On ne doit pas pratiquer la méditation de la même façon, toi et moi, alors...
Narel a écrit:
Pour y parvenir il faut s'approcher le plus possible du sommeil sans pour autant basculer dans l'inconscience. Il conviens pour cela de ne pas la pratiquer au cour de la digestion et sans avoir consommer ni alcool ni tabac ou aucune substance chimiquement active.
Sur ce point, je suis d'accord : il est très facile de s'endormir lors d'une séance de méditation. C'est d'ailleurs bien pour cette raison que lorsque les moines bouddhistes zen font des séances collectives de
zazen, il y a un surveillant qui observe les méditants et vient leur frapper - parfois sans ménagement - les épaules avec un bâton (le
kyosaku) lorsque ceux-ci montrent des signes d'endormissement...
Narel a écrit:
La technique étant dangereuse pour une personne qui ne sois pas en bonne santé car il s'agira de contrôler son rythme cardiaque d'une manière bien précise affin de plonger dans un état de détente absolue, de faire le vide et de pouvoir ainsi plonger en soie.
Tu arrives à contrôler ton rythme cardiaque par la pensée, au point de te faire tomber en léthargie ?...
Je suis toujours parti du principe que la méditation reposait sur un posture particulière (jambes en lotus -
padmāsana - ou en demi-lotus -
siddhasana, et surtout un bon appui de la colonne vertébrale), ainsi que sur un état d'esprit particulier (faire le vide et être observateur de ses propres pensées). Mais c'est ainsi que je l'ai appris, je suppose qu'il doit y avoir autant de méthodes que de courants ou de pratiquants...