Et aprés des choses comme ça, certains sont toujours contre la peine de mort... Dieu sait encore quelle catastrophe nous réserve cette disparition. Pourvu qu'elle soit retrouvée saine et sauve.

Et aprés des choses comme ça, certains sont toujours contre la peine de mort... Dieu sait encore quelle catastrophe nous réserve cette disparition. Pourvu qu'elle soit retrouvée saine et sauve.

Aurélia retrouvée vivante au lendemain de son enlèvement

2005-11-22 07:25:46

JALLAIS (Maine-et-Loire) (AFP)

Aurélia, la fillette de 6 ans enlevée dimanche alors qu'elle jouait dans la rue à Jallais (Maine-et-Loire), a été retrouvée saine et sauve lundi soir après plus de 24 heures d'intenses recherches.

La fillette a été découverte vers 21H15 dans un quartier résidentiel de Cholet, la ville la plus proche de son domicile et distante d'une quinzaine de kilomètres. Elle a sonné à la porte d'une maison et dit: "Je suis Aurélia, j'ai faim, j'ai froid", a indiqué le procureur de la République d'Angers, Brigitte Angibaud, à la presse.

Alertée par le propriétaire, la police a alors prévenu les parents qui sont venus chercher leur fille au commissariat pour la conduire à l'hôpital pour des examens médicaux. Aurélia est "choquée" mais semble "en bonne santé", selon les enquêteurs.

"On a pris le parti de respecter son silence. Elle n'a pas été interrogée. Elle le sera quand elle le pourra", a précisé Mme Angibaud.

"L'enquête continue. Il reste le ravisseur à interpeller", a ajouté le colonel Jean-Luc Pérard, commandant du groupement de gendarmerie de Maine-et-Loire. Le procureur s'est cependant félicité que l'inconnu ait "entendu raison" en relâchant la fillette.

Depuis dimanche après-midi, 300 gendarmes avaient fouillé en vain les environs de Jallais, un bourg rural et tranquille de 3.300 habitants, où l'enlèvement avait fortement "choqué" la population, selon le maire.

Aurélia avait été enlevée dimanche après-midi alors qu'elle faisait du roller avec sa grande soeur de 9 ans sur un parking alors désert. Un inconnu était arrivé en voiture et les avait approchées "d'une manière gentille en leur demandant de venir avec lui", selon Mme Angibaud. Lorsqu'elles ont refusé, il les a agrippées. La soeur aînée, qui n'avait pas de roller aux pieds, avait pu s'enfuir et prévenir sa mère.


L'alerte avait ensuite été donnée "très rapidement" par la mère et "un quart d'heure plus tard, le département était bouclé", selon le procureur. "L'expérience démontre que dans les affaires de rapt d'enfant, il faut agir très rapidement", avait ajouté le magistrat.

Dès dimanche soir, la photo d'Aurélia avait été donnée à la presse avec l'accord des parents.

Les enquêteurs ont en outre publié lundi un portrait-robot du ravisseur basé sur le témoignage d'un homme qui avait failli se faire renverser par son véhicule juste après l'enlèvement. Il décrit un individu de type européen au teint mat, âgé d'une trentaine d'années, aux cheveux courts châtain foncé, de corpulence moyenne et vêtu d'une veste sombre.

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"Si l'hypothèse de l'enlèvement ne pose pas de difficulté, le mobile reste ouvert et toutes les pistes sont explorées", avait expliqué en fin d'après-midi Mme Angibaud. "La justice sait se montrer clémente si le ravisseur a été pris d'un coup de folie et souhaite se raviser et rendre l'enfant", avait-elle averti.

Quatre personnes avaient été brièvement placées lundi en garde à vue pour "vérification" car leur véhicule, une Peugeot 309 grise, était du même modèle que celui du ravisseur. Le procureur devait ensuite indiquer qu'elles n'avaient pas de lien avec l'enlèvement.

"Bouleversés" par la disparition de leur fille, les parents d'Aurélia ont été épaulés par un psychologue, ainsi que les élèves de l'école fréquentée par la fillette.

