Oups ! tu es trop gentille Armoria

Si le Megalodon existe, il devrait y en avoir dans le pacifique sud qui est plutôt chaud.
Est-ce que quelqu'un sait si les requins blancs ont des territoires ? Est-ce qu'il se déplace sans avoir de lien particulier à un endroit ?

Je me demande si l'espace vital de Mégalodon ne serait pas restreint s'il se cantonnait uniquement dans les eaux très profondes avec des sols volcaniques pour maintenir une température correcte.

On en sait somme toute assez peu sur le Grand Blanc. Les dernières recherches semblent montrer que ce sont les femelles qui voyagent le plus, mais ce sont plus des suppositions que des faits avérés.

Pour ce qui est du territoire éventuel du mégalodon, voici l'adresse d'un site de surveillance de l'activité sismique :
http://www.iris.edu/seismon/
On y voit que l'activité est importante dans le Pacifique sud-ouest, et qui dit activité sismique dit souvent zones sous-marines chaudes...

Tu en trouves à peu près dans toutes les mers du monde, notamment en Méditerrannée ! Tout dépend de la température de l'eau et de la nourriture qu'il peut y trouver ! Il a été remarqué que lorsqu'un requin trouve un endroit satisfaisant, il y reste durant des années.

En 1987, une équipe de pompiers en plongée est tombée sur un beau carcharodon carcharias de 5 mètres dans le goulet de Brest. Ils ont pu observer la bête de leur zodiac aprés être remontés fissa dans leur zodiac pendant une bonne quinzaine de minutes...

Je n'ai jamais entendu parler de ça et c'est hallucinant. On sait que les grands blanc sont extrêmement rares sur les côtes atlantiques, encore plus en Manche. Celui-là n'a pas dû voir le panneau car, en plus, il était très près de la côte. Il ne faut pas oublier qu'il y a quelques colonies de phoques gris en Bretagne et qu'ils sont une de ses proies favorites. Depuis pas mal d'années, ces colonies sont en constante augmentation. Il se pourrait que les grands blancs commencent à devenir communs d'ici quelques années dans les eaux bretonnes, tout du moins, près des colonies de phoques. Ce n'est pas du domaine de la fiction, c'est simplement réaliste.
Il y a quelques années, un grand blanc a été observé dans le Vieux Port de Marseille. C'était pas une sardine. Etant présent toute l'année en Méditerranée, c'est un peu moins surprenant que pour la baie de Brest.

Voici le récit de plongeurs au large de Marseille. Il n'est pas daté pour l'année, mais ce doit être très récent.

"Un grand blanc à Marseille !

La baie de Marseille et sa Bonne Mère n'en sont pas revenus... Un grand requin blanc a été aperçu par des plongeurs début octobre au détour d'une balade sur une épave familière qu'ils croyaient tranquille. Le squale n'a pas été agressif, mais quelle frousse pour les palanquées!

Il fait beau ce matin du samedi 6 octobre. Le club Abyss Explorers dirigé par Claude Wagner effectue une sortie entre les îles du Frioul et l’île de Maïre, au large de Marseille. Là, est coulé un bateau de la première guerre mondiale : « Le Miquelon. » L’épave est belle, l’eau est claire, chaude pour la saison : à 50 mètres, où se situent les restes du bateau, le thermomètre affiche 18°C.

L’équipe qui plonge est expérimentée (moniteurs, NIV et III), complice, ayant l’habitude des sorties ensemble. Neuf plongeurs ont sauté à l’eau.

En surface, Claude Wagner assure la sécurité. Il est serein. La mer ne bouge pas, l’eau est limpide, il connaît les palanquées, même s’il sait qu’en plongée, il ne faut jamais se laisser endormir par « la routine ».

Deux plongeurs remontent : un couple ravi qui raconte son odyssée au milieu des poissons. Il s’étonnent aussi d’avoir vu des congres en pleine eau. Sans être capables pour autant d’en définir la raison. Ils se réchauffent à bord, discutant avec Claude Wagner qui scrute la mer en cherchant les parachutes de palier à l’horizon. Celui qui apparaît est celui de cinq plongeurs qui sortent de l’eau en hurlant avoir vu un requin énorme. Au départ, on prend leurs cris pour une « galéjade » d’automne. Mais leurs pupilles terrorisées convainquent vite Claude Wagner du sérieux de leurs dires. Ils sont hissés à bord vite fait. Un aileron apparaît alors en surface et le directeur du club se rend compte de la grosseur de l’animal : « Mon bateau fait six mètres. Il a longé le bateau, se collant à la coque. Il dépassait d’environ 20 à 30 centimètres... »

L’espèce ? Il est trop tôt pour l’évoquer. Ils ne savent pas. Malgré leurs mille plongées, certains sont totalement incapables de définir ce qu’ils ont vu si ce n’est un requin énorme, gueule ouverte, leur tournant autour.

