Les japonais, j'ai bien l'impression qu'ils se croient tous sortis de la cuisse de Jupiter. Ils n'aiment pas les américains, je crois deviner pourquoi, mais je pense que les américains ont de trés bonnes raisons de ne pas les aimer non plus (bon attention de ne pas dériver dans la politique) jusqu'à présent il s'agit d'un contexte historique pénible que nous connaissons tous.
j'ai eu l'occasion dans mon job de fréquenter les japonais de prés (pas les japonaises
), alors voici des anecdotes.
Lors d'une discussion professionnelle avec un jap par l'intermédiaire une interprète belge, voilà tout-à-coup (qu'elle mouche le pique ?) que le jap décide que ma serviette soi-disant identique à la sienne est SA serviette qu'il vient d'égarer. Voilà le gars qui se rue sur ma serviette et veut se l'accaparer (authentique) en vociférant en japonais.
Comme je ne suis pas du genre à laisser piquer MA serviette même par une armée de Samouraï féroces, je vous laisse deviner l'ambiance et le tableau, on est passé à un cheveu de la guerre
, finalement excédé, j'ai failli botter le c** du jap et l'interpète me dit, "mais enfin ils sont gentils les japonais", oui mais pas celui-là et ma réponse à été "le 07 décembre 1941 (pearl Harbor) ils étaient gentils aussi"...entretien terminé.
Alors, je ne parle pas des bureaux d'études japonais, chez nous c'est sympa, on bosse décontracté, on peut faire un bon travail même avec le sourire comme des potes. Chez les jap cela ressemble à une veillée funèbre, pas de sourire, pas une mimique, réellement des robots, des visages de cire, cinq minutes là dedans et on dijoncte, qu'elle mentalité.
Une autre fois, je rentre dans un bureau (mais moi je n'ai rien à voir avec cette boîte), le big boss japonais était là (type amiral yamamoto, film de guerre japonais, il ne manque que les jumelles au cou), un pauvre petit employé japonais, à laissé une fenêtre ouverte dans la pièce.
Voilà, le big boss qui pique une crise monumentale
et bouffe (c'est le mot) l'employé qui se précipite sur la fenêtre pour la fermer et ensuite se fait passer de nouveau un cigare grand format et pendant que l'autre vocifère, l'autre n'arrête pas de faire des courbettes devant lui et bien sûr tout cela en japonais, j'ai crû me trouver dans un vieux film de guerre du genre Tora, Tora, Tora pour ceux qui l'on vu. Je signale tout de même que ce big boss à été extrêment correct avec moi et en français s'il-vous-plaît. Tu fais cela chez nous et tu as une armée de syndicalistes sur le dos et une grève par la même occasion.
Alors, j'ai appris une chose, c'est que l'on est mieux chez nous pour bosser que chez les japonais et je suis content d'être où je suis.