En faisant une brocante, je suis tombé sur un bouquin hilarant : Le livre des bides, de Stephen Pile.

Florilège :

Acte de bravoure.

En juillet 1978, les employés d'une banque californienne refuse de laisser entrer un homme porteur d'un paquet suspect.

Soulagés, ils regardent le bandit s'éloigner pour aller jeter son paquet inutile. C'est alors qu'un passant, n'écoutant que son courage, pourchasse le voleur et le maîtrise. Il s'empresse de ramener le paquet à la banque.

Celui-ci contenait une bombe à gaz lacrymogène réglée pour exploser au bout de deux minutes. Il fallut une bonne demi-heure pour aérer l'endroit et emmener à l'hôpital les occupants de la banque sauvée du désastre par le courageux passant. Lequel refusa de se faire connaître.

Efficacité ?

Lors d'une visite de retine chez son médecin, en 1978, M. Harold Senby, de Leeds, Angleterre, découvrit qu'il entendait mieux lorsqu'il enlevait le sonotone qu'il portait depuis 20 ans.

Un examen plus poussé révéla que, depuis 1950, il portait l'appareil enfoncé dans sa bonne oreille.

Le feu aux poutres

En 1972, Derek Langborne, un chercheur d'Upton, Angleterre, alluma du feu dans sa cheminée puis sortit pour remplir son seau à charbon.

En rentrant, il découvrit qu'une bûche avait roulé hors de l'âtre et mis le feu au panier à bois. Il se saisit de celui-ci et s'empressa d'aller le déposer dans le jardin. Sur le parcours, il frôla le rideau protégeant la porte. Quand il revint dans la maison, le rideau et la porte étaient en flammes.

Tandis qu'il téléphonait aux pompiers, il s'aperçut que le panier déposé dans le jardin avait mis le feu à sa voiture.

Il enfila son pardessus et se précipita vers sa voiture, armé d'un seau d'eau, mais trébucha malencontreusement sur un bidon de pétrole.

Quand les pompiers arrivèrent, Derek Langborne achevait de s'extraire tant bien que mal de son pardessus en flammes.


Allez, j'en mettrai d'autres régulièrement. Il y en a des vraiment gratinées.

Excellent! J'ai une petite préférence pour la seconde.

C'est très amusant effectivement, n'hésite pas à en mettre d'autres

A la demande générale...

Une petite, adaptée au forum.

Je vois, je vois... rien !

Un congrès de la voyance se déroula à l'hôtel Sheraton de Paris en avril 1978. Diseuses de bonne aventure, cartomanciennes et lecteurs de marc de café ou de boules de cristal s'y présentèrent en grand nombre et la manifestation attira d'innombrables curieux.

Le dernier jour, un journaliste anglais demanda s'il y aurait un autre congrès l'année suivante.
- Comment voulez-vous qu'on le sache ? répondit une des voyantes.

Cela pêche quelque part !

En 1972, au concours annuel de pêche des ambulanciers de Kidderminster, Angleterre, deux cent d'entre eux s'étalèrent le long du canal réservé à la compétition, trempèrent leur fil et disputèrent durant cinq heures cette palpitante opération. Il n'y eu pas la moindre touche.

Incapables de se départager, ils y seraient encore si un passant, après les avoir observés un long moment, ne les avait informés qu'on avait retiré tous les poissons du canal trois semaines auparavant pour les transporter dans des eaux moins polluées.

Je lis les Darwin awars pour me rendre compte de la bêtise humaine mais ton bouquin m'a l'air tout aussi intéressant

Effectivement, on sent bien que certains ont pas la lumière dans toutes les pièces

Oh oui !

Canal moins

En 1840, une entreprise de construction fut chargée de réaliser une voie d'eau entre deux lacs, Corrib et Mask, en Irlande. Dans un grand élan d'inspiration digne des plus grands poètes, elle la construisit en calcaire poreux. Le résultat fut spectaculaire : aussitôt qu'on y mettait de l'eau, elle s'écoulait.

Dans un effort louable pour arranger les choses, on colmata le canal d'une couche d'argile. Toutefois, on découvrit rapidement qu'un des lacs était en contrebas de l'autre. Vers la fin du chantier, les ouvriers réalisèrent qu'ils demandaient à l'eau de couler à contre-pente.

