Hé ben dis donc on était jeunes et cons aux années collège et lycée.

Si je me rappelle bien, je suis toujours tombée dans une classe où c'était assez sage finalement.
J'ai un souvenir de classe de travaux manuels où l'on ponçait du bois (pour ce cours-là du moins). Nous avions un prof un peu déjanté et surtout un peu foufou qui était déjà du temps de nos parents. Ma mère avait même fait la baby-sitter pour ces enfants.
Bref, un jour de cours, on a enfermé le prof dans le local où se trouvait tous les outils, ou matières que l'on avait besoin pour le cours... nous faisions les imbéciles en lui disant que nous ne savions pas comment le sortir de là, que la porte était bloquée, ect.
Bref, cela a duré (comme par hasard) toute l'heure de cours, après nous l'avons libéré... le pauvre ! En plus, c'était un prof qui donnait plusieurs cours, notamment d'Histoire. Nous avons plus passer d'heures de cours manuels à l'écouter nous raconter la Guerre de Troie que de poncer nos voitures automobiles en bois !
Très bon souvenirs que tout ça !

Moi qui voulais passer mon CAPES d'anglais, et ben finalement, je crois que je vais m'abstenir...

D'ailleurs, ce serait sympa d'avoir les récits de nos forumeurs les plus vi... âgés.

Tiens, ca me fait penser qu'un jour de terminal, mon pantalon m'a malencontreusement lâché en entrant en cours d'anglais ( je l'avais un peu aidé qu'en même ).
Ca m'a valu un préavis d'expulsion (satané pantalon...).
Bon, il faut dire que le proviseur en avait profité pour m'énumérer tous les bêtises que j'avais pu faire à l'époque (un mémoire de maîtrise n'en serait que l'intro... ) dont celle où, en plein hall de lycée, et distant d'une bonne vingtaine de mètres, j'ai raconté une vieille blague à ma prof d'éco.
C'est celle du: "vous savez ce qui a 1 oeil, 2 pouces et une ENORME b***":
et fermant un oeil avec mes deux pouces dans la direction: "c'est moi!"
De mauvais goût, je vous l'accorde...

Bon, j'arrête, j'ai une bonne réputation à tenir ici (enfin... )

Ben moi ça a toujours été le contraire. Je suis toujours tombé dans les pires classes. A chaque conseil, c'était du genre vous êtes tous des nuls, vous n'avez aucun avenir, on se croirait en maternelle, tout le monde en prenait pour son grade. Même les meilleurs de la classe trinquaient.

Bienvenue au club Necrid666 ! Moi je tombais tout le temps dans des classes infernales... Mais qu'est-ce qu'on se marrait !

Moi ça remonte en seconde, on avait un prof de biologie assez bizarre, il avait l'air souvent soûl et il s'endormait en cours pendant que nous faisions des exercices sur nos manuels...

Un jour, j'ai fait un pari avec quelqu'un et j'ai écrit une lettre signée "Une fan de vous" , c'était une lettre qui complimentait ce prof ; je me souviens que j'avais écrit, que je le trouvais beau, qu'il avait du charisme, que j'étais déçue de ne pas l'avoir comme professeur, que je l'admirais pour sa bonne humeur et son dynamisme quand je le voyais passer dans les couloirs...
Puis je suis allée poster cette lettre après les cours dans sa boîte personnelle qui se trouvait à côté de la salle des professeurs, j'étais sur le point d'abondonner mon coup, mais entendant des pas j'ai pris peur et j'ai glissé rapidement la lettre dans sa boîte et j'ai quitté la salle vite fait.

Quelques jours après si vous aviez vu la bonne humeur du prof, souriant et dynamique.
On en rigolait avec mes complices... Je me rappelle que ma prof d'allemand nous avait demandé de rendre des papiers, mais d'éviter les boîtes aux lettres des profs parce qu'ils avaient des surprises...

Voilà, ce n’était pas méchant, mais comment j'avais paniqué quand des filles de ma classe m'avaient dit qu'il pourrait découvrir qui aavit écrit cette lettre par le biais des empreintes digitales ...

Les plus gros coups que j'ai pu faire en étant au lycée donc il y a 6 ans c'était d'avoir fait un mouvement de grève avec tout le lycée juste comme ça. Et puis avoir osé dire à mon prof de restauration (bourré) que c'était un gros c** devant tout le monde.

Je pense que c'est déjà bien pour moi pourtant j'étais studieux mais la bêtise des gens commençait déjà à me prendre la tête donc comme j'aime bien être juste...

