.


Nos propres problèmes ne seront jamais réglés pour la simple et bonne raison que la plupart de ces problèmes dépendent des problèmes du reste du monde. Aider des pays à résoudre certains de leurs problèmes est une façon de régler nos problèmes aussi. Du moins, c'est l'objectif, et comme le souligne Chevalier de l'Ombre, c'est plutôt pas mal jusqu'à maintenant, avec le Portugal (mais aussi l'Espagne et la Grèce qu'on nous montrait comme des épouvantails à l'époque).

Et puis, il ne faut pas rêver, il n'existe aucun endroit au monde où les problèmes sont "réglés". L'Europe est un espoir d'amoindrir les différences de niveaux de vie entre les pays. Cela ne va pas sans difficultés mais il faut voir sur le long terme et pas juste pour notre génération..

Yann

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MessagePosté: Mer Octobre 12, 2005 21:10 
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Localisation: Somewhere in the 21st century...
Désolé, c'est un peu long, mais c'est passionnant :

Citation:
Au terme d’une longue gestation, les négociations d’adhésion d’Ankara à l’Union européenne se sont enfin engagées.

Le 3 octobre, juste avant minuit, heure de Londres... Harassé mais heureux, Jack Straw, le ministre britannique des Affaires étrangères, peut se targuer d'avoir rempli sa mission. C'est en effet sous les auspices du Royaume-Uni, qui assure la présidence tournante de l'Union européenne (UE), que les négociations d'adhésion de la Turquie peuvent enfin s'engager. La portée historique de l'événement a failli passer inaperçue tant on aura frôlé le pire. Jusqu'au dernier moment, les Britanniques auront ferraillé pour rapprocher des positions inconciliables, allant jusqu'à solliciter ce qu'ils voulaient précisément éviter : une intervention des Américains dans des affaires strictement européennes.
Jusqu'au dernier moment, alors que les réticences françaises, grecques et chypriotes s'étaient tues, les Autrichiens, dont l'opinion est de loin la plus hostile à la candidature d'Ankara (80 %, contre 52 % dans l'ensemble de l'UE), se seront livrés à une résistance acharnée. Côté turc, où la pression nationaliste est forte, notamment sur la question chypriote, et où la population, lasse d'essuyer des rebuffades, porte de moins en moins l'UE au pinacle, on faisait aussi monter les enchères. Le ministre des Affaires étrangères Abdullah Gül menaçait de ne pas prendre l'avion pour Luxembourg tant qu'un accord n'était pas trouvé. Et Premier ministre Recep Tayyip Erdogan fustigeait, devant les cadres de son parti, réunis à Kizilcahamam, à 80 kilomètres d'Ankara, « l'immaturité » d'une UE réduite à un « club chrétien ».

Déjà, le 29 septembre, les ambassadeurs des États membres n'avaient pu s'entendre sur le cadre et les principes directeurs des négociations d'adhésion. Réunis en session extraordinaire le 2 octobre, les ministres des Affaires étrangères de l'UE se sont à leur tour retrouvés confrontés à un remake du siège de Vienne de 1683, les Autrichiens (catholiques) continuant, seuls et contre tous, à tenir tête aux Turcs (musulmans et... ex-sujets ottomans) !

Au plus fort de la bataille, la Turquie a obtenu des États-Unis des garanties pour sa sécurité, et l'Autriche une concession de taille de ses partenaires européens sur le dossier croate. Soumis à la pression de son armée, le gouvernement turc s'inquiétait en effet de voir figurer, dans le mandat de négociation, un article susceptible de permettre à la République de Chypre d'adhérer à l'Otan. L'impasse fut telle que les Britanniques durent, au risque d'irriter les autres États membres, appeler Washington à la rescousse. Seul un énergique coup de fil de la secrétaire d'État Condoleezza Rice au Premier ministre turc et au président chypriote est parvenu à convaincre Ankara d'accepter l'accord. Lors de leur entretien téléphonique, Rice a confirmé à Erdogan qu'il n'y avait aucun lien entre les processus d'adhésion à l'UE et à l'Otan et, qu'en outre, Nicosie ne demanderait pas à intégrer cette organisation.

L'Autriche, elle, a fini par arracher à ses partenaires européens une ouverture de négociations d'adhésion à l'UE pour son alliée, la Croatie. Cette dernière avait été recalée en mars dernier pour son manque de coopération avec le Tribunal pénal international pour l'ex-Yougoslavie (TPIY) à qui elle refusait de livrer l'un de ses ressortissants, le général Ante Gotovina, accusé de crimes contre l'humanité. Les Européens, qui s'étaient jusque-là refusés à lier les dossiers turc et croate, ont fini par s'incliner, le 3 octobre, en prenant connaissance du rapport de Carla Del Ponte. Dans ce texte, qui tombait à point nommé, l'intraitable procureur du TPIY s'est montrée, contre toute attente, très élogieuse à l'égard de Zagreb...

Une fois ces apparences - à peu près - sauves, l'Autriche a pu lâcher du lest sans perdre la face. Elle a enfin cessé d'exiger que l'accord du 3 octobre mentionne une « solution alternative » à l'adhésion au cas où la Turquie ne remplirait pas tous les critères que l'on attend d'elle. Ainsi, le gouvernement turc, dont l'opinion aurait rejeté avec rage une « solution alternative » ou un simple « partenariat privilégié », a pu, la tête haute, présenter à son pays un texte stipulant que « l'objectif commun des négociations est l'adhésion ».

