Etoile du soir a écrit:
Ce que je m'explique mal, ce sont les problèmes oculaires et le nez qui coule, je comprends à la rigueur une allergie de type cutané. mais là, excusez moi, messieurs, mais je ne peux pas m'empêcher d'imaginer le pauvre type en pleine crise de rhume des foins après une éjaculation, qui normalement,
sauf acrobatie spéciale, ne doit pas atteindre le nez ni les yeux.

Je suppose que comme lors des cas d'allergies les plus graves, les effets ne sont pas limités à la seule zone de contact avec l'allergène mais ont des répercussions générales sur tous le corps...
divikernes a écrit:
Comment expliquer à mon père que je le rends malade depuis 19 maudites années ?
Les seuls moyens de pouvoir sauver l'homme de cette nouvelle maladie mortelle à pour nom : "Pince Burdizzo"
... Méthode qui ne s"utilise plus que sur les animaux, et jamais sur les humains à ma connaissance.
Et encore, seulement les plus gros (veaux, taurillons, agneaux...). Les porcelets, eux, ont moins de chance : on leur fait sauter les noyaux à vif, sans anesthésie générale, avec juste un couteau.
divikernes a écrit:
Je ne sais pas après s'il y a des médocs pour permettre la destruction des cellules de Sertolli responsable de la spermatogenèse. A moins qu'il y ait un moyen plus simple, comme détruire l'hormone FSH qui permet a ces cellules de Sertolli de faire la spermatogenèse.
Je suppose qu'il existe des moyens de castrer chimiquement un homme (en injectant un produit délétère dans les testicules, par exemple), mais je n'en ai aucun exemple à l'esprit.
La castration chimique - telle qu'elle est appliquée dans certains pays sur les criminels sexuels récidivistes - n'est pas un castration au sens strict : la personne prend simplement des médicaments hormonaux qui bloquent la production de testostérone, et donc inhibent la libido... Mais cela dit, les testicules restent intacts et la personne peut toujours techniquement avoir des rapports sexuels et procréer... Même si elle risque de ne pas en avoir très envie.
divikernes a écrit:
Et pour ceux qui ne veulent pas passer par la table d'opération il ne reste plus qu'à faire monter la température des testicules.
Je pense que l'infortuné aura des brûlures au 2ème ou au 3ème degré sur les testicules avant que cela n'arrive.

Autre solution : laisser faire
la délétion de la spermatogenèse amorcée depuis les années 50 et espérer faire parti des chanceux qui seront stériles faute d'avoir un sperme d'assez bonne qualité...
divikernes a écrit:
Nous on travaille pour se bâtir et elles ne font rien ! comme quoi la nature est injuste
Il n'empêche que sur le fond, ce sont quand même les femmes qui ont une voie pour chaque fonction (urinaire/reproductrice), alors que chez les hommes, tout se fait par la même voie au moyen d'un organe fragile - la prostate - qui est responsable du cancer le plus répandu chez les hommes...