Bonsoir,
pour rédiger cette seconde partie que est le coeur de la théorie des bulles spatiotemporelles, je ne me suis pas connecté et je n'ai pas connaissance de vos remarques depuis hier.
Malheureusement, il y aura des formules. pour ceux à qui cela file déjà des boutons je mets des formules simplifiées dans le texte et pour ceux qui le veulent, je vous mettrais quelques petites formules en pièces jointes à la fin. tout se déroule
dans le cadre du modèle que je vous avait décrit en première partie.
J'en étais resté à la formule m.X(v).C²(z) = m.c²(z) + m.X(v).(MG/R) et le but était de trouver une formule de la vitesse de la lumière l'Infini C(i) sachant qu'elle augmente quand l'intensité du champ de gravitation environnant devient faible. dans un premier temps, je simplifie la masse de la flèche m de part et d'autre de l'équation ensuite, je peux isoler
le coefficient spatiotemporel X(v) et comme la seule variable est l'altitude z,
le coefficient spatiotemporel ne s'exprime plus en fontion de la vitesse v mais en fonction de l'altitude z et donc X(v) devient X(z).
Et je trouve : X(z) = C²(z) / [ C²(z) - (MG/R) ]
X(z) est le coeffcient associé à l'altitude z en l'occurence le rayon de la Terre
C²(z) est la vitesse de la lumière à la surface de la Terre élevée au carré.
M est la masse de la Terre
G est la constante de gravitation
R est le rayon de la Terre (mesuré depuis la surface de la Terre).
Je regarde mon équation X(z).C²(z) = C²(z) + X(z) et vu l'objet de mes recherche, il me vient intuitivement de poser:
C²(i) = X(z).C²(z)
et par conséquent voici l'équation de la théorie des bulles spatiotemporelles :
C²(i) = C²(z) + X(z).(MG/R)
Cette équation décrit comment la vitesse de la lumière peut dimminuer quand l'intensité du champ de gravitation augmente.
Avec tous les éléments cités ci dessus, cette équation démontre qu'à l'infini, où l'intensité du champ de gravitation est nulle, la vitesse de la lumière atteint une valeur maximale que j'ai baptisée Célérité critique (mais si quelqu'un a mieux qu'il n'hésite pas hein, parce que c'est un nom de chiotte) et qui est égale à 299 792 458 .104 m/s.
C'est y pas drole quand on pense qu'on est parti à la base d'une valeur de la lumière à la surface de la Terre de 299 792 458 m/s ?
Bien sur la masse de la Terre étant infinitésimale, ceci explique cela. Mais, mon petit doigt me dit que dans l'Univers la vitesse de la Célérité critique n'est beaucoup plus importante que celle observée à la surface de la Terre. la célérité critique représente la plus grande vitesse d'expansion de l'Univers et je la soupcçonne d'avoir été beaucoup plus importante
par le passé.
plus l'intensité du champ de gravitation augmente et plus la vitesse de la lumière diminue. A la surface d'un trou noir, la vitesse de la lumière devient nulle ce qui me permet de calculer que le rayon du trou noir est égal à Ro = MG / C²(z); autrement dit, si je suis à la surface de la Terre et que j'observe les effets d'un trou noir dans le ciel, le rayon que je devrais mesurer (c'est une vue de l'esprit) par la théorie des bulles spatiotemporelles doit être égal à la moitié du Rayon de Schwarzschild.
Si je suis à l'Infini, je mesure un rayon de 4436 µm (micromètres) pour un trou noir de masse théorique égale à celle de la Terre; ce qui est très très petit. Mais, au fur et à mesure que je me rapproche du trou noir, la règle avec laquelle je le mesure devient progressivement très très très très très petite; donc au final, mon trou noir sera très très très grand.
Voyons ce qui se passe si en me plaçant à l'Infini, je lache une flèche de masse m dans le champ de gravitation d'un trou noir de masse théorique M égale à celle de la Terre; on suppose qu'en tant qu'observateurs, nous ne sommes pas soumis au champ de gravitation du trou noir.
- Au début sa vitesse est nulle et son énergie interne est égale à E(o)= m.C²(i). la flèche s'écarte de nous en dérivant doucement dans un premier temps puis, sa vitesse de chute augmente. tout au long de sa chute, la vitesse de la flèche est égale à la vitesse de libération de l'altitude considérée.
- Au fur et à mesure que sa vitesse de chute augmente, la vitesse de la lumière de son environnement diminue. a tout instant, son énergie interne E(v) = m.X(v).C²(z) = m. C²(i)
à une altitude de 6 370 999,995 564 mètres, la vitesse de la lumière est de 299 792 458 m/s et la vitesse de la flèche est de 11 187,460 m/s.
- à une altitude de 10 496 µm, la vitesse de la flèche devient maximale et comme elle est soumise à une force qui veut lui faire augmenter sa vitesse de chute davantage, la flèche commence à se désintégrer; C'est à dire que son énergie interne, matérielle car intégralement liée à la masse de la flèche, devient immatérielle.
A savoir :
l'énergie matérielle (proton, neutron, électron prositron) se propage à une vitesse strictement inférieure à celle de la lumière, et possède une masse.
l'énergie immatérielle (photon, neutrino, antineutrino) se propage à la vitesse de la lumière et est dénuée de masse. Pour simplifier la description on va imaginer que toute l'énergie irradiée par la flèche en train de se désintégrer continue de se diriger vers le trou noir.
- à l'altitude de 7 212 µm la flèche s'est entièrement désintégrée car la vitesse de la lumière est égale à la vitesse maximale de chute (quand son altitude était de 10 496 µm) et l'énergie immatérielle orginiaire de cette flèche continue de se diriger vers le trou noir à la vitesse de la lumière et elle en atteint la surface avec une vitesse nulle (le rayon du trou noir augmente puisque sa masse théorique augmente)
Fichier(s) joint(s):
tableau de calculs.png
puiqu'à priori tout ce qui tombe à la surface d'un trou noir à une masse nulle, je suppose que la masse d'un trou noir est nulle. j'ai donc envie de dire que ce n'est pas la peine d'embarquer un soleil dans les soutes puisqu'un trou noir suffit.
En conclusion, je vous dirai que la célèbre formule d'Einstein E = mc² est une énergie potentielle de gravitation.
Bonne soirée à tous.
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'Infinie.png
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coefficient spatiotemporel X(z).png
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formule de la Célérité critique.jpg