Source : Agence France-Presse (AFP)

Et après des choses comme ça, certains sont toujours contre la peine de mort...

Madame, Monsieur,

J'ai bien reçu votre mail à propos de la disparition de la jeune Harmony. Je peux d’ores et déjà vous informer qu’il s’agit bien d’une réelle disparition. Heureusement, depuis lors, cette jeune fille a été retrouvée.

Toutefois, je me permets de saisir cette occasion pour vous faire savoir que l’emploi d’Internet dans le cadre de signalement de disparitions reste toujours quelque chose de dangereux et de difficilement contrôlable. En effet, de telles chaînes de mails circulent souvent pendant des mois et la plupart d’entre eux sont des hoaxes.

Dès lors, plutôt que de contribuer à la diffusion de ce genre de mail de par le monde, je vous conseille de vous fier à des instances officielles telles que les services de police ou les organisations comme Child Focus dont la mission est de gérer les disparitions de personnes mineures.

Afin de tenter de mettre fin à cette chaîne de mails, je vous demande donc d’envoyer une copie du présent mail à la personne qui vous a fait parvenir le mail concernant la disparition d’Harmony ainsi qu’à toutes les autres personnes à qui celui-ci est également parvenu.

En vous remerciant déjà pour votre collaboration et votre confiance,

Hotline 110
Child Focus

France : une fillette enlevée dimanche a été retrouvée vivante

Une fillette de 6 ans enlevée dimanche à Jallais, un bourg de l'ouest de la France, a été retrouvée saine et sauve lundi soir. Elle errait seule dans le centre de la ville de Cholet, à une quinzaine de kilomètres de Jallais.

[ats] - La fillette, Aurélia, est "en bonne santé", ont précisé les gendarmes. Elle a été conduite au commissariat de police, où ses parents l'ont rejointe.

Aurélia avait été enlevée à Jallais, alors qu'elle jouait sur un parking avec sa soeur âgée de 9 ans, par un inconnu qui l'avait fait monter de force dans son véhicule. La soeur aînée avait réussi à échapper au ravisseur et avait donné l'alerte.

D'intenses recherches, menées par environ 300 gendarmes, n'avaient pas permis de la retrouver dans les environs de Jallais. Aucun suspect n'était en garde à vue lundi soir.

Le ravisseur présumé de la petite Aurélia, 6 ans, a été arrêté mardi soir à 18 km de Jallais, dans l'ouest de la France. Enlevée dimanche dans cette localité, la fillette avait été retrouvée saine et sauve lundi.

[ats] - L'homme, âgé de 36 ans, a été arrêté un peu avant 20h00 à son domicile après un appel téléphonique de sa compagne indiquant aux gendarmes qu'il "souhaitait se rendre", a expliqué la procureure de la République d'Angers, Brigitte Angibaud. Le couple a été placé en garde à vue et avait un mobile, selon la magistrate qui n'a pas souhaité préciser lequel.

La séquestration de la fillette, issue d'un milieu plutôt modeste, enlevée dimanche, "s'est passée au minimum dans le cadre d'une affaire de violence", a-t-elle ajouté sans plus de précision. A la question de savoir s'il s'agissait d'une affaire de pédophilie, la procureure a toutefois répondu: "c'est en cours d'étude".

Le couple attendait les gendarmes à leur domicile dans le calme, a précisé Mme Angibaud. La femme, qui est âgée de 30 ans, a déclaré, en pleurs, aux gendarmes: "Entrez, nous vous attendons". Elle seule parlait, l'homme, présenté comme dépressif par sa compagne, était prostré, selon les enquêteurs.

Le couple a deux fillettes qui ont été conduites à l'hôpital d'Angers pour des examens médicaux, a poursuivi le procureur. Ces enfants ont été en contact avec Aurélia qui avait accès aux pièces de la maison.

Les recherches s'étaient poursuivies mardi toute la journée pour tenter de retrouver l'homme qui avait enlevé la fillette dimanche après-midi non loin de son domicile sous les yeux de sa soeur âgée de neuf ans, à Jallais, une commune de 3300 habitants.