« Puis on a vu sortir le second parachute, avoue Claude. Il me manquait deux plongeurs. Nous avons fait signe à un bateau de pêche qui croisait. Nous voulions essayer d’attirer l’animal pour qu’il nous suive et que les pêcheurs récupèrent les plongeurs. Et là, je me suis dit ils sont morts, car l’animal est allée droit sur eux. Un de nos plongeurs de bord a alors sauté à l’eau pour aller récupérer ses camarades. Il est revenu avec l’un d’eux. Le second s’était scotché sur 7-8 mètres, car le requin attendait dans la zone de surface. Il est finalement remonté à toute allure, se sentant voler hors du bateau, hissé par des mains secourables. Nous avons appelé les pompiers, demandant une aide d’urgence, car les paliers n’avaient pas été effectués correctement, mais là, je dois dire que j’ai été déçu, car ils n’avaient pas apporté le matériel adéquat. Je leur avais précisé qu’il me fallait de l’oxygène pour trois personnes, ils sont arrivés, en retard, pas au bon endroit, avec un seul appareil et un seul embout... »

Trois plongeurs sont allés se ressourcer quelques temps dans un caisson de recompression. Plus de peur que de mal. Ils n’avaient oublié que « deux minutes de palier ».

Longtemps après, autour d’un bon café chaud, ils ont rassemblé leurs souvenirs, regardé dans des livres. Un des plongeurs, dentiste, se souvenait particulièrement bien de la forme des dents du squale. Son ventre blanc et son dos gris ne souffraient d’autre incertitude : "carcharodon carcharias, le grand requin blanc, la mort blanche ». « Il n’a jamais été agressif, inquisiteur, mais il était si gros ! ».

Chaque année, on recense environ 20 témoignages sérieux attestant de la présence de grands requins blancs en Méditerranée. On sait qu’ils sont là, comme dans toutes les mers du globe. Mais il est rare qu’il s’approchent aussi près des côtes.

Celui aperçu à Marseille fut entrevu un peu après par des pêcheurs. Mais comme tous les prédateurs, il n’est pas resté au même endroit. Son territoire de chasse est vaste et son temps de résidence dans un lieu précis n’est que de quelques jours. "

Tu pourrais citer ta source ? Parce que j'ai un peu de mal à y croire...
J'ai vécu à Brest jusqu'en 1999 et je n'ai jamais entendu parler d'une telle rencontre dans la rade de Brest !
En revanche, on peut croiser des requins pélerins, des dauphins ou même des orques dans la mer d'Iroise. Mais un carcharodon...

Encore un autre article relatant la présence du grand blanc même là ou on ne l'attend pas.

"UN GRAND BLANC DANS LE CHANNEL

(Océans n°252, novembre-décembre 1999)

La revue Océans revient brièvement sur l’observation, désormais pratiquement authentifiée, d’un Carcharodon carcharias de 5 m dans le sillage d’un chalutier, au large de la côte sud de l’Angleterre en août dernier. Une première, vous voyez qu’on va finir par trouver une autre espèce à étudier en Bretagne ! " http://www.asso-apecs.org/article.php3?id_article=95

Tenez, un excellent lien nous contant les petites aventures de ces gentilles bestioles que sont les Grands Blancs.....
Je vous assure que ça vaut le détour...
Du coup, je ne sais même pas si j'irais encore me baigner ne serait-ce que les pieds dans la plus petite des mares.....
http://wshark.chez.tiscali.fr/temoignage.htm

Qui a dit que le grand blanc était gentil ? C'est un super-prédateur, qui fait son boulot...
Bon, il se trouve que son boulot, c'est manger, mais avouez qu'il le fait remarquablement bien et en toute élégance !

