Je crée ce sujet suite à la lecture d'un article sur la visite discrète du président birman THEIN SEIN en France le 17 juillet.
http://www.liberation.fr/monde/2013/07/ ... man_918919De là, je fouine sur internet, et surprise, j’apprends que la Birmanie n'existe plus
Elle s'appelle depuis 2010 la "République de l'union du Myanmar" et ses habitants des Myanmarais ! (qui se traduirait par les premiers habitants du monde, les Bya Ma du pays merveilleux). Je continue, et je tombe sur un article de Médiapart qui m'apprend que sa capitale n'est plus RANGOON comme je l'ai appris sur les bancs d'école, mais NAYPYIDAW
http://www.mediapart.fr/journal/interna ... ntomatiqueA savoir que les militaires au pouvoir ont également changé l'hymne national et le drapeau officiel.
http://fr.wikipedia.org/wiki/BirmanieCe qui m'étonne, c'est surtout d'être passé complètement à coté de cette actualité, et de constater que ce pays a connu une véritable transformation par les militaires au pouvoir. Bon, il faut dire que la Chine et l'Inde ne sont pas loin, et que les occidentaux évitent de créer des tensions diplomatiques qui nuiraient aux échanges commerciaux. Le pays connait des dictatures militaires depuis 1962, et a déclaré depuis 2011 s'orienter vers la démocratie.
Un article de Wikipédia m'a également interloqué : "Depuis toujours, l'astrologie et le pouvoir ont été liés en Birmanie. Le mécontentement de 1988 était notamment lié au fait que Ne Win, écoutant son astrologue, avait décidé de remplacer tous les billets de banque par d'autres dont les valeurs seraient des multiples de « 9 », son chiffre porte-bonheur. Le déménagement vers Nay Pyi Daw s'étant fait à une heure précise, déterminée par le calendrier lunaire, il est probable que la décision de changer de capitale a été influencée par les astrologues de la junte."
_________________
Vuos arrievz à lrie cette prhase fcailenmet, bein que les lerttes soeint dans le désrdore : vrote cevraeu lit cahque mot cmmoe un tout.
Le cerveau n’enregistre qu’un petit nombre de détails pour fabriquer notre perception de la réalité.