C'est alors que le projet fut abandonné, laissant des quais où nul bateau ne s'amarra jamais et un pont sous lequel rien n'a jamais flotté.

On ne sait pas pourquoi, nos amis Irlandais tiennent à préciser que le promoteur du canal était citoyen britannique.

Chauffeur, si t'es champion...

Quelle ligne d'autocars peut rivaliser avec celle desservant les plaisantes localités de Hanley à Bagnall dans le Staffordshire, en Angleterre ?

En 1976, on apprit que les cars ne s'arrêteraient plus pour prendre d'éventuels passagers. Ce scandale éclata quand l'un de ceux-ci, Bill Hancock, se plaignit que les cars brûlaient les arrêts prévus, laissant en carafe des queues de trente passagers et plus.

En réponse, le conseiller Arthur Cholerton entra dans l'histoire des transports en commun, déclarant que, si les cars s'arrêtaient pour prendre des passagers, la régularité des horaires en serait compromise.

Ça, c'est bête !

La grande grève des pompiers de 1978 rendit possible l'un des plus spectaculaires sauvetages de tous les temps.

Vaillamment, l'armée avait pris en charge les sinistres urgents et le 14 janvier, les militaires furent appelés par une vieille dame de Londres pour attraper son chat, coincé en haut d'un arbre. Ils arrivèrent avec une promptitude remarquable et remplirent leur mission à la satisfaction générale. La dame, ravie, les invita à prendre le thé.

En repartant, accompagnés de remerciements et de bénédictions, ils écrasèrent le chat.

C'est génial

Ca a bien sa place dans un forum paranormal!

J'aimerais pas être à sa place mais dis comme ça c'est digne de Mr Bean

PILOUFACE: Celle avec les voyantes oui

Le coup du chat est énorme j'imagine trop la tête des mecs

"oups "

Et celle de la petite vieille...

Il n'avait plus la banane !

Le maire de Coacaloco démissionna spontanément, estimant qu'il n'avait pas réussi dans sa mission.

Il parvint à cette conclusion lucide avec l'aide de 4000 électeurs qui ravagèrent l'hôtel de ville, s'emparèrent de lui et le forcèrent à ingurgiter de force sept kilos de banane. Après quoi, il démissionna.

Haute fidélité

Frédéric-Auguste fut Electeur et devint roi de Pologne. A sa mort, en 1699, les rapports de sa domesticité révélèrent qu'il n'avait donné le jour qu'à un seul enfant dans les liens du mariage, Maurice.

Toutefois, les mêmes sources démontrèrent que la fidélité conjugale de Frédéric-Auguste laissait à désirer, vu qu'il était responsable de 345 enfants illégitimes.

Rendez à César...

Jusqu'à 1971, dans un musée de South Shields, au Nord-Est de l'Angleterre, on exposait une pièce de monnaie romaine, une sesterce frappée entre 135 et 138 avant Jésus Christ.

Toutefois, la jeune Fiona Gordon, 9 ans, fit remarquer qu'il s'agissait en fait d'un jeton-prime en plastique distribué par une marque de sodas en échange de plusieurs étiquettes. D'après elle, les panneaux du musée avaient dans les deux mille ans d'avance.

Sommée d'apporter la preuve de ses affirmations, elle dit :
- C'est tout bête. La marque du soda est gravée dessus.

Un responsable du musée reconnut son erreur numismatique en ces termes :
- Ce jeton ressemble à la réplique d'une pièce romaine. Nous nous sommes tout naturellement imaginé que la lettre R gravée dessus signifiait Roma. En fait, c'était le sigle des sodas Rototo.

Enormissime ! Encore encore

Faut vraiment ne jamais l'avoir eu dans les mains pour confondre une pièce métallique de 2000 ans avec une pièce en plastoc qui vient du supermarché du coin

Ah il est fameux le numismate!

Moui... ou alors c'est juste qu'ils ont trouvé le moyen d'avoir un super argument de vente des billets d'entrée pour un jeton en plastique...
J'ai du mal à croire que des conservateurs de musée n'aient pas vu la différence entre une vraie antiquité et un gadget marketing.