En ce qui concerne les plongeurs de la région de Marseille, ils ont eu beaucoup de chance. Les grands blancs de Méditerranée (qui ont soit dit en passant le dos plus ombre que leurs congénères des autres mers) sont réputés comme les plus agressifs de leur espèce, parce que les ressources à cet endroit sont moins importantes que dans les autres endroits où on croise régulièrement le carcharodon.

Je ne sais pas ce que vous en pensez, mais l'histoire du grand blanc à Brest est quand même tirée par les cheveux. Je me suis renseigné sur les phoques en Bretagne. Voici ce que j'ai trouvé :
"Les phoques gris en France sont à la limite sud de leur aire de répartition dans l’Atlantique Nord-est. Alors que l’on dénombre plus de 130 000 individus autour des îles britanniques, seule une petite centaine d’individus environ sont recensés sur les côtes françaises, en Bretagne. La majorité d’entre eux sont observés dans l’archipel de Molène, à la point du Finistère, où l’on peut dénombrer entre une quarantaine et une soixantaine de phoques selon les saisons. Cet archipel est au centre d’un important projet de Parc National Marin en Mer d’Iroise, ayant pour objectif de gérer et protéger une faune et une flore exceptionnelles tout en préservant les activités humaines."
A celà il faut savoir que les gros poissons (genre thons) sont rares. Les plus gros sont les congres qui sont les murènes des eaux tempérées. Il y a aussi des cétacés (surtout des dauphins). Ce ne sont pas les proies du grand blanc. Donc soit cet article était bidon soit c'était une mauvaise appréciation de l'animal. Le requin pèlerin et le requin taupe sont présent, sans être commun, sur les côtes de Bretagne et font à peu près la même taille que lui. Le 2ème est de la même famille que le carcharodon et lui ressemble. Sinon c'est un grand blanc qui a voulu passé ses vacances loin de chez lui attiré par l'odeur des galettes.
Il y a quelques années, un anaconda a été aperçu par des elfes et des lutins dans la forêt de Brocéliande...

C'est ce que je me tue à dire !!!
J'ai déjà vu un orque échoué sur une plage près de Brest mais un carcharodon Jamais entendu parler !!!
Je suis plus que sceptique !!!
Déjà que moi j'ai du mal à me baigner là-bas sans shorty alors un carcharodon ...
Désolé mais les "on dit" sans lien, suis pas fan...



H.S : j'adore ton humour Moginie !

En fait, l'anaconda a été arrêté vite fait car il y a eu les preuves qu'il était le principal responsable des incendies de forêt. Sans alibi, c'était dur d'échapper à la justice. Il a été menotté et placé en garde à vue.

Et non car il est menotté! Ses affaires personnelles ont été placé sous scellé. Mais Jennifer Lopez a donné une caution de 3 000 000 $ pour sa libération. Si ça ne suffit pas, elle va donner un concert en faveur des droits des anacondas en compagnie de Zidane et de Mme Chirac. D'après un communiqué du chef de la police, un concert de jennifer Lopez serait semblable à la comète qui a détruit les dinosaures. De plus, un bon nombre d'anaconda sont devenus sourds ou bien se sont retrouvés en HP depuis son film. Une interview exclusive de l'anaconda sera retransmise ce soir sur TF1. L'affaire ne fait que débuter.

... et elle va se poursuivre dans le topic "Rions un peu" de la section "Café". Pas ici. Merci.

Je crois mais je ne sais plus dans quel topic il en était question...
Je parle du gars qui plonge avec les requins blancs...Il les caresse, leur faits des poutoux sur la queue...

Et bien non, ce n'est pas un fou...

En fait il connaît parfaitement ce type de requins.
Par exemple il ne plonge avec la mort blanche seulement si cette dernière ne possède pas de cicatrices sur le museau, plus il y a de cicatrices plus on a affaire à un requin agressif, imprévisible et dangereux...
Il le regarde évoluer un long moment avant de plonger, voir s'il est tranquille... et plouf... Il va faire ami-ami avec mon pire cauchemar...

