Bonjours/bonsoirs (Cela dépend de l'heure à laquelle vous lisez ce message).
J'ai déménagé depuis bientôt deux ans, dans une nouvelle maison, et je n'ai plus aucuns soucis.
Je vais donc vous raconter mon expérience la plus "flippante" que j'ai eu.
C'était il y a un an, j'étais dans le salon avec ma belle-mère, qui est très sensible aux esprits. Et elle m'as regardée en me disant "quelqu'un est passé", là, je la contredit en lui disant qu'il n'y a que nous deux, c'est alors qu'elle m'as répondue "pas quelqu'un de palpable". Et quelques secondes après, je sentais effectivement un courant d'air du à un déplacement dans mon dos.
Ce ne fut que le début d'une descente aux "enfers".
Apparitions de formes vaporeuses dans ma chambre et dans les autres pièces de la maison.
Mais, après quelques discutions avec Chris' (ma belle-mère), j’apprends que le mari de la dame qui nous louait la maison étais décédé dans la maison.
J'avais souvent sa "visite", qui se caractérisait par un souffle régulier, et une présence à mes côtés dans ma chambre. Je ne me sentais pas menacer, du moins, je pensais.
En effet, il y avait "quelque chose d'autre" dans cette maison. C'est là que tout c'est compliquer.
Ma chambre se trouvait au rez-de-chaussé, et il y faisait toujours très froid, même si l'on mettait le chauffage, l'air restait glacée, je dormais avec trois couvertures en hiver, et avec deux en été.
Dés que je rentrais dans ma chambre, je me sentais épié, observer, et surtout, mal à l'aise. J'entendais un rire étouffé, paraissant lointain, mais pourtant si proche.
Un jour, que nous étions dans le salon, la fenêtre intérieur (qui était un double-vitrage) dans les toilettes à exploser, alors qu'il n'y avait aucunes portes ouvertes.
Et un soir, alors que j'écoutais de la musique, la lueur de mon appareil mp4 éclairais assez pour que distingue ma chambre. Et quand j'ai posé mon regard sur mon bureau, qui étais au pied de mon lit, j'ai vue une ombre très grande, formant une personne d'environs 1m80, flotter et glisser vers mon lit. Plus elle avançais, plus je me santais menacer et en danger.
J'entendais une sorte de murmure m’appeler par mon prénom, et des pleures, des gémissements de douleurs, de plus en plus forts, quand l'ombre s'approchait de moi. J'ai garder les yeux ouverts, j'avais trop peur pour les fermer, je n'y arrivais pas.
Quand l'ombre s'est arrêté devant moi, j'ai suffoquée, je n'arrivais plus à respirer, je ne pouvait plus bouger. Une forme de main d'ombre s'est posé sur mon lit, puis l'ombre a disparue, en glissant vers l'endroit où elle étais venue.
Seulement, après qu'elle soit partie, je pu de nouveau respirer, je pleurais, j'ai eu trop peur pour sortir de mon lit, et j'ai passer la nuit, terrorisée dans ma chambre, recroquevillé sur moi-même. Quand le jour est apparu, j'ai courut dans le salon, au premier étage. Je ne me sentais pas bien, je ne sentais plus mon corps.
Je me suis endormie ensuite, devant la télévision, et mon frère m'as réveillé, j'étais sur le balcon, il m'as dit que j'avais marché bizarrement vers la terrasse, et que je me penchais sur la barrière. Il m'as expliqué que je faisait des bruits bizarres, des sortes de sons gutturales aigus.
Après, je n'ai plus jamais revue l'ombre d'aussi près, mais je savais qu'elle étais là, dans un coin de ma chambre, à me guetter, m'observer, se nourrissant de ma peur.
Maintenant que j'ai déménager, je vais beaucoup mieux, j'arrive à dormir sans problèmes, je n'ai pas revue d'ombres, je n'ai même pas ressentis un seul esprit. Mais je reste tout de même terrorisée à l'idée d'un jour, revoir cette ombre.
_________________ La co**erie, c'est la décontraction de l'intelligence. Alors, parfois, je me permets d'être con sciemment. Serge Gainsbourg
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