Serpico a écrit:
pat1901 a écrit:
Excusez moi pour le manque de précision. J'ai dit "Tous cela a duré deux heures sans interruption" je n'ai pas dit j'ai attendu deux heures et je suis monté à l'étage.
D'accord, maintenant avec ta précision, mais à te lire ce n'est pas ce que l'on comprend.
Néanmoins, cela a quant même durée DEUX HEURES... Si mes souvenirs d'armée sont bons, le planton ou celui qui se trouve au poste n'a-t-il pas obligation de rendre compte de "tout fait anormal" ou "suspect" à l'officier ou sous-officier de permanence???? Ce fameux sous-officier (ou officier, je ne sais plus) "maître des clès", qui dort sur ses deux oreilles pendant que nous passions notre nuit à nous lamenter...

tout en ayant comme lecture "les consignes du planton".
Alors comme je te l'ai déjà dit :
serpico a écrit:
Ne regrette pas de ne rien lui avoir dit, car, comme on dit dans le milieu militaire "tu te serais pris un sacré coup de pied dans le cul" de la part de ton colonel qui aurait appris que tu as attendu 2 heures pour aller vérifier ce qu'il se passait dans son logement vide...
Je ne mets pas en doute tes dires, mais j'essaie de comprendre cette scène très "occulte" se passant dans un "milieu militaire", en essayant de répondre à certaines questions du problème tenant compte de l'éthique militaire.
Aussi surprenant que cela puisse paraitre, je n'ai appelé personne.
Pourquoi?
Primo aucune effraction n'a été constatée, je n’ai rien vu de suspect ni dehors ni dedans
Secundo Je ne me voyais pas appeler l'officier de permanence qui était, a l'époque, un adjudant chef ayant l’esprit très étriqué et adorant après 22h00 les influences de la divine bouteille. Et de plus ce charmant monsieur avait le vin mauvais.
En bref je lui aurais téléphoné il m'aurait envoyé c***r!
Tertio : L’armée et ses règlements je m'en tamponnais un peu à l'époque. Il ne faut pas oublier que nous n'étions que de simples trouffions faisant notre service militaire par forcément de notre plein gré. Alors que le professionnalisme de maintenant, n’a rien à voir avec ce qui se passait il y a 20 ans !
Et pour conclure, je pense avoir fait ce qu’il fallait faire, du moins a mon niveau. J’ai d’ailleurs ressenti subjectivement que ces « bruits » n’étaient pas de nature « humaine ». Dommage que nous n’avions pas de magnétophone…