Celui qui plonge sans cages avec les white sharks doit effectivement connaître leurs différentes attitudes. Je ne crois pas qu'ils parlaient de cicatrices sur le museau dans le reportage. Chaque requin a une "personnalité" différente. Si le requin est joueur, c'est bon signe. Dans l'eau, le plongeur doit montrer au requin qu'il est neutre. Si celui-ci le teste, change de comportement et devient agressif, le plongeur doit reprendre le dessus en lui montrant qu'il peut lui aussi être méchant. C'est un grand classique de la nature par hiérarchie.
Ce reportage prouve bien que les grands blancs sont loin d'être des animaux para-normaux, n'en déplaisent à ceux qui ne voient que les rares attaques et les dents de la mer.
Désolé Cortex pour les blagues. Désolé aussi Jennifer. C'est le week-end et après une semaine de taf on a besoin de décompresser (sans bouteilles).

Les images de ces plongées "en direct live" sont d'ailleurs magnifiques ! Celles où ce plongeur enseigne son art un peu spécial à Cousteau fils (damned, je mange son prénom à chaque fois... ) m'ont littéralement scotchée devant ma télé.

Je suis convaincue qu'en effet ils ne risquaient pas grand chose, mais je ne le ferais pas pour tout l'or du monde ! J'admire et respecte profondément les requins, surtout celui-ci, mais de là à aller lui faire des papouilles... Je peux pô, j'ai piscine !

Supposont que les megalodons vivent dans les profondeurs abyssales, pensez-vous qu'ils auraient développé des organes lumineux leur permettant ainsi de créer leur propre lumière dans les fosses abyssales ?

Oui. Comme il n'y a pas de lumière dans les grands fonds, les poissons n'ont pas besoin de leur vue. Certains habitants des abysses ont développé un système chimique complexe pour attirer les proies ou bien les femelles de leur espèce : la phosphorescence. Si quelques megalodons ont survécus, il est plausible qu'ils aient hérité, dans leur évolution, d'un gyrophare sur le front et/ou les nageoires.

Peut-etre qu'ils en ont à des endroits comme sur le coté du corps ou l'extérieur des branchies, ca s'est déja vu. Peut-être meme qu'ils ont développé un systeme de bioluminescence complexe leur permettant d'envoyer des ''messages codées'' à l'aide de motifs ou plus du style stroboscope-rave-bouledisco. Qui sait, ce type de megalodon abyssal évolu peut-être depuis des millions d'années!

Peut-être qu'ils ont aussi une antenne satellite pour regarder xxl. Faut pas exagérer non plus. La nature a parfois doté des animaux de fonctions ou d'outils tout à fait exceptionnelles mais pas extraterrestres.

Et pourquoi pas, les seiches, les calmars et les pieuvres sont bien capables d'en faire autant, ainsi que de nombreux poissons abyssaux. Alors pourquoi pas une variété de requins adaptés aux fonds marins depuis des millions d'années.

Une chose me viens à l'esprit... A l'heure où l'on parle de rechauffement de la planète, ca se pourrait que si ces bébêtes existent, elles puissent remonter vers la surface au fur et à mesure que l'eau se réchauffe?

J'ai lu le livre "Megalodon" de je sais plus qui, franchement, j'aimerais pas me retrouver face a une de ces bestioles

Le livre Megalodon a été écrit par Steven Alten. Son requin mesure 50 ou 60 m et se tape des sandwiches aux sous-marins. Le megalodon ne mesurait qu'entre 12 et 15 m avec des dents pouvant atteindre jusqu'à 15 cm et une mâchoire d'1m50. Ce qui est déjà énorme.
En ce qui concerne les calmars géants, il leur arrive très rarement de remonter en surface. Se sont des invertébrés. Pour un megalodon, qui est un poisson des grandes profondeurs, la remontée en surface doit être très délicate aux vues des différences de pressions. Lorsque des scientifiques remontent des animaux du fond de la mer, bien souvent ils ont éclaté à cause de la différence de pression. Celà dit, un requin est dépourvu de vessie natoire, ce qui lui permet plus facilement de supporter les pressions. . Mais pourquoi un megalodon remonterait des profondeurs si l'eau se réchauffe. Le réchauffement de la planète concerne uniquement les eaux de surface et les courants. A 10000 m de fond, l'eau garde toujours la même °C (proche de 0) et les courants sont rares. Mais pourquoi pas.