JALLAIS (AFP) - Le ravisseur présumé de la petite Aurélia, 6 ans, retrouvée saine et sauve lundi, a été arrêté mardi soir à 18 km de Jallais, où avait été enlevée l'enfant deux jours plus tôt, a annoncé la procureure de la République d'Angers Brigitte Angibaud.
L'homme, âgé de 36 ans, a été arrêté un peu avant 20H00 à Villedieu-la-Blouère (Maine-et-Loire) après un appel téléphonique de sa compagne indiquant aux gendarmes qu'il "souhaitait se rendre", a expliqué la magistrate lors d'une conférence de presse à Jallais (Maine-Loire).





Le suspect a reconnu les faits, a-t-elle précisé.
"L'homme est le ravisseur présumé et également celui qui l'a séquestrée pendant la trentaine d'heures pendant lesquelles (Aurélia) a été enlevée. La femme a séquestré l'enfant", a précisé la magistrate.

Le couple placé en garde à vue à Beaupréau (Maine-et-Loire) avait un mobile, selon la magistrate qui n'a pas souhaité préciser lequel.
La séquestration de la fillette, issue d'un milieu plutôt modeste, enlevée dimanche "s'est passée au minimum dans le cadre d'une affaire de violence", a-t-elle ajouté sans plus de précision.

A la question de savoir s'il s'agissait d'une affaire de pédophilie, la procureure a toutefois répondu: "c'est en cours d'étude".
Le couple attendait les gendarmes à leur domicile dans le calme, a précisé Mme Angibaud. La femme, qui est âgée de 30 ans, a déclaré, en pleurs, aux gendarmes: "Entrez, nous vous attendons". Elle seule parlait, l'homme, présenté comme dépressif par sa compagne, était prostré, selon les enquêteurs.

L'appel de la femme "relève de la recherche de soulagement", a précisé le lieutenant-colonel Stéphane Gauffeny qui commande la section de recherche de la gendarmerie d'Angers.
Le couple a deux fillettes qui ont été conduites au CHU d'Angers pour des examens médicaux, a poursuivi la procureure. Ces enfants ont été en contact avec Aurélia qui avait accès aux pièces de la maison.

Dans la soirée, le ministre de l'Intérieur Nicolas Sarkozy s'est réjouit dans un communiqué de cette arrestation.
Les recherches s'étaient poursuivies mardi toute la journée pour tenter de retrouver l'homme qui avait enlevé la fillette dimanche après-midi non loin de son domicile sous les yeux de sa soeur âgée de neuf ans, à Jallais, une commune de 3.300 habitants.

Les enquêteurs disposaient notamment d'un portrait robot, réalisé d'après le témoignage d'une personne qui avait failli être renversée par le ravisseur en fuite.

Petite fille aux longs cheveux bouclés, Aurélia a été découverte lundi vers 21H15 dans un quartier pavillonnaire en construction de Cholet (Maine-et-Loire), à une quinzaine de kilomètres de son domicile. La fillette a sonné chez des habitants, déclarant qu'elle avait "faim et froid".

"La petite était frigorifiée", a précisé l'homme chez qui elle a sonné, encore sous le choc et très ému. Selon lui, Aurélia ne portait pas de traces de coups.

"Choquée", Aurélia a été interrogée mardi après-midi par les enquêteurs à l'hôpital d'Angers, où elle avait été conduite dans la nuit avec ses parents pour des examens médicaux. Elle est rentrée chez elle mardi soir.

"Son état général est bon mais elle a besoin de calme et de repos", a précisé un responsable hospitalier. "Aurélia va très bien", a ajouté son père, "très content" de l'avoir retrouvée.

Aurélia a subi des "violences graves" et son ravisseur a avoué

" Un homme de 36 ans habitant Villedieu-la-Blouère (Maine-et-Loire) a avoué être l'auteur de l'enlèvement d'Aurélia, qui a par ailleurs subi des "violences graves", a indiqué mercredi le procureur de la République d'Angers, Brigitte Angibaud. Sa compagne, une femme de 30 ans, est, elle aussi, impliquée dans le rapt.

