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 Sujet du message: Re: Le mystère sur la mort d'Adolf Hitler est (encore) relan
MessagePosté: Jeu Octobre 23, 2014 13:42 
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Petit Hs mais qui pourrait aboutir à un début de piste:



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 Sujet du message: Re: Le mystère sur la mort d'Adolf Hitler est (encore) relan
MessagePosté: Mar Mai 22, 2018 07:59 
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Petit up...

Citation:
Des dents conservées à Moscou sont bien celles d’Adolf Hitler, mort en 1945

Il s’agit sans doute du cold case (affaire non résolue) le plus célèbre de l’histoire moderne. La disparition du corps du dictateur nazi a contribué à entretenir le mystère autour de sa mort. Une étude parue le 18 mai 2018 dans l’European Journal of Internal Medicine conclut que des restes humains attribués au Führer et conservés à Moscou sont bien ceux d’Adolf Hitler. Leur état confirme que celui-ci est bien mort en 1945.

Ces restes sont des éléments de mâchoires, en l’occurrence de l’os, des dents et des prothèses dentaires. Ils sont conservés en Russie aux archives d’Etat de la Fédération de Russie (GARF). Une partie d’un crâne est, lui, entreposé à Moscou aux archives du FSB (ex-KGB), les services secrets russes. Pour la première fois depuis 1946, ces autorités russes ont permis au Dr Philippe Charlier, médecin légiste et anthropologue, et à Jean-Christophe Brisard, réalisateur de documentaires, d’avoir accès en juillet et septembre 2017 à ces restes attribués à Adolf Hitler.

Le 30 avril 1945, réfugiés dans son bunker à Berlin, le Führer se donne la mort en compagnie de sa femme, Eva Braun. Leurs corps sont portés à l’extérieur et déposés à même le sol à proximité immédiate de l’entrée du bunker afin d’être brûlés, conformément aux ordres d’Hitler. Martin Bormann, son secrétaire, Otto Günsche, son aide de camp personnel, Heinz Linge, son valet, assistent à la crémation du corps. Ils déversent environ 200 litres d’essence sur les deux corps et y mettent le feu. La volonté d’Adolf Hitler était que les Soviétiques qui s’apprêtent à prendre Berlin ne puissent jamais retrouver son corps et celui de sa femme et les exhiber.

Du fait d’intenses bombardements sur le jardin de la chancellerie du IIIe Reich où se trouve le bunker, le petit groupe de fidèles du Führer ne prend pas le risque de rester à l’extérieur et de vérifier la crémation complète des corps. Les soldats préposés à cette tâche ont ensuite collecté les restes humains, puis creusé un trou près de l’entrée du bunker pour les ensevelir.

Découverte du corps le 4 mai 1945

Le 2 mai 1945, Berlin tombe aux mains des Soviétiques. Staline ordonne alors de retrouver le corps d’Hitler. Le 4 mai au matin, les corps sont découverts et une autopsie est effectuée. Les services secrets russes dissimulent les restes humains en Allemagne de l’Est jusqu’en avril 1970. C’est alors que le KBG reçoit pour mission de les faire disparaître. Seuls deux fragments échappent à la destruction : les mâchoires et une partie du crâne. Ce sont ces fragments osseux, attribués à Adolf Hitler, qui sont conservés à Moscou par le GARF (mâchoires) et le FSB (crâne). Il ne reste d’Eva Braun qu’un fragment de dent conservé dans les archives du FSB.

Comment ces éléments osseux sont-ils parvenus en Russie ? « Après l’autopsie des corps le 8 mai 1945 à Berlin par les Soviétiques, les autorités russes ont décidé d’expédier à Moscou les mâchoires d’Hitler afin de précéder à leur identification. Ils réussirent à identifier les dents comme étant celles du Führer grâce à Käthe Heusermann, l’assistante du dentiste d’Hitler et à son technicien dentaire, Fritz Echtmann », peut-on lire dans l’article publié dans l’European Journal of Internal Medicine.

Le 30 mai 1946, une opération secrète est menée à Berlin par les Soviétiques afin de vérifier à nouveau les investigations effectuées un an plus tôt. Nom de code : « Mythe ». Il s’agit alors de confirmer la thèse du suicide au cyanure car on dispose depuis d’un nouvel élément. L’équipe soviétique a en effet découvert, dans le sol à environ 50 à 60 cm de profondeur, un fragment de crâne dans le même petit cratère où les corps avaient été retrouvés un an auparavant.