Bof, il y a bien des médecins qui déclarent des personnes décédées alors qu'elles ne le sont pas. Alors les spécialistes...

A ce train là...

Peu d'ingénieurs atteignent à la perfection de Francis Webb, qui dessinait les plans des locomotives pour les chemins de fers britanniques à la fin du XIXème siècle.

La plupart de ses premières machines furent du modèle courant, ni plus rapides ni plus puissantes que les autres modèles, mais plus couteuses, moins efficaces et tout à fait catastrophiques au départ. C'est pourquoi il s'ingénia à les perfectionner, tant et si bien qu'elles ne réussissaient même plus à démarrer.

Son chef-d'oeuvre, la "Teutonique" comprenait deux paires de roues motrices non synchronisées, et tournant simultanément dans des directions opposées. L'engin demeurait sur place, haletant péniblement et crachant la fumée, les roues tournant sans effet notable.

Pour surmonter ce problème, la Compagnie des Chemins de Fer prit l'habitude d'utiliser deux locomotives par train. Une fabriquée par Webb et l'autre d'une marque différente pour enfin faire rouler les convois.

Le bras long

En mars 1979, des ouvriers remplacèrent un poteau télégraphique auquel était fixée une boîte aux lettres.

Ces consciencieux travailleurs ne possédaient pas la clé spéciale indispensable pour démonter la boîte aux lettres, fixée par deux bracelets autour du poteau. De sorte qu'il la firent coulisser le long de l'ancien poteau, puis la glissèrent de même sur le nouveau. Or le nouveau poteau s'avérant plus épais que l'ancien, la boîte aux lettres s'immobilisa définitivement à deux mètres du sol.

Elle demeura dans cette position élevée pendant trois semaines au cours desquelles les usagers continuèrent de l'utiliser opiniâtrement.

On m'a dit, avoua le facteur Ernie McDermott, que les gens venaient avec un escabeau. Par ici, ils n'aiment pas changer leurs habitudes.

Il faut faire son trou

En 1912, une américaine entra dans les anales du golf en réussissant un trou en 166 coups.

Au cours du parcours de qualification de la compétition internationale féminine de Shawnee, Pensylvanie, aux Etats-Unis, cette personne douée s'approcha avec confiance du seizième trou, pour lequel une moyenne de quatre coups avaient rarement été dépassée. Toutefois, son premier coup expédia la balle, au terme d'une harmonieuse trajectoire, dans la rivière Binniekill, obstacle que tout autre joueur aurait juré infranchissable, voire rédhibitoire.

Voyant que la balle flottait, elle loua un canot à rames, mit son mari aux commandes et se planta sur la prou, sans lâcher son club de golf. Près de deux kilomètres durant, son mari se contenta de ramer en silence, et de tenter d'éviter les dangereux moulinets du club qui frôlaient ses oeuvres vives.

Finalement, elle ramena la balle à terre mais du mauvais côté, et revint sur le terrain après un long itinéraire à travers une forêt. Ses adversaires avaient depuis longtemps perdu tout espoir de la revoir quand il perçurent un cri de triomphe et virent la balle s'abattre sur le green, en provenance d'une direction totalement inattendue.

Après quoi, il ne fallut plus que deux heures à la championne pour amener sa balle dans le seizième trou.

Efficacité allemande

Le 22 février 1940, un bombardier de la Luftwaffe, survolant la côte de Borkum, aperçut deux navires de guerre. Dans un excès de zèle meurtrier, il mitrailla, bombarda et coula proprement les deux navires.

Jamais un avion seul n'avait causé autant de dommages. Les destroyers "Lebrecht Maass" et "Max Schultz" appartenaient tous les deux à la marine allemande.

La main ou la fuite ?

Dans les années 1900, un instituteur de Londres s'éprit d'une adorable jeune femme prénommée Gwendolyne et vivant dans le Sussex. Profitant d'un congé scolaire, il se rendit dans la maison familiale de son aimée, située près de Lewes, pour lui demander de l'épouser.

