Pour répondre à salha, on m'a effectivement dit la même chose que toi, faire comme si on a rien vu ou entendu, c'est d'ailleurs toujours ce que j'ai fait et ça se passe pas trop mal, enfin presque, ça dépend de la manifestation.
Pour ma part j'ai été en confrontation direct avec plus d'une centaine de cas dont une trentaine avec témoins.
Les cas les moins plaisant et hélas les plus fréquent que j'ai rencontré prennent la forme d'une personne familière et vous appelle, par chance à chaque foi au dernier moment, une personne intervient vous appelle (moi -même ou un pote ou le contraire aussi arrive) et donc on ne sait pas ce qui se passerait si on était allé à la rencontre de ou du ...?
Comment je sais que c'est une manifestation ? Simple : quand la personne qui vous appelle au loin vient vous chercher au même moment avec des potes de l'autre côté, à moins de se dédoubler c'est impossible.
Aussi le cas poltergheist. Alors là, même à plusieurs tu cours, surtout quand tu ou les provoques. Genre ils s'amusent à taper dans une lourde porte en fer dans des caves et là tu réponds verbalement et physiquement pour être sûr en tapant aussi plus fort et en disant "vas-y si tu fais mieux"
et estomaqué on voit une sorte de forme mais totalement polymorphe, en fait constamment en changement mais par contre qui explose la porte en fer. Et plus fort, ce jour-là, nous étions 6 et comme si on nous poussait à partir en nous insufflant la peur dans la tête (en ayant vu d'autre, la seule porte explosée ne m'inquiète pas plus que ça), c'est donc bel et bien cette espèce de .... Comme de la télépatie ou même une sorte de projection mentale puisque nous avons tous la même images dans la tête, une sorte de vision du futur immédiat si on ne part pas nous 6 mort et là tu te sauve évidemment.
Le lendemain matin au même endroit, la porte est en parfait état ! A priori dans les vrais cas de poltergheist, c'est fréquent que les détériorations se retrouvent comme n'ayant pas existé et en fait je me demande vu que ça m'a insufflé la peur si ça ne peut pas insuffler ou faire croire ou voir des choses fausses, d'où les hallucinations collectives, qui en fait sont à moitié des hallucinations vu que quelque chose les provoques quand même.
Une autre fois, c'était la fameuse dame blanche que je considère comme un fantôme.
Pour ceux qui connaissent la région Auvergne je revenais de boite de nuit "Le Privilège" à Riom à coté de Clermont.
Nous étions quatre dans la voiture, deux amis plus la copine de mon pote qui conduisait, moi et mon autre collègue à l'arrière (seule la fille n'était pas habituée aux fantômes). Donc pour revenir de Riom à Vichy pour ceux qui connaissent la route, le must c'est de passer par les petites routes Ennezat, Aigueperse, Randan etc... C'est à Randan dans la forêt que ça s'est produit. Une fille sur la route en pleine ligne droite (toujours écouter dire que c'était dans un virage), donc mon collegue passe tout droit et là, la fille se retrouve assise à l'arrière entre nous (je me suis dit "fait ch**r, encore une qui ignore là, ce que j'a essayé de faire tout le reste du trajet et mon autre collègue aussi).
Par contre sur l'instant le conducteur n'a rien vu (heureusement habitué du surnaturel) donc il s'allume une clope et la dame blanche lui dit moi aussi j'en veut une (et moi en moi même temp dans ma tete si t'étais pas un fantôme je te bafferais y vont sursauté pauvre dinde) évidemment il sursaute mais sans plus, par contre si mon autre collègue avait pas le reflex de fermer la portière de la copine, je pense qu'elle aurait sauté de la voiture.
Finalement mon pote qui conduit lui donne une clope (calme sa copine "ignore-la, je te ramène chez toi en premier bla bla...) et là finalement, je regarde bien et la clope se consume elle la fume vraiment.
On a continué notre route, ramené sa copine effrayé chez elle avec Josiane comme on l'a surnomé dans la voiture et on a fini le trajet avec elle jusque chez nous (on habitait dans le même immeuble tous les trois).
Quand la voitutre fut garée et même après être descendue, elle était toujours dedans alors on est tous rentrés chez nous, pour ça on avait une méthode au cas ou (on se parlait jusqu'à ce que tous les trois refermions en même temp les portes de chez nous à cause des autres manifestations ).
Mon collègue qui avait la voiture n'osa jamais regarder par la fenêtre si Josiane y était encore, nous non plus, toujours est-il le lendemain elle était plus là, en laissant comme preuve le mégo et les cendres. Et des comme çca j'en ai une bonne trentaine à raconter pour une prochaine fois.