Trou par balle dans le crâne

Ce crâne est porteur d’un trou. Ce nouvel indice est susceptible de modifier la conclusion officielle du premier rapport soviétique établi en mai 1945, selon lequel le Führer se serait suicidé en avalant une ampoule de cyanure. Le contre-espionnage russe n’entend pas perdre la face devant Staline et impose à ses agents de ne pas pratiquer une nouvelle autopsie sur les corps attribués à Adolf Hitler et Eva Braun, ni d’étudier le fragment de crâne avec un trou laissé par une balle aux fins de comparaison. Depuis cette époque, un morceau de crâne et des dents sont entreposés à Moscou.

Le fragment osseux crânien mesure 10,7 cm x 12 cm. Il correspond à la partie supérieure de l’os occipital et à la partie postérieure de l’os pariétal droit et gauche. Les sutures lambdoïdes et sagittales sont préservées. L’analyse de la pièce crânienne indique un âge se situant au moment du décès entre 45 et 75 ans.

L’os pariétal gauche porte un trou circulaire de 6 mm de diamètre sur sa face interne. L’orifice situé sur la face externe a une forme étoilée, avec sept fractures qui partent dans toutes les directions. Le trait de fracture le plus long mesure 2,6 cm. Aucun résidu de poudre n’est visible à ce niveau. Des traces noirâtres de carbonisation sont apparentes à la périphérie de la calotte crânienne, principalement sur le pariétal gauche et l’occipital.


L’ensemble de ces caractéristiques morphologiques permet de déduire que ce trou sur l’os pariétal gauche correspond à l’orifice de sortie d’une balle, en l’occurrence l’empreinte laissée par un projectile sur un os frais, et qu’il peut donc s’agir de la cause de la mort. Des dépôts brunâtres irréguliers sont présents des deux côtés des fragments osseux crâniens. Ils proviennent sans doute de la terre dans lequel ces os ont été enfouis.

Nombreuses prothèses


Le Dr Philippe Charlier (Université de Versailles St-Quentin-en-Yvelines) a été autorisé à examiner visuellement les deux mâchoires. Le fragment de mâchoire supérieure mesure 42 mm x 8 mm et porte un bridge en métal doré, peut-être en or, sur la seconde prémolaire droite. Trois fragments de la mandibule (mâchoire inférieure), mesurant respectivement 48 x 20 mm, 30 x 32 mm et 40 x 27 mm, portaient d’autres prothèses et étaient caractérisées par un état osseux et dentaire très dégradé, à savoir par une importante résorption osseuse et une érosion des dents dans la région des incisives.

A Moscou, le Dr Philippe Charlier a examiné plusieurs éléments à la loupe binoculaire. Il a ainsi pu remarquer que toutes les prothèses métalliques étaient porteuses de micro et macro-stries et de micro-traumatismes caractéristiques d’un usage prolongé.

Dépôts de tartre dentaire


De plus, le légiste a observé des dépôts diffus de tartre de couleur verdâtre, principalement à la jonction émail-cément, autrement dit sur la zone qui sépare la couronne dentaire du revêtement extérieur de la racine. Par ailleurs, de très fins dépôts de couleur bleue, d’un à 3 mm de long, étaient présents sur les surfaces occlusives de prothèses dentaires métalliques, ainsi que sur les surfaces en de fausses dents en céramique occupant la partie postérieure de l’arcade dentaire : prémolaires et molaires. En périphérie des zones brûlées, des restes de tissu organique (muscle) étaient clairement visibles.

Des fragments de tartre dentaire ont été récupérés par manipulation et grattage par le Dr Philippe Charlier. De retour en France, le légiste les a fait analyser par microscopie électronique à balayage dans le laboratoire de physique des solides (CNRS, Université Paris-Saclay, Orsay). Les analyses ont montré de nombreuses structures végétales dans la matrice (partie organique) du tartre, ainsi que des structures lamellaires. Les auteurs précisent qu’aucun élément musculaire, correspondant à ce qui serait de la viande, n’a été identifié après examen minutieux de toutes les surfaces et sections provenant des deux fragments examinés. Un résultat en accord avec le fait qu’Hitler était végétarien.

L’analyse chimique de la matrice a mis en évidence des éléments habituellement retrouvés sur des prothèses, en l’occurrence de l’aluminium et de l’or. En revanche, aucune trace de métaux lourds (mercure, plomb, arsenic) n’a été détectée.

Selon les auteurs, les structures lamellaires observés dans la matrice du tartre dentaire pourraient être en rapport avec le fait qu’Hitler souffrait de douleurs gastriques chroniques, possiblement associées à une gastrite ou un ulcère de l’estomac, et qu’il était traité par alginate et sels biliaires selon des documents retrouvés dans des archives médicales.