Bon moi j'étais généralement sage à l'école, c'était plus les profs qui me faisaient souffrir que l'inverse.
Comme ce fameux jour que je n'oublierai jamais, en primaire, où on devait peindre des plâtres en forme d'animaux pour la fête des mères. Doté d'une maladresse du plus haut niveau à l'époque, j'ai fait tomber le plâtre d'une camarade... Et comme en plus j'ai toujours eu beaucoup de chance, c'était la "chouchoute" de la maîtresse ... Je me rappelle que c'était une magnifique grappe de raisins multicolore, peinte à la quasi perfection, qui faisait figure d'oeuvre d'art pour tout le monde et pour la maîtresse mais... je suis passé par là pour la réduire en petits morceaux ... J'ai donc eu droit à une violente claque de la part de cette dernière, ce qui me choque encore aujourd'hui, une institutrice n'a pas à frapper un élève pour une petite maladresse involontaire. D'ailleurs, j'étais d'un tempérament extrèmement timide et sage, personne n'a cru que je l'avais fait intentionnellement.

Sinon, à partir de la 1ère, j'ai commencé à être un peu moins sage et à prendre un peu plus confiance en moi, et avec un cercle d'amis on s'amusait beaucoup surtout en terminale STT, pendant les cours d'informatique où on se faisait tranquillement des parties de half life, counter strike, age of empires, le prof était un peu mou et ne voyait rien .

Alors moi en fait c'était l'an passé. C'était en cours d'arts Plastiques, et la prof était une prof simplette qui nous laissait tout faire. Alors une fois, un pote a caricaturé la prof et lui a montré le dessin, elle n'a rien capté et elle a dit que c'était bien ! Toutes les semaines, des gars faisaient semblant d'être malades et en fait, quand la prof leur autorisait d'aller à l'infirmerie, en fait ils se baladaient dans le collège et allait boire de l'eau à l'évier des toilettes ! Une autre fois, on a bougé toutes les tables pour les mettre sur le côté et on a fait un match de foot et la prof a demandé si elle pouvait faire l'arbitre ! Mais en vrai, le match n'a duré que 2 minutes. Et dans une autre classe qui avait la prof, ils jetaient des 3 suisses et des la redoute par les fenêtres, arrachaient les rideaux, etc.

J'ai gardé vraiment de très bons souvenirs de l'école de la maternelle jusqu'au lycée, surtout quant il s'agissait de s'amuser : pétards et boules puantes dans la classe, fumigènes dans la cour, jets de cartouches d'encre et d'objets divers, jets de trousses par la fenêtre (:? je sais c'est très débile quant on y repense mais bon si c'était à refaire je le referais ), chewing-gum dans les serrures des classes , et pleins d'autres choses pas recommandables, bref des choses pas bien, tout ce qu'il faut faire pour rater ses études quoi...

Quelques profs sont tombés en dépression! Certaines profs ont exigé de changer de classe (Ba oui! Mettre une belle jeune femme de 28 ans avec une bande de gars aux hormones travaillantes, c'est illogique!)



Vous n'avez jamais pensé à y rajouter des punaises? Nous si! On foutait le bord** dans le couloir et on mettait le prof en colère! Deux élèves étaient dans la salle (souvent ce prof laissait la porte ouverte pendant les intercours car si nous voulions, au lieu d'attendre dans le couloir, on pouvait déjà s'installer en l'attendant) et mettaient une giclé de colle dès qu'ils entendaient le prof hurler... Il rentrait et s'asseyait en se laissant tomber de tout son poids sur la chaise! Non seulement les punaises le lattaient correct, mais en plus nous utilisions une colle qu'on avait en atelier, à prise instantanée... Je vous laisse imaginer le tableau! Il se relevait en hurlant, punaises entrant dans sa chair, tout en restant coller à sa chaise... C'était pas mal!

moi j'ai jamais eu de chance au lycée. Je suis toujours tombé sur des "mémères" avec la cinquantaine bien pesée.
cela dit avec la formation que je suis actuellement ya de quoi faire. moyenne d'age -de 30 pour les profs.

Moi je tombe toujours bien. L'année dernière, tous mes professeurs féminins avaient moins de 30 ans. C'est toujours bon pour mater. Surtout quand une de 26 ans laisse passer son string à chaque heure de cours.....

Oh punaise! Ba fonce! C'est bon ça 26 ans!

Que crois-tu toi ? Tu crois que je n'ai rien fait toi...

hé hé hé! et alors? ça a donné quoi?

Ce que ça a dû donner . Je l'ai vue en boîte. C'est drôle de voir son prof en boîte. Là, je lui ai proposé de la ramener chez elle et voilà. Je te laisse deviner la suite.

SUPERBE! T'as pas la vidéo?