Au cours de la première nuit, il s'éveilla à trois heures du matin, en proie à une forte soif. Cherchant dans l'obscurité l'emplacement de l'évier, il renversa un objet non identifié. Quand il s'éveilla au matin, il découvrit qu'il avait renversé un encrier sur une précieuse tapisserie du quatorzième siècle, joie et fierté de la mère de Gwendolyne. Il s'enfuit immédiatement sans même chercher à voir celle qu'il aimait.

Une fois les choses tassées, il revint pour faire une nouvelle tentative. Afin de réduire les chances de désastre, il décida de ne passer qu'une demi-heure dans l'après-midi. Il demanda à la mère de Gwendolyne s'il pouvait s'entretenir avec sa fille. Tandis qu'elle allait la chercher, il s'assit sur ce qu'il pensait être un coussin.

Ce n'était que le pékinois de maison, qui ne survécut pas à l'expérience. De nouveau, il s'enfuit sans avoir fait sa demande.

Tous deux se sont quand même mariés. Mais avec d'autres personnes.

Le coup de la locomotive c'est quand même abusé, faut vraiment être tarte

Je suis un peu dubitatif aussi, mais pas tant que ça.

Quand les frères Whrigh travaillaient sur leur avion, ils ne réussissaient pas à le faire décoller. Jusqu'à ce que quelqu'un leur fasse remarquer que leurs deux moteurs s'annulaient l'un l'autre. Une fois le problème réglé (avec des courroies en 8, de mémoire), on a eu droit au premier vol.

Olé !

En 1958, la ville de Lindsay organisa une corrida au cours de laquelle aucun taureau ne fut tué. Il n'y avait d'ailleurs aucun torero présent.

Comme c'était la première corrida se déroulant au Canada, on dut importer spécialement six taureaux de Mexique. Quand ils arrivèrent, ils avaient attrapé des tiques et on les mit en quarantaine pendant huit jours. Entre-temps, les toreros engagés étaient rentrés chez eux à Mexico.

Ensuite, la société protectrice des animaux décida que personne n'aurait le droit de tuer les taureaux, mais qu'on pourrait gagner rien qu'en les frappant du plat de la main entre les cornes. Ce qui causa de nouveaux problèmes, personne n'ayant prévu d'enclos pour garder les bêtes après la course.

Le deuxième taureau donna du fil à retordre pendant deux heures aux toreros amateurs, aux organisateurs et à la police locale, tandis que les spectateurs braillent encouragement et conseils.

L'inspecteur Gordon Ebert devait déclarer : "l'animal a simplement refusé de travailler avec des amateurs".

Oh les boulets !

Ayant vaillamment franchi le Cap Horn, le voilier "Adventure", engagé par la marine Royale dans la grande course autour du monde, fut accueilli par une salve victorieuse de neufs coups de canons par le brise-glaces "Endurance", qui voulait saluer l'exploit.

Le sixième coup de canon atteignit 'l'Adventure", réduisant sa voilure en lambeaux.

Après mure réflexion

En 1900, Octavio Guillen rencontra la jeune fille qui allait devenir sa femme. Deux ans plus tard, il annonça leurs fiançailles avec Adriana Martinez, et chacun dit qu'ils feraient un très beau couple.

C'était toujours le cas en 1969, quand ayant longtemps muri leurs réflexion, ils se marièrent à Mexico. Tous deux avaient82 ans et ils étaient resté fiancés 67 ans.

Il y a aussi les coups de destin assez incroyables comme cela m'est arrivé.

Un jour à Nice, je m'arrête à une station service pour prendre de l'essence. C'est une station situé à la "sortie" du Paillon, non loin de l'embranchement de l'A 8. Je prends de l'essence... Je constate que ma voiture est sale et comme je dois me rendre à un mariage, je décide d'aller emmener ma voiture au rouleau automatique qui est situé juste à côté... Je retourne à la caisse pour avoir la carte de lavage, lorsqu'un espèce de crétin arrive avec une camionnette genre trafic à fond la caisse en me frôlant... C'est un chauffeur livreur, apparemment et il a l'air pressé. Je m'engueule avec lui et on n'en est pas loin d'en arriver aux mains. Pendant qu'il fait le plein, je regarde sa plaque d'immatriculation pour la noter. Alors qu'il est parti payer la caisse, un véhicule de la police nationale entre dans la station (les policiers venaient suite à une plainte du gérant de la station qui s'était fait voler une heure auparavant) Je fais signe aux policiers qui viennent vers moi. Je leur demande d'arrêter le chauffeur de la camionnette ce qu'ils font immédiatement. En fait je venais de leur montrer la carte grise de ma voiture qui indique la même immatriculation que la camionnette...