Bah à grande profondeur, comme dit dans un post précédent, t'as de l'activité sismique donc des températures bien chaudes

Par contre entre 12 et 15 mètres pour la taille, ca me parait petit... (enfin tout est relatif comme on dit ^^)

Je crois même qu'on a deja répertorié des grands blancs de 12m

C'est d'après les fossiles des dents que la taille des megalodons a été mesurée par les scientifiques. A l'origine, ils pensaient qu'ils étaient + grands pour jouer dans le sensationnel. Le plus grand requin blanc jamais pêché faisait 7,10 m (à Malte). Des grands blancs de 10, 12 m ont été soi-disant observés. Il n'y a jamais eu de scientifique à en avoir vu de cette taille même si certains affirment qu'il peut atteindre 8 ou 9m de long. Il y a tous les jours des scientifiques ou des passionnés à observer des grands blancs. Dans la plupart des reportages (qui commencent à être nombreux) sur le carcharodon, les requins observés font entre 3 et 6 m. A mon avis, les grands requins blancs de 10-15m se cachent car ils ont peur de la caméra et de devoir signer des autographes à leurs fans.
Pour les sources d'eaux chaudes des profondeurs, elles dégagent, outre de la chaleur, des vapeurs de souffre toxiques pour tout être vivant. Quelques animaux ont cependant évolué pour avoir un système chimique qui leur permet de vivre à leur aise dans ces eaux.

Tiens, le megalodon refait surface !
Je crains malheureusement, qu'après toutes ces hypothèses toutes plus diverses les unes que les autres... et j'ai moi-même la mienne; nous ne saurons pas encore en mesure de savoir si ce fantastique animal a bel et bien survécu.

En outre, je reviens sur ce point: le fait qu'il vive dans les abysses n'est pas tout à fait exact. A l'heure qu'il est, personne ne peut affirmer cela.
Il vivrait à des profondeurs plus importantes que ces ancêtres actuels, mais pas dans les lieux abyssaux, où il ne trouverait pas de nourriture suffisante pour lui. Se sont des hypothèses bien sûr, je me penche sur tout ce que j'ai pu lire.

...
Hmmm... le fait qu'un animal soit invertébré ne signifie pas pour autant qu'il ne peut pas remonter en surface.

Autre hypothèse, le megalodon a besoin de grosses proies, mais comme le grand blanc, il peut rester plusieurs semaines sans rien manger. Il se peut qu'il suive les migrations des baleines et se nourrise de calmars géants. Mais bon, même si ce genre d'hypothèse tient à peu près debout, il ne reste plus qu'à en avoir des preuves.
Ce qui me gène beaucoup dans l'existence possible du megalodon c'est que l'on retrouve parfois des baleines ou des calmars échoués sur les plages. Pourquoi on ne retrouve pas des megalodons échoués ? Même des espèces rares se sont échouées.

Oui, tu as raison Moginie. Et je te suis sur ce point. Pourquoi ne retrouve t-on pas de megalodons échoués ?

Nous savons que les calamars géants, à l'instar des super-géants remontent parfois à la surface pour bouffer. Et que nous en retrouvons des échoués, ceci en raison d'une lente agonie dûe aux températures trop froides des eaux dans lesquelles ils se sont retrouvés.
D'autres espèces également ont été retrouvées échouées un peu partout dans le monde.

Nous savons aussi que si les calamars géants s'échouent, c'est qu'ils sont très souvent pris dans des courants forts ( le Gulf Stream, par exemple ).
Or, d'après certains témoignages, nos chers amis les megalodons, remonteraient eux aussi en surface pour aller se nourrir.
Donc, pourquoi ceux-ci ne seraient-ils pas pris dans ces mêmes courants ? Peut-être qu'ils ne partagent pas les mêmes coins d'avec les calamars géants. Ou qu'ils sont mieux adaptés pour affronter ces courants.

Il y a plusieurs hypothèses là-dessus. Aussi, le Gulf Stream suit un parcours bien déterminé. Je regarderai où passe ce courant, et savoir s'il passe dans "le supposé" habitat du megalodon.
Ou alors, s'ils ne séchouent pas, c'est qu'ils restent dans leur profondeur et se cantonnent à ce qu'ils trouvent pour manger. N'oublions pas que dans les profondeurs marines, il y a quantité d'animaux dont nous ne soupçonnons même pas l'existence.
Donc, en admettant que l'hypothèse disant que le megalodon ne remonterait pas en surface; cela voudrait dire que tous les témoignages ne tiennent pas la route.

Pffff Que de questions sans réponses. Et que d'hypothèses.