Bonjour à tous,
C'est parti ! Jusqu'au 17 avril, Le Télégramme.com vous invite à découvrir chaque vendredi un épisode de la série "Les Périls de Charles Jude". Voici le premier des cinq volets de ce film réalisé par le Vannetais Donovan Potin. Et à vendredi prochain pour la suite...
L’histoire ?
Années 30. Le jeune journaliste parisien Charles Jude est discrédité. On lui confie pourtant un « reportage de la dernière chance ». Un reportage embué de mystère en plein centre de Vannes aux relents de fantastique où spiritisme, escroquerie et suspens forment le brelan d’un jeu dangereux...
Un « serial » ?
Pourquoi remettre au goût du jour ces vieux « serials » ? Ces films poussiéreux dont peu de monde se souvient. Ils sont pourtant à l’origine du cinéma populaire moderne, comme Indiana Jones. Composés comme un feuilleton, on les projetait aux spectateurs au cinéma, avant chaque séance, histoire de fidéliser le public… Savants fous, rebondissements de dernière minute, gangsters de tout poil et situations improbables nourrissent le genre. Un genre à la fois aussi agréable à réaliser qu’à regarder.
L’initiative ?
Janvier 2008. La jeune association Carpeta n’en est qu’à ses balbutiements. Son but : développer de multiples projets audiovisuels (fictions, clips…) dans le pays de Vannes. Très vite, ses membres font le constat que rien n’existe, ou presque, dans ce domaine en région vannetaise. Comment lancer une dynamique ? Naît alors le projet Les Périls de Charles Jude. Un projet de cinq courts-métrages d’une même série, tournés volontairement sans subvention, avec l’idée de s’appuyer simplement sur les associations, les comédiens bénévoles, les musiciens locaux… en laissant à chacun sa part de liberté. Un an plus tard, plus d’une dizaine d’associations et quelques 83 bénévoles ont participé à l’aventure. Prouvant au passage que la réalisation de courts-métrages amateurs ne nécessite pas forcément de grands moyens mais juste un peu de temps et beaucoup de gens.
Episode 1
Années 30. Le jeune journaliste parisien Charles Jude vient sans doute de rater le sujet du siècle. Il apparaît comme discrédité aux yeux de son turbulent rédacteur en chef, Auguste Harvard. Néanmoins, ce dernier, responsable du journal La Capitale, accorde à son poulain une dernière chance. Il l’envoie à Vannes. Une petite ville de province où un savant, Nathan Wilde, pratique des séances publiques de spiritisme par le biais d’une machine révolutionnaire…
le lien :
http://www.letelegramme.com/static/vide ... yROoafJ_FuM. Expert fouineur.
PS : Belle époque du spiritisme, original, j'adore l'initiative.