Deux autres personnes, des femmes, ont été placées en garde à vue pour "non dénonciation", a également indiqué la magistrate. Toutes deux ont eu connaissance de la présence d'Aurélia dans la maison, mais n'ont rien dit. L'une d'elle a même aidé à faire disparaître des preuves, a ajouté Mme Angibaud. Les enquêteurs ont en effet retrouvé chez elle les tapis de sol et les housses de la voiture qui a servi au rapt.

Les quatre personnes, toujours en garde à vue, seront présentées jeudi à la juge Virginie Parent, chargée de l'instruction. L'homme pourrait être mis en examen pour enlèvement, séquestration et violence grave sur mineur de moins de 15 ans. Sa compagne pourrait être poursuivie pour séquestration et violence grave sur mineur de moins de 15 ans, selon le procureur.

Ils risquent 20 ans de réclusion criminelle. Les deux autres femmes pourraient, elles, être mises en examen pour non révélation de crime et destruction de preuve pour l'une d'entre elle, délit relevant de la correctionnelle.

La fillette âgée de six ans avait été enlevée dimanche après-midi dans le village de Jallais alors qu'elle faisait du patin à roulettes avec sa grande soeur. L'homme aurait agi sur une pulsion après une dispute avec sa compagne, selon le procureur. Le ravisseur a fait rentrer Aurélia de force dans un sac de sport et c'est ainsi qu'il l'a ramenée chez lui, a précisé Brigitte Angibaud. La fillette a été retrouvée vivante lundi soir.

La présence du sac de sport dans la voiture "pose évidemment question quant à la préméditation du geste", a estimé le procureur qui a également dit s'interroger sur le comportement immédiat du ravisseur. "Dès son retour, il s'est coupé les cheveux avant de les teindre et de se raser. Il faudra qu'il explique ce geste".

Le couple a été arrêté mardi peu avant 20h par les gendarmes avant d'être placé en garde à vue à Beaupréau (Maine-et-Loire). C'est la jeune femme qui a donné l'alerte vers 19h30, a poursuivi Mme Angibaud. A l'arrivée des gendarmes, la porte de la maison était ouverte, l'homme prostré dans la cuisine, la femme en pleurs dans la cuisine.

Des éléments probants ont été retrouvés au domicile du couple, selon les enquêteurs. Les enquêteurs ont aussi découvert, grâce aux déclarations du ravisseur, les rollers et le matelas de mousse où a dormi Aurélia dans une déchetterie à quelques kilomètres de Villedieu-la-Blouère.

Le couple habite depuis plus de trois ans avec ses deux filles dans une petite maison HLM de ce village de 2.000 habitants. Le ravisseur, un homme sans travail vivant des aides sociales, est décrit par le voisinage comme quelqu'un de discret, ne recevant ni ne se liant avec personne.

L'homme possède bien, selon un voisin, la Peugeot 309 grise avec un autocollant jaune et vert, soit le modèle recherché par les enquêteurs depuis l'enlèvement d'Aurélie dimanche après-midi.

Lors d'une audition de deux heures et demie, Aurélia a décrit son ravisseur comme conforme au portrait-robot déjà établi, un homme châtain, aux cheveux courts, âgé d'une trentaine d'années. Elle a également confirmé avoir été emmenée de force dimanche après-midi dans une Peugeot 309 grise, avec un autocollant jaune et vert sur le coffre.

Son audition a été enregistrée et filmée pour que l'enfant n'ait pas besoin de se répéter, a expliqué le procureur d'Angers. "Elle a beaucoup parlé", a précisé la magistrate, "et donné des éléments importants pour l'enquête".

Mais alors qu'Aurélia a affirmé aux enquêteurs ne pas avoir subi d'atteintes sexuelles, Mme Angibaud a révélé qu'Aurélia a subi des "violences graves" de la part du couple,sans vouloir toutefois en préciser la nature. Les deux petites filles du couple, âgées de 2 et 9 ans, ont été placées d'office au CHU d'Angers. Des examen médicaux ont été pratiqués sur elles pour savoir si elles n'ont pas subi, elles aussi, des violences. Elles ont également été entendues par les gendarmes assistés d'un psychologue.

