Florent: Lepen n'a rieeeeen a voir avec le nazisme des années 40 !
C'est certe un mec un peu aigri et un peu extrème, mais ce n'est pas pour autant qu'il faut le comparer avec des crapules comme les dirigeant du 3em Reich!
Sérieusement, même si je ne l'aime pas(lepen), j'en arrive à avoir pitié de lui!
Citation:
Voila a votre avis quelle aurait été sa vie ? aurait il eu une vie normale ? les gens auraient ils fait le discernement entre l'etre humain qu'il aurait été et son nom lourd a porter ?
Ben, je pense qu'il aurait été mis à mort avec son père, oui tué par ce dernier!!!
La femme de Goebbels a "suicidé" ses enfants dans le bunker à Berlin pour ne pas qu'ils tombent entre les mains des russes!
Hitler aurait fait eeeeeexactement pareil!
Donc, cet enfant n'aurait pas eu de vie après le III reich!
Maintenant, imaginons que, comme la fille de mussolini il ai mystérieusement échappé à la mort.
La qualité de sa vie dépendrait de ou il vivrait!
En allemagne , aux états unis, ou en europe, il aurait probablement été pourchassé, marginalisé, etc... il aurait probablement changé de nom pour etre oublié!
En Amérique du sud, il aurait vécu une vie paisible, au moyen orient, il aurait été adulé et aurait obtenu un statut élevé dans la société religieuse islamiste comme beaucoups d'anciens dirigeants nazis!
Après la deuxième guerre mondiale un grand nombre de criminels nazis - on les évalue à plusieurs milliers - trouvèrent refuge dans des pays arabes, principalement en Egypte, se soustrayant de la sorte à la justice.
Ils furent mis au service de la propagande contre Israël, de la diffusion de calomnies antisémites et de l’oppression des communautés juives.
A cet égard, l’activité de Johannes von Leers, dénommé en Egypte Omar Amin, propagandiste anitsémite nazi connu, qui resta effectivement actif jusqu’à sa mort en 1965, mérite une mention particulière.
Le SS-Standartenführer Leopold Gleim, chef de Gestapo en Pologne, organisa en Egypte sous le nom de Ali Al-Nacher la police secrète, les camps de concentration dans le désert occidental et surveilla les Juifs d’Egypte. Il participa à l’édition du livre ‹Complotto contro la chiesa› en 1963, qui contenait des attaques contre les Juifs et qui fut diffusé dans le monde entier, avant tout dans le but d’influencer le concile œcuménique de Rome.
Le SS-Obersturmbannführer Bernhard Bender, qui avait été actif dans la Gestapo en Pologne et en Russie, échangea son nom pour celui de Ben Salem, et fut sous la direction de Gleim l’homme compétent dans le département politique de la police secrète égyptienne.
Le SS-Sturmbannführer Joachim Däumling, chef de la Gestapo à Düsseldorf et plus tard auprès de la police de sûreté en Croatie fut nommé conseiller au ministère de l’intérieur égyptien.
Le SS-Sturmführer Wilhelm Boekler fut rattaché au département Israël du service secret, comme le SS-Gruppenführer Alois Moser et le SS-Sturmbannführer Schmalstich ;
le chef de groupe SA, Heinrich Sellmann, fut nommé grâce à sa connaissance de la langue yiddish comme conseiller dans le service du contre-espionnage.
Quelques criminels nazis, qui avaient pris part aux meurtres des Juifs en Russie, en Pologne et dans les camps de concentration de Mauthausen, de Dachau, de Buchenwald, et de Treblinka, prirent part en tant que conseillers militaires à l’instruction de Fedajin et autres organisations terroristes ou de sabotage, ainsi le chef de brigade SS Oscar Dirlewanger, Erich Alten, Willi Berner, Baumann et d’autres.
L’officier SS Eugen Eichenberger aida Nasser en 1952 dans sa prise du pouvoir et fut nommé plus tard avec Dirlewanger garde personel de Nasser. Le docteur Heinrich Willermann, qui avait participé à Dachau à des expérimentations médicales criminelles, travaillait pour la police secrète égyptienne et était responsable du camp de concentration Samara, où, selon les déclarations des membres des ‹Frères musulmans› il continua ses expériences commencées à Dachau.
Un grand nombre de nazis fut affecté à la propagande antijuive. Parmi ceux-là, on trouvait, outre von Leers, mentionné ci-dessus, l’officier SS Friedrich Karl Wesemann, spécialiste de la science nazie des races ; Louis Heiden du service central de la sécurité du Reich (Reichssicherheitshauptamt) traduisit ‹Mein Kampf› de Hitler en arabe et assura la diffusion de ce livre parmi les officiers égyptiens et dans les pays arabes [cette traduction accompagnée d’un avant-propos du traducteur est celle qui est diffusée aujourd’hui dans les territoires sous autorité palestinienne . Le nom du traducteur quelque peu arabisé est devenu Louis Al-Hadj] ; le docteur Werner Weitschale et le baron von Harder, membres tous les deux du ministère de la propagande de Goebbels, qui s’occupaient de la propagande antijuive et antiisraélienne en Egypte ; Hans Appler qui exerçait son activité pour le congrès islamique, Franz Bartel, Werner Birgel, Albert Thielemann et Erich Bunz, ‹spécialiste› des questions juives. Le journaliste nazi Franz Bünsche, collaborateur de Alfred Rosenberg en ce qui concerne la théorie des races, continua ses activités par de nombreuses publications antijuives en Egypte et dans d’autres pays arabes.
La liste est longue, et ce n'est qu'un apercu!
Donc, Si Hitler avait eu un fils, sa vie future aurait été étroitement liée à son sort dans l'immédiate après-guerre.
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