Il fallait donc trois choses : 1 - Que je sois là à ce moment là (car je n'habite pas Nice), 2 - Que ce chauffeur soit là avec sa camionnette (et surtout que je les remarque) et 3 - Que le gérant de la station ait fait appel à la police pour une autre histoire, survenue auparavant.

Epilogue encore plus fort : 3 jours plus tard, en rentrant chez moi, j'avais dans ma boite une contravention pour excès de vitesse enregistré dans les Alpes Maritimes. Convaincu qu'il s'agissait de la dite camionnette, j'ai demandé la photographie car l'amende indiquait la date de la veille (ou l'avant veille) de mon départ, cela ne pouvait donc pas être ma voiture.... Et ô stupeur, sur la photographie, il s'agissait bien de ma voiture... du moins, en apparence ! Après une rapide enquête de la police, ceux-ci ont constaté que le chauffeur de la camionnette en question avait une voiture identique à la mienne, et de la même couleur blanche, et il utilisait la plaque frauduleuse pour ses deux véhicules (ou alors 2 jeux de plaques). Alors que je n'étais pas à Nice ce jour là, il aurait fallu que je paye l'amende (et donc perdre des points)... Par contre le fait d'avoir été à Nice ce vendredi a permis de m'en sortir et de me justifier donc sans problème car je n'y étais pas la veille ou l'avant veille, un mercredi ou un jeudi, jour de l'amende.

J'ai expliqué cette histoire dans l'émission de Nagui "Tout le monde veut prendre sa place" en 2013, mais je n'ai pas gagné au jeu pour autant, comme quoi le "bol" ne dure pas toujours...

Vérifions sur Wiki qui ne dit pas tout à fait la même chose.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Z_3_Max_Schultz

Bien vu, Roger !

Ça, c'est vache !

En août 1977, un vétérinaire hollandais fut appelé pour soigner une vache malade. Afin de lui faire évacuer ses gaz intestinaux, il inséra un tube du côté de l'animal opposé à sa tête et frotta une allumette.

Un jet de flamme s'ensuivit, qui enflamma d'abord quelques balles de foins, et ensuite la ferme, provoquant des dommages évalués à 45 000 livres.

Par la suite, le praticien fut condamné à 140 livres d'amende pour incendie involontaire.

La vache s'en tira avec une psychothérapie.

Il n'y a pas de petites économies

En 1974, le conseil paroissial de Bramber, Dans le Sussex, en Angleterre, prit la décision, pour raisons d'économie, de couper l'éclairage urbain pendant trois nuits. Après quoi le trésorier de la paroisse fut heureux d'annoncer qu'on avait économisé pour 11,59 livres de courant.

Toutefois, il ajouta qu'il y avait une facture de 18,48 livres pour avoir coupé le courant et une autre de 12 livres pour l'avoir rétabli.

Il en avait donc coûté au conseil 18,89 livres pour avoir économisé le courant trois nuits durant.

De mal en Pi

Pi, nul ne l'ignore, est le rapport constant d'un cercle à son diamètre. C'est un nombre infini, que, pour simplifier les calculs, on arrête à la quatrième décimale, soit 3,1416.

Néanmoins, en 1897, l'Assemblée Législative de l'Indiana édicta un projet de loi portant la valeur de Pi à 3,2. Cela aurait eut pour effet que tous les calculs mathématiques de l'Indiana seraient devenus faux et que, par exemple, une horloge aurait pris quinze minutes de retard par heure.

Heureusement, adoptée par l'Assemblée Législative, elle fut rejetée par le Sénat (qui n'y vit d'abord aucune objection) d'extrême justesse, un mathématicien se trouvant là par hasard au moment du vote.

Là, j'ai quand même pris le temps de vérifier, tellement cela paraissait gros et un peu modifié le texte original, Roger.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Projet_de ... %27Indiana

"-Parlez moi de votre enfance...
- Meuh meuh. Meuuuuuhh meuh !"