En ce qui concerne les égyptiens noirs, y-compris les pharaons et leurs dynasties il existe de nombreuses sources sur internet. Cela fait notamment partie des choses qui ne sont pas trop mises en évidence, comme le nombre de momies à la peau noire trouvées. Sans surprise ce sont les africains qui mettent en avant la civilisation noire égyptienne et leur éventuelle existence AVANT les grandes dynasties blanches.
Un site :
http://www.egypte-ancienne.net/
La mesure du taux de mélanine sous l’épiderme est assurément le test le plus probant pour la détermination du type anthropologique ou racial d’un individu. L’expérience est élémentaire et facile à réaliser, quasiment infaillible et donc incontestable. La mélanine n’étant guère biodégradable, se conserve longtemps, y compris sur les momies les plus anciennes. On l’a proposé, Cheikh Anta Diop notamment, lors du fameux colloque du Caire de 1974 pour la momie de Ramsès II, à partir d’un millimètre de peau, mais les responsables du musée égyptien s’y sont énergiquement refusé. Comme ils ont poliment décliné l’offre présenté par des scientifiques japonais d’analyser l’ADN du célèbre pharaon à l’aide d’un nouveau type d’appareil super-performant, qu’ils étaient prêts à céder par la suite au musée. Nombre de scientifiques et les musées, on s’en doute et on le sait, celui de Londres notamment, ont naturellement procédé à l’expérience, sans prendre la peine, curieusement, d’en publier les résultats. Complot du silence ? La question reste posée.
http://www.afrology.com/soc/egypte_afrique.html
Et je trouve ça :
Sous Pépi II, un nomarque (gouverneur d’une province ou nome) d’Éléphantine ramena d’une expédition au Soudan un Pygmée «qui savait danser la danse du dieu».
On possède encore la lettre que le roi envoya en réponse au message du nomarque; elle énumère les précautions à prendre pour qu’il n’arrive rien de fâcheux à ce nain si extraordinaire.
Curieux quand on sait que les Dogons font une dance sacrée tous les 25 ans qu'ils estiment être la dance des Dieux.