Axolotl_Requiem,
Je ne sais quoi penser, mais si j'ai bien lu, contrairement à ce que l'on dit d'habitude, dans ce message je relève que la fonte des pôles n'entraînera aucune élévation du niveau de la mer en ce qui concerne les glaces disons immergées, seuls les glaciers peuvent créer des problèmes, des inondations notamment, puisque les glaciers eux se trouvent sur la terre ferme et la fonte de ceux-ci sera bien un plus qui finiront dans des cours d'eau qui se jeteront en mer.
Je ne sais si je dois me réjouir de la montée des océans, parce que d'après certains calculs, la mer arriverait à une grosse dizaine de km de chez moi
, mais d'autres études font que je serais sous la mer.
ça c'est plutôt moche, enfin qui vivra verra.
Je crois bien qu'on n'évitera pas le bain de pied, j'ai lu et entendu, que même si on stoppe tout maintenant, la température de la planète va continuer à monter pendant plusieurs dizaines d'années avant de se stabiliser, pour ensuite commencer à redescendre pendant un bon siècle et demi avant de revenir à la normale.
Connais-tu cet article "des 4 vérités hebdo" -
http://www.les4verites.com/
Citation:
La terre est entourée d'une atmosphère contenant de l'oxygène et le soleil inonde de ses rayons cette atmosphère. Le rayonnement solaire transforme une partie de cet oxygène (O2) en ozone (O3). Ainsi se trouve constituée ce qu'on appelle la couche d'ozone, qui est en fait une couche d'oxygène contenant un mélange d'oxygène-ozone. Au niveau des pôles, le soleil ne brillant pas pendant six mois, il existe pendant six mois une absence de production d'ozone et la densité d'ozone diminue de 50 % environ en six mois. Le retour du soleil au printemps fera remonter la densité de l'ozone de 50 %. Or l'atmosphère des pôles, et surtout celle du pôle sud, est pratiquement totalement isolée de l'atmosphère terrestre. Il n'y a que très peu d'échanges atmosphériques. Cette moindre concentration en ozone aux pôles se trouve matérialisée sur des vues de la terre où la couleur de l'atmosphère moins riche en ozone se trouve différente de celle du reste de l'atmosphère. C'est devant de telles vues informatiques qu'on a commencé à parler du " trou d'ozone ". Or, quand l'engrais est moins abondant dans une partie d'un jardin, on n'observe aucun " trou " dans ce secteur. Mais un " trou " est bien plus utilisable médiatiquement ou politiquement qu'une " moindre concentration ".
Enfin, depuis qu'on mesure la concentration de l'ozone aux pôles, depuis quinze ans, une baisse de 0,4 % par an est observée. On ne sait si cette baisse correspond à un cycle naturel ou si elle est secondaire à la pollution engendrée par l'homme.
Puis, on a accusé certains comportements humains d'être responsables du " trou d'ozone ", donc d'un excès d'ultraviolets. En 1970, le " Concorde ", en volant dans la couche d'ozone, aurait ralenti la production d'ozone et serait devenu responsable de l'augmentation des cancers cutanés. Augmentation bien réelle de 800 % en 40 ans, mais due à la mode du bronzage sur les plages, bien antérieure à l'arrivée du Concorde. On a ensuite accusé le trou d'ozone de rendre aveugles bergers et moutons en Patagonie, juste sous le " trou " antarctique. Après vérification, ce ne sont pas les UV qui sont en cause, mais un parasite banal et bien connu qui donne les " yeux roses ".
Puis, est arrivée en 1973, l'histoire du gaz CFC (Chloro Fluoro Carbone), gaz contenant du chlore et utilisé dans les bombes à aérosols. Or, en laboratoire, le chlore détruit l'ozone. On a donc accusé, sans aucune preuve scientifique, le million de tonnes de chlore diffusé chaque année par les aérosols dans l'hémisphère nord de franchir la fantastique barrière climatique qu'est l'équateur et d'être responsable du trou au niveau du pôle sud. Il ne faut pas oublier par ailleurs qu'une seule éruption volcanique est capable d'envoyer dans l'atmosphère plus de 2 milliards de tonnes de chlore… Le CFC a cependant été interdit.
Enfin, dans le " trou " se précipiteraient les ultraviolets qui se trouveraient ensuite coincés autour de la terre par l'effet de serre. Ainsi se trouve expliqué le réchauffement actuel de la terre, alors que depuis des millénaires les périodes glaciaires et interglaciaires se succèdent.
Alors, pourquoi cet énorme " trou d'ozone ", qui n'existe pas,
se développe-t-il avec autant d'ardeur ? Au niveau économique, politique, médiatique ou scientifique, la présence du trou favorise d'immenses intérêts. Sur le plan économique, les concurrents du gaz CFC ont indiscutablement profité de son interdiction. Sur le plan politique, toute mesure spectaculaire contre le " trou " permet de récupérer aux prochaines élections les voix de ceux qui veulent un développement durable et non polluant. Sur le plan médiatique, le trou est merveilleux : l'angoisse s'y engouffre et enfle. Cette angoisse attire des millions d'auditeurs. Enfin, sur le plan scientifique, le trou est source de longues et coûteuses recherches qui assurent finances et notoriété aux laboratoires qui s'en occupent.
Plus le culte du trou d'ozone se développe, plus son fidèle clergé prospère.
On ne sait plus à quel saint se vouer.