Le témoignage repris ci-dessus conforte mes dires, le pilote devait s'éjecter, même au ras des pâquerettes. Le siège éjectable est muni d'une fusée de propulsion, qui va l'expédier à 150 mètres d'altitude de l'avion, le parachute aurait fonctionné et il ne l'a pas fait !
Pourquoi ce pilote n'a-t-il pas sauvé sa vie en tirant sur une manette ?
Le G-Loc c'est complexe et plausible :
http://users.telenet.be/lode.stevens/cma/aliment.htmlUn pilote de combat, c'est comme un grand sportif en plus dur, en prenant cette hypothèse on arrive à mettre en cause le pilote, qui a commis une erreur fatale avant de prendre les commandes, en absorbant des matières déconseillées ou illicites.
Intérêt de l'entraînement spécifique pour pilotes "High-Sustained G"
Un extrait :
1. Importance de la charge anaérobe pendant la "Anti-G Straining Manoeuvre" (AGSM) - à 5G: O % de la contraction volontaire maximale pendant l'AGSM
- à 6G:25%
- à7G:50% (durée max.: 45 sec.)
- à 8G:75% (durée amx. : 30 sec.)
- à 9G: 100% (durée max.: quelques sec.)
Donc, G-LOC à 7G après 45 secondes de contraction volontaire maximale.Nous entrons dans des interprétations trop complexes, pour être débattues valablement dans ce sujet. Il ne reste plus qu'à laisser la voie ouverte aux spécialistes, qui vont officiellement déterminer les causes de cet accident malheureux.