Malheureusement non. Snif. Après à l'école c'était devenu trop bizarre. On est resté ensemble 2 mois. C'était dur en classe pu***n. Quant tu sais que tu couches avec elle c'est bizarre en classe.

Oué je veux bien te croire ! Ma prof de vente me faisait du gringue à un moment... Un joli petit bout de femme de 30 ans (c'est vrai, tout ce qui est petit est mignon) Un soir à la fin de la journée, ben euh... hein
Et c'est vrai que l'ambiance est devenue étrange par la suite ! On était vachement proche la veille et là et bien il fallait faire de sorte que rien ne s'était passé (mais bon c'est assez dur quand tu as eu la main posée sur elle). En tout cas j'ai eu des bonnes notes en vente après ! Nous sommes restés "complices" le temps de mon passage au lycée (jusqu'à ce que je me fasse éjecter pour de bon)... Mais c'est vrai que ça me dirait bien de la revoir maintenant !

ça dévie du sujet initial quand-même tout ça.

J'allais vous le signaler justement messieurs !

Si vous voulez continuer à échanger vos histoires de prof tombant à vos pieds, vous pouvez toujours le faire par MP, mais il est vrai que l'on va reprendre le sujet initial qui était les plus grosses crasses faites en classe !

Excuse moi Dana.


Peut-être es-tu une prof toi aussi....

Pas du tout !
Je ne fais que mon job de modérateur, c'est tout !

Désolé Dana! (bisous pour me faire pardonner) Mais comme on dit "Nostalgie, quand tu nous tiens!"

Le plus gros tripe c'etait l'année dernière ...
Une prof d'espagnole que personne n'aimait et qui nous le rendait bien sur le bulletin .. On a decidé de se venger sur plusieurs jours
Phase 1 On a fait superman ( porter un gars et le passer devant les baies vitré ) pour tester voir si la classe à laquelle on allait opérer était pas mal chaude
Phase 2 entrer à l'improviste dans sa classe avec un masque sur la tête foutre la zone à la prof et se barrer en courant !
Phase 3 Refoutre la zone à la prof sauf que au lieu de se barrer c'est lynchage à la bombe à eau
Personne ne nous a balancé mais on a eu chaud quand même

Sinon dans ce même lycée il y en a qui ont voulu filer du " SPace Cake " à un prof mais c'est une élève qui en a eu et les pompiers ont dû venir !!

C'est vrai que ça peut être assez violent comme effets...

Un 10/10 en grammaire en CE2 !

Vous avez une bonne recette ?

C'était il y a quelques années. A l'époque, il y avait le baccalauréat A (littéraire), le bac B (économie), le bac C (pour les matheux sérieux) et le bac D (pour les "scientifiques" loufoques).

Entouré d'une bande d'hurluberlus que, comme moi, les hasards de la vie avaient fourvoyés dans la série D, je coulais des jours paisibles en Terminale dans un lycée de la région parisienne. L'été s'annonçait torride et lorsque les professeurs, décontenancés par notre nonchalance indécrottable, nous demandaient : «  Mais est-ce que vous vous rendez compte de ce qui vous attend à la fin de l'année ? », invariablement nous leur répondions : « Les vacances ! »

Un jour, alors que les pelouses venaient d'être tondues, les pensionnaires de notre classe dérobèrent les sacs de tonte laissés sans surveillance. L' « opération Tahiti » venait de commencer...
Le surveillant général eut bien quelques soupçons en voyant le matériel que les externes et les demi-pensionnaires tentaient d'introduire dans le lycée. Nous prétextâmes que c'était pour le club de théâtre.

Le surlendemain, en entrant dans la salle de chimie, notre professeur de physique/chimie eut le choc de sa vie : de l'herbe partout, trois ou quatre parasols, une trentaine de chevelus allongés en chemises hawaïennes, lunettes de soleil et chapeaux de paille en train de siroter des noix de coco. Et pour couronner le tout, des « vahinées » aux mollets poilus se déhanchant sur l'estrade au son d'un orchestre improbable.

Je n'oublierai jamais la succession d'expressions sur le visage de notre professeure. Un morphing au ralenti : l'effarement, l'incrédulité et petit à petit, le coin de l'oeil qui frise jusqu'au fou-rire. Elle n'arrêtait pas de répéter : «  Ils sont fous ! »
Je ne sais pas quel âge elle avait. Entre trente et quarante ans. Ce qui pour nous qui n'en avions pas plus de dix-sept paraissait vieux. Mais ce jour-là, quand elle eut repris son souffle, elle n'était guère plus âgée que nous.

Merci, Madame, pour cette leçon.

Moi aussi quand je serai grand, j'espère ne jamais oublier que j'ai été jeune...