Examen visuel et analyses complémentaires

Comme le soulignent les auteurs, des études d’identification sur les restes présumés d’Adolf Hitler avaient déjà été publiées dans la littérature biomédicale, mais toutes avaient été menées sans qu’il fût possible de procéder à un examen visuel direct du crâne et des mâchoires, ni à un autre examen complémentaire (loupe binoculaire, microscope électronique à balayage, analyse toxicologique).

Un état dentaire très dégradé

Les dires de l’assistante et d’un technicien dentaire, ainsi que les clichés radiographiques du crâne, montrent qu’Hitler n’avait plus que quatre dents libres au moment de sa mort. Celles-ci ne portaient pas de bridge ou n’étaient pas fixées à d’autres dents adjacentes. Il s’agit de quatre incisives centrales sur la mâchoire inférieure en position 31, 32, 41 et 42.

L’os de soutien de ces dents était atteint par une très importante résorption osseuse du fait qu’Hitler souffrait d’une maladie parodontale (parodontopathie). Une couronne métallique partielle est visible sur une incisive maxillaire. Un montage métallique très bizarre, tenant compte de l’anatomie particulière de l’individu, réunit deux dents de la mâchoire inférieure.

Les chercheurs ont confronté leurs nouvelles données à toutes celles publiées dans des articles biomédicaux, des documents d’archives (radiographies du crâne, rapport d’autopsie soviétique), ainsi qu’avec les témoignages recueillis lors de l’interrogatoire par les services américains du Dr Hugo Blaschke, dentiste personnel d’Hitler, et celui réalisé par les Soviétiques de Käthe Heusermann, l’assistance dentaire. Selon les auteurs, tout coïncide.

Ils déclarent que ce qui est conservé dans les archives russes (dents et matériel associé) est authentique, autrement dit qu’il ne s’agit pas d’un faux (« cannot be a fake »), dans la mesure où tous les signes et éléments retrouvés sont caractéristiques de ce que l’on observe sur tout tissu dentaire ou prothèse (dépôts de tartre, micro-rayures, micro-abrasions, micro-cassures sur pièces métalliques, etc).

Les chercheurs n’ont pas retrouvé à la surface des dépôts de tartre d’antimoine, de plomb et de baryum, métaux lourds contenus dans les résidus d’amorces. Il n’y a donc pas de preuve de l’existence d’un tir par arme à feu au niveau de la cavité buccale. En d’autres termes, s’il y a eu tir, celui-ci a été rétro-mandibulaire (avec le canon de l’arme appliqué au haut du menton, derrière la mâchoire inférieure) ou fronto-temporal droit (arme à feu à proximité du front ou de la tempe à droite avec orifice de sortie de la balle au niveau de la tempe gauche au niveau de l’os pariétal). « On peut raisonnablement exclure un tir intra-buccal », me déclare le Dr Charlier. Selon lui, « il est probable qu’il y a eu ingestion volontaire de cyanure, puis tir par arme à feu devant l’absence d’efficacité du cyanure ».

De fins dépôts bleus

Quelle est l’origine des fins dépôts bleus sur les prothèses dentaires métalliques et l’émail ? Plusieurs hypothèses ont été proposées, sans aucune certitude en l’absence d’analyse toxicologique sur ces éléments. Il se pourrait que ces dépôts bleuâtres soient la conséquence d’une réaction chimique entre le cyanure absorbé et les alliages métalliques (or, platine, fer) des prothèses dentaires. A moins qu’ils ne se soient formés lors de la crémation du corps ou pendant son ensevelissement.

Philippe Charlier et ses collègues indiquent que lors de l’autopsie d’Hitler, aucune odeur d’amande amère (caractéristique du cyanure hydrique, incolore et volatile) n’avait été notée, malgré le fait que des éclats d’ampoule de cyanure avaient été trouvés dans les restes de sa cavité buccale. Une analyse toxicologique à la recherche de cyanure n’avait pas été réalisée par les Soviétiques. La thèse d’un suicide par empoisonnement au cyanure a donc été formulée à partir de la présence des éclats de verre d’une ampoule et sur une observation faite lors de l’autopsie. Des zones « presque noires » à certains endroits non brûlés de l’estomac et des intestins laissaient à penser qu’elles pouvaient résulter de l’action nécrosante du cyanure sur la muqueuse digestive.

Concernant le crâne, les auteurs estiment que la seule conclusion possible à partir des analyses anthropologiques réalisées en 1945 et 1946 est que ce crâne est celui d’un individu adulte, sans qu’il soit possible de déterminer son sexe et son âge.

