si on s'était alimenté des angoisses des unes et des autres les choses se seraient passées les unes après les autres et pas en même temps exemple ma soeur m'aurait dit que des objets avaient été déplacé chez elle, et le lendemain j'aurais ressenti des choses bizares puis après en avoir parlé à ma mère il lui serait arrivé des choses bizarres aussi alors que la non nous avons simplement regroupé nos récit sur ces évènements après qu'ils se soient passés
de plus, pour qu'il y ait hallucination collective, il faut déjà avoir certaines convictions sur le sujet propre de ce qu'on veut voir, qu'on est une envie profonde de voir cette chose
"Les hallucinations collectives sont des hallucinations sensorielles induites par la force de suggestion. Elles arrivent généralement dans des situations hautement émotionnelles, particulièrement parmi les dévots religieux. L'attente et l'espoir d'être témoin d'un miracle, combiné avec de longues heures d'observation d'un objet ou d'un lieu, rend certaines personnes religieuses sensibles aux visions telles que des statues qui pleurent, des icônes qui bougent et des portraits sacrés ou de la Vierge Marie dans les nuages.
Ceux qui sont témoins d'un "miracle" s'accordent dans leur compte-rendu hallucinatoire parce qu'ils ont les mêmes préconceptions et attentes. De plus, des comptes-rendus dissimilaires convergent vers un accord au cours du temps et des répétitions des comptes-rendus. Ceux qui ne voient rien d'extraordinaire et l'admettent sont écartés comme manquant de foi. Certains, sans doute, ne voient rien mais "plutôt que d'admettre leur échec…préfèrent simuler le cas de ceux qui ont vu, et finissent par croire qu'ils ont en fait observé ce qu'au début ils ne faisaient que prétendre avoir vu…." .
Toutes les hallucinations collectives ne sont pas religieuses, bien entendu. En 1897, Edmund Parish a rapporté que des collègues marins avaient aperçu tous ensemble le fantôme de leur cuistot, mort quelques jours auparavant. Les marins avaient non seulement aperçu le fantôme, mais l'avaient vu clairement marcher sur l'eau avec sa claudication habituelle et facilement reconnaissable. Leur fantôme s'avéra un "morceau d'épave, balotté de haut en bas par les vagues"
ensuite une simple hallucination se décrit comme suit :
"Des causes multiples
L'hallucination peut avoir des causes multiples : Intoxications par des drogues (psilocybine, LSD, PCP, mescaline, et dans une moindre mesure l'ecstasy), Pathologies psychiatriques (notamment les psychoses, comme la schizophrénie), Pathologies neurologiques : maladie de Parkinson, maladie des corps de Lewy diffus, atrophie multi-systématisée, paralysie supranucléaire progressive, Pathologies du sommeil : narcolepsie, Pathologies organiques (épilepsie, méningo-encéphalites infectieuses...). Spécifiques au sommeil
hallucinations hypnagogiques qui ont lieu au moment de l'endormissement hallucinations hypnopompiques qui ont lieu au réveil. Elles peuvent se produire alors que la personne est bien réveillée mais aussi dans un état intermédiaire comme au cours d'une paralysie du sommeil ce qui les rend particulièrement angoissantes pour la personne qui en fait l'expérience. Les hallucinations hypnopompiques ne se prolongent en général pas plus de quelques minutes après l'éveil complet. Classification des hallucinations
On classe les hallucinations en deux catégories : les hallucinations psychosensorielles et les hallucinations psychiques. Hallucinations psychosensorielles Elles sont objectivées par l’un des cinq sens : l’audition, la vue, le toucher, l’olfaction et le goût plus rarement. Ces perceptions erronées apparaissent au patient comme situées dans l’espace. Ces caractéristiques de sensorialité et de spatialité ajoutent à la conviction du patient. Les hallucinations auditives sont strictement les plus fréquentes. La personne peut entendre des sons simples, ... ou le plus souvent des « voix ». Il s’agit d’une ou de plusieurs voix. Leur thématique peut être en rapport avec un contenu délirant, souvent évidemment paranoïaque (persécution). Les voix peuvent commenter les actes ou les pensées du patient, et même converser entre elles... Ces mécanismes de la pensée irrationnelle sont catégoriquement à distinguer des « acouphènes » recensés par la médecine de l'audition. Il faut bien mesurer aussi que les processus de « double-pensée » (« je m'entends penser avant de parler ») émanent pour eux vraisemblablement de quelque chose de névrotique, et sont parfois d'ailleurs, en dépit de leur pénibilité, esquivables assez souvent par le sujet, dans un retour volontaire à la spontanéité (« je me fie à mon désir, en ce qu'il est positif », et non pas : « je réalise l'injonction préalable de l'automatisme »). Les hallucinations visuelles sont plus rares, simples ou complexes. Certaines sont assez typiques comme la vision d’animaux effrayants (zoopsies) dans le delirium tremens de l’alcoolique ou encore les hallucinations élaborées « lilliputiennes » du syndrome de Charles Bonnet Les hallucinations olfactives et gustatives sont encore plus rares. Les hallucinations tactiles sont de nature très diverse ; elles peuvent concerner tout ou partie du corps, être à type d’effleurement ou autre, avoir un contenu positif ou désagréable. Les hallucinations cénesthésiques concernent la sensibilité profonde, proprioceptive. Hallucinations psychiques Ce sont des perceptions dépourvues de spatialité et de sensorialité, contrairement aux précédentes. Il s’agit le plus souvent d’hallucinations psycho-verbales, voix intérieures qu’il est parfois difficile de distinguer de l’activité mentale propre du sujet." (wikipedia)
donc je ne vois pas en quoi on peut qualifier quoi que ce soit de mon récit d'hallucination...
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