Oui,
la fessé et le coin, ca a franchement des vertus salvatrices.
Éduquer sans punir... a part par le chantage: t'auras ça, si tu fais ça (ce qui en soit est pire que la fessé...), je vois pas comment contenir les crises d'autorités d'un enfant.
Un gamin, ca teste, ca cherche les limites. Et surtout ca a besoin de se faire engueuler pour sentir qu'il existe un cadre.
Et hop, je reparle de ma vie: comme dit précédemment, "ma fille" n'est pas ma fille. Je m'en occupe 24/24. Je me considère effectivement comme son père et c'est réciproque
Et étonnement, j'ai eu cette place dans son coeur, quand j'ai commencé a l'engueuler / la punir...
Avant, elle etait... comment dire: irritable, des crises jusqu'à se taper la tête contre le sol.
Apparemment, que je l'engueule, que je la punisse pour l'éduquer... bah, elle a eu l'impression qu'elle comptait. Que quelqu'un s'occupait vraiment d'elle (et de son cas
)
Alors ok, elle en a été triste de se faire punir, elle a eu du mal a comprendre, elle s'est un peu révolté. Maintenant, c'est une fille totalement adorable; qui casse les pieds de temps en temps mais de façon normal, rien de comparable a ce que m'avait raconter sa mère.
Bref, ce genre de bouquin... Effectivement, c'est à la hauteur de tout ce que j'entends dans les témoignages des familles avec enfant à problème. Une bonne rouste au lieu du "mais pourquoi t'as fait ça, c'est pas bien. Promis que tu recommences pas, t'as fait de la peine a tes parents. Allez, bisous. Tiens prend ce dvd pour te récompenser que la prochaine fois t'es sage..."; ca a plus de résultat. Et au final, ca rend plus équilibré l'enfant
(Et c'est ainsi que des membres du forum demanda aux services pour l'enfance à se présenter chez moi.)