Selon Aurélia, son ravisseur a été sensible aux appels du procureur qui avait rappelé lundi que "les peines prévues par la loi en matière d'enlèvement d'enfant sont plus clémentes s'il y a une remise de l'enfant". Un ravisseur ne risque ainsi que cinq ans de prison, peine encourue quand un mineur est relâché moins de sept jours après son enlèvement.

Quant à Aurélia, qui a été en contact avec les filles du couple, elle a quitté le CHU d'Angers mardi soir pour retourner au domicile parental, à Jallais, a précisé le capitaine Depierre, responsable de la communication de la gendarmerie des Pays de la Loire. "

Source : AP (24 novembre 2005)

Mise en examen des ravisseurs présumés d'Aurélia, qui ont avoué une dizaine d'autres viols

" Le ravisseur présumé d'Aurélia et son épouse, suite à leurs aveux pendant leur garde à vue, ont été mis en examen et incarcérés durant la nuit pour viol et agressions sexuelles envers la fillette, mais aussi sur une dizaine d'autres mineures.

Dans l'affaire d'Aurélia, 6 ans, enlevée dimanche et relâchée le lendemain, Dominique G., 36 ans, a été mis en examen et placé en détention provisoire, pour "enlèvement et séquestration suivie d'une libération volontaire dans les sept jours, violence avec arme n'ayant pas entraîné d'incapacité totale de travail sur mineure de 15 ans " et "viols et agressions sexuelles sur mineure de 15 ans commis en réunion". Son épouse Alfreda, 30 ans, a été mise en examen pour les mêmes motifs, à l'exception d'"enlèvement et séquestration" et "violence avec arme", a indiqué la procureure de la République d'Angers Brigitte Angibaud.

Le couple a également été mis en examen pour "viols et agressions sexuelles sur mineures de 15 ans par personne ayant autorité commis en réunion et tentatives d'enlèvement de mineures de 15 ans". Dominique G. a avoué durant sa garde à vue avoir violé ou agressé sexuellement une dizaine de fillettes âgées, selon lui, de 3 à 12 ans. Le couple encourt une peine de trente ans de réclusion criminelle.

PAS DE RÉSEAU SOUPÇONNÉ

La procureure d'Angers, Brigitte Angibaud, a indiqué que "les faits se seraient passés essentiellement au domicile" et que le "couple proposait à ses relations de garder leurs enfants". Des cassettes vidéo et le disque dur de l'ordinateur familial, que Dominique a tenté de détruire "à coups de burin", sont en cours d'analyse. Pour l'instant, les enquêteurs n'évoquent pas un réseau, et la procureure a estimé qu'ils avaient "agi seuls".

Le couple est marié depuis deux ans et vivait avec deux fillettes. L'une est issue d'un premier mariage du père, la plus jeune, âgée de 2 ans, est la fille du couple.Selon les premiers éléments de l'enquête elles n'auraient pas été abusées. Les deux enfants ont été placées auprès des services de l'aide sociale à l'enfance. Le couple avait la réputation de n'être pas très impliqué dans la vie locale. Dominique G., sans emploi et sans antécédent judiciaire, était "réservé" et "peu causant", selon des proches et des voisins. Il aurait indiqué aux enquêteurs avoir "eu envie de petites filles" depuis le début de l'année et "qu'il a commencé à se mettre en chasse".

Une cellule d'aide psychologique a été mise en place dans l'école du village de Villedieu-la-Blouère, où réside le couple, "pour répondre aux questions des parents".

Deux juges d'instruction ont été saisis, dont Virginie Parent, la juge ayant instruit l'affaire de pédophilie d'Angers qui avait conduit en juillet à la condamnation de 61 personnes.

Par ailleurs, une femme placée en garde à vue après l'interpellation du couple a été mise en examen, notamment pour "non-dénonciation de crime". "

Source : LE MONDE avec AFP 25 novembre 2005

Attention cependant aux erreurs, regardez un peu les derniers revirements de situation dans certains procès pour pédophilie...