Salut
J'ai posté ce nouveau sujet ici car je l'ai trouvé sur un site parlant des OVNIS( notamment des foo fighters).
Voci un récit d'un bombardier B-17 retrouvé sans équipage mais qui a réussi a se poser.
23 novembre 1944 BELGIQUE, au sud-est de Bruxelles
(source GESAG, GS 1049)
Lettre écrite par John V. Crisp
faisant partie de l'entourage d'un officier britannique, écrit ces notes pendant son séjour au The Cottage, West-End, Essendon, Hertfordshire, Angleterre. Les notes furent transmises aux autorités par l'intermédiaire de l'ambassade des USA à Londres:
"Le 23 novembre 1944, les hommes de l'unité antiaérienne britannique, localisaient à quelques miles au sud-est de Bruxelles, un B-17 Flying Fortress, s'approchant de leur site de tir. Il avait le train d'atterrissage sorti et perdait rapidement de la vitesse. Les britanniques appelaient immédiatement le Troop Commander et quasiment en même temps le B 17 atterrit dans un champ labouré, à proximité des mitraillettes, en rebondissant sur le sol inégal à 30 yards de la position antiaérienne. Au dernier moment le bout d'une aile toucha le sol, s'y enfonça en faisant tournoyer l'avion. L'hélice du moteur le plus proche était projetée en l'air, mais les trois autres moteurs tournaient toujours. Les tireurs attendaient pour voir sortir l'équipage et leur souhaiter la bienvenue, mais personne ne sortit. Ils allaient faire le tour de l'avion et ne remarquaient aucun signe de vie. C'en était à ce point là quand le Troop Commander m'appelait à la salle des opérations à Erps-Kwerps près de Kortenberg. Dans les 20 minutes j'étais sur place et j'examinais le B-17. Jamais je n'avais eu affaire à des avions , mais finalement je pouvais y entrer par une entrée sous le fuselage. L'avion était vide d'occupants pourtant des traces de présence il y en avait partout. Je me mis sur le siège du pilote pour arrêter les trois moteurs qui tournaient toujours, ce qui me réussit après plusieurs essais. Sur le pupitre du navigateur le livre de bord était ouvert et les derniers mots y inscrits furent "Bad Flack" (note de vog: deux traductions possibles "mauvais gilet pare-balles" ou "mauvais tir antiaérien") . Avec curiosité je retraçais l'itinéraire qui devait mener l'avion de la Ruhr (Allemagne) vers Hertfordshire (Angleterre). et je me demandais ce qui avait pu arriver à l'équipage. Nous nous mettions tous à chercher systématiquement et notre trouvaille la plus extraordinaire se fit dans le fuselage ou nous trouvions une douzaine de parachutes bien pliés et prêts à l'emploi. Ceci rendait la question au sujet de l'équipage encore plus mystérieuse. Le Sperry (pour suivre les bombes) se trouvait toujours dans le nez, n'ayant subi aucun dommage et sa housse était soigneusement pliée à côté de lui. Derrière le pupitre du navigateur il y avait le livre des Codes donnant les chiffres et les lettres du jour pour l'identification. Plusieurs vestes fourrées des pilotes se trouvaient dans le fuselage avec quelques barres de chocolat, dont certaines étaient partiellement mangées. Aucun dommage ne put être découvert au B 17 à part celui de l'atterrissage. Je partis donc directement vers le 83e Tactical Air Force d'Everberg pour leur remettre mon rapport et le livre de bord du B 17, plusieurs cartes de navigation, mais l'histoire de l'atterrissage d'un B 17 vide d'occupants est resté un mystère à ce jour. L'équipage n'a jamais été trouvé. (Martin Cardin, Cape Kennedy, Floride , "Flying Forts" Ballantine Books inc. éd. 1968,
EDIT: j'ai trouver la même histoire mais cette fois il y a des informations supplémentaires (notamment l'équipage qui a été retrouvés apparemment)
Le 23 novembre 1944, un B-17 très endommagé se pose sur une piste de campagne à quelques kilomètres au sud-est de Bruxelles. Personne n'en sort après l'atterrissage !!! Un officier anglais John Crisp découvre que l'avion est vide...
En fait, le B-17 avec deux moteurs hors-service et deux autres donnant des signes de faiblesse avait été abandonné en vol après le passage de la frontière belge. Le pilote expliqua qu'il avait enclenché le pilotage automatique et s'était bien gardé de faire sortir le train d'atterrissage avant de sauter.
Le B-17 se serait donc posé tout seul sur la piste !!! Force fut de constater que toutes les ouvertures de l'avion étaient fermées de l'intérieur et que la commande du train d'atterrissage était bien bloquée, preuve que celui-ci n'était pas sorti de lui-même.
Alors est-ce à dire que 'quelqu'un' avait refermé les ouvertures et repris le contrôle de l'avion après l'évacuation de l'équipage ???