Les mâchoires sont celles d’Hitler

En revanche, les auteurs n’ont aucun doute sur le fait que les dents examinées aux archives du FSB sont bien celles d’Hitler et que ce dernier est bien mort en 1945. « Les dents et des prothèses sont exactement dans l’état qui était les leur en 1945. L’individu n’a donc pas continué à les porter après, pendant cinq, dix, ou quinze ans, ce qui aurait nécessité des soins ultérieurs », me déclare le Dr Charlier.

Au total, « compte-tenu des éléments des mâchoires (os, dents et prothèses), la confrontation des données provenant du rapport officiel d’autopsie des archives russes, les radiographies officielles d’Adolf Hitler des archives américaines, et de données historiques supplémentaires des deux côtés [russe et américain], fournit suffisamment d’éléments preuves pour une identification définitive des restes de l’ancien leader nazi Adolf Hitler », écrivent les auteurs.

Le Dr Charlier me confie ne pas avoir assez de matériel pour extraire de l’ADN. « Dans l’avenir, cela pourrait être fait pour définitivement s’assurer que le crâne et les mâchoires proviennent du même individu », précise-t-il.

Cette étude scientifique apporte donc des éléments convaincants pour « en finir définitivement avec les théories conspirationnistes autour de la mort d’Hitler », me déclare le Dr Philippe Charlier, avant d’ajouter : « les restes des mâchoires de Moscou sont bien les siens. Ce n’était pas certain avant notre étude. Nous voulions absolument déterminer s’il s’agissait ou non d’un faux historique. Hitler est donc bien mort en 1945 ».]


http://realitesbiomedicales.blog.lemond ... t-en-1945/


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 Sujet du message: Re: Le mystère sur la mort d'Adolf Hitler est (encore) relan
MessagePosté: Mar Mai 22, 2018 18:19 
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Très très très intéressant.

Mais avec 200 litres d'essence, je pensais qu'il ne resterait plus rien à l'arrivée ... Comme quoi, la mauvaise herbe est vraiment tenace ... :|

Mais dit moi, je ne vois pas bien le prapport avec la Terre Plate. :mrgreen: :arrow:

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 Sujet du message: Re: Le mystère sur la mort d'Adolf Hitler est (encore) relan
MessagePosté: Mar Mai 22, 2018 20:24 
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Comme cela a été souligné, les bombardements soviétiques étaient très intenses. Par conséquent tout a été fait à la va vite et les fidèles ont sans doute juste eu le temps de creuser le trou et de mettre le feu et de rentrer dare dare pour ne pas se prendre une bombe sur la figure. C'est pour cette raison à mon avis que le corps n'a pas brûlé correctement.

Finalement ce n'est qu'une confirmation de ce que l'on savait déjà. Juste petit rajour : c'est Andropov, alors chef du KGB qui ordonné de brûler le reste des corps en 1970, ces derniers étaient enterrés puis déterrés dans des sites multiples secrètement pour éviter qu'une tombe permanente devienne un lieu de pèlerinage pour les nostalgiques du nazisme. Les corps ont été incinérés et les restes jetés dans la Spree.

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 Sujet du message: Re: Le mystère sur la mort d'Adolf Hitler est (encore) relan
MessagePosté: Mer Mai 23, 2018 00:39 
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Inscription: Ven Février 07, 2014 10:41
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Quelque part, encore heureux qu'il y ait eu des restes quand même, juste histoire de clouer le bec une bonne fois pour toute au conspirationnistes et autre nostalgiques.

J'espère juste qu'une fois que tout sera irréfutablement prouvé une bonne fois pour toute, ces restes seront bel et bien totalement détruit juste pour éviter qu'il y ait un certain engouement macabre de la pat de certaine personnes.

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 Sujet du message: Re: Le mystère sur la mort d'Adolf Hitler est (encore) relan
MessagePosté: Mer Mai 23, 2018 20:20 
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Inscription: Jeu Juillet 21, 2005 16:22
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J'ai écouté dernièrement un reportage sur cette histoire. Les fidèles nazis n'avaient pas assez d'essence et ils croyaient en avoir assez avec 200l, le problème c'est que l'essence ne monte pas assez en température pour bruler un corps.
Ils ont enterré les restes et planté une rangé de pin dans une foret de chênes pour se souvenir de l'emplacement.
Les chercheurs y sont allés et ont trouvé l'endroit tel que décrit par les nazis.
JE dis ça de mémoire.


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