Côté européen, on s'est prémuni en précisant qu'il s'agit d'un « processus ouvert dont l'issue ne peut être garantie à l'avance » et, qu'en cas d'échec, la Turquie devra être « pleinement ancrée dans les structures européennes par le lien le plus fort possible » sans que ce lien soit clairement défini. Pas davantage, d'ailleurs, que les « capacités d'absorption » de l'Union, qui devront être évaluées au moment de l'entrée d'Ankara dans le « club ».

Pour montrer qu'il a bien compris la règle du jeu, le Premier ministre Erdogan s'est gardé de céder à l'euphorie et a déclaré que le plus dur restait à accomplir. Il sait qu'on attend de son gouvernement l'adoption d'un grand nombre de réformes (économiques, sociales et politiques), ainsi que leur application concrète, qui laisse souvent à désirer, notamment en matière de respect des droits de l'homme, des minorités ou de liberté d'expression. L'accord du 3 octobre précise d'ailleurs que les négociations pourront être interrompues en cas de « violation grave et persistante » de ces principes.

Erdogan sait aussi qu'on attend de son pays des gestes diplomatiques : l'application de l'accord de libre-échange (et donc l'ouverture de ses ports et de ses aéroports) à la République de Chypre, et, à terme, la reconnaissance de cet État dans le cadre d'une solution négociée. Ou encore la reconnaissance du génocide arménien de 1915, obstinément nié depuis des décennies. Sur le premier point, le gouvernement turc promet une très prochaine initiative de Kofi Annan, le secrétaire général des Nations unies. Sur le second, comme l'a démontré la tenue, en septembre, à Istanbul, d'une conférence internationale sur « la question arménienne », on s'achemine, bien que timidement et très lentement, vers un réexamen critique de l'histoire officielle et vers la levée d'un tabou.

Mais si Abdullah Gül estime déjà que « d'ici à dix ans, la Turquie sera un tout autre pays », il ne pourra plus se contenter de le promettre. Il faudra le prouver, en conformant la législation nationale à « l'acquis communautaire ». Pendant plusieurs mois, les Vingt-Cinq passeront au crible trente-cinq chapitres, allant de la liberté de circulation des biens et des personnes à la culture, ou de la sécurité alimentaire à la politique étrangère. Ces chapitres ne seront refermés qu'une fois tous les objectifs atteints et pourront être réexaminés à tout moment en cas de manquements. L'examen des deux premiers, « Science et recherche » et « Éducation et culture », débutera les 20 et 26 octobre.

La vision stratégique d'une Europe ouverte sur le monde l'a emporté sur les enjeux de politique intérieure et les arrière-pensées électorales. Mais la multiplication des conditions posées à la Turquie, l'âpreté des discussions et la valse-hésitation du président français Jacques Chirac (d'abord partisan de la candidature turque, puis réticent après l'échec du référendum sur la Constitution européenne, et redevenu son champion depuis le 3 octobre) laisseront des traces. Elles devraient continuer à peser tout au long du processus d'adhésion de la Turquie, c'est-à-dire pendant dix à quinze ans... Et même dès janvier 2006, puisque ce sera alors au tour de l'Autriche d'assurer la présidence de l'Union. La visite à Ankara du commissaire européen à l'Élargissement, Olli Rehn, devrait, du moins dans l'immédiat, mettre du baume au coeur des Turcs. Lesquels ont déjà fait savoir qu'ils comptaient bien conquérir celui des Européens.


(source :jeuneafrique.com)

En gros : dire non Ankara pour ce qu'elle est, n'est ce pas refuser de croire qu'elle puisse évoluer ?


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MessagePosté: Jeu Octobre 13, 2005 01:01 
axolotl_requiem a écrit:
Hello,

Ce topic me conforte dans l'idée que nous ne sommes pas super qualifiés pour répondre à ce genre de questions très complexes. Pour comprendre les enjeux, il faudrait idéalement avoir une connaissance étendue de l'histoire de l'Europe, de la Turquie, de l'économie actuelle, et dans un grand nombre de disciplines... C'est comme pour le référendum sur l'Europe. Qui avait réellement ne serait-ce que lu le texte en essayant de le comprendre ? Je pense que ce genre de décision (sur l'entrée de la Turquie en Europe) est trop complexe pour être laissée dans nos mains. C'est exactement pour ça qu'on élit des représentants du peuple et des députés: c'est leur métier d'étudier les dossiers, de se renseigner sur les enjeux...



Yann


Pas d'accord avec toi...

Nous sommes en mesure de pouvoir décider ce qui est bon ou pas, je pense..

Mais notre décision dépendra de plusieurs facteurs qui diffèrent selon les individus...

Et pour reprendre la phrase d'un chanteur (rockin squat pour ne pas le citer)

" si tu ne t'occupes pas de politique, la politique s'occupe de toi"

Je n'aime personnellement pas l'idée que l'on choisisse à ma place.

Pour l'Europe, le non a été médiatisé comme un pied de nez à la politique du gouvernement... Pour les régionales peut-être... Mais pas pour l"Europe, même si les médias en ont décidé autrement.

Certaines clauses de cette constitution allaient à l'encontre des libertés, à l'encontre du minimum social entre autres.


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