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 Sujet du message: Mars : échec du quatrième essai pour détecter Beagle-2
MessagePosté: Sam Décembre 27, 2003 08:26 
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Mars: échec du quatrième essai pour détecter Beagle-2

samedi 27 décembre 2003, 3h34

LONDRES (AP) - Toujours aucune nouvelle de l'atterrisseur Beagle-2. La quatrième tentative de contact destinée à capter un signal du robot envoyé sur la planète Mars par l'Agence spatiale européenne (ESA) a échoué tard vendredi.

Les efforts déployés vendredi par l'engin spatial Mars Odyssey de la NASA et plus tard par l'Observatoire britannique de Jodrell Bank n'ont rien donné vendredi: aucun signal de l'atterrisseur Beagle-2 n'a été détecté depuis jeudi 2h45 GMT, l'heure à laquelle l'engin devait se poser sur la planète rouge.

Beagle-2 dont la mission était de détecter des signes de vie sur Mars aurait dû ouvrir ses panneaux solaires et entrer en communication avec la Terre quelques heures après son arrivée sur Mars. Mais pour l'heure le module reste muet et les scientifiques en parviennent pas à le localiser.

Quatre tentatives ont d'ores et déjà été effectuées, sans succès: la première jeudi matin par l'engin de la NASA, Mars Odyssey; la seconde jeudi soir par le radiotéléscope de l'Observatoire de Jodrell Bank à Cheshire, en Angleterre; la troisième vendredi matin par Mars Odyssey et la quarième vendredi soir par les scientifiques de Jodrell.

Les scientifiques de l'Agence spatiale européenne (ESA) n'ont pas commenté ce quatrième échec vendredi, mais un peu plus tôt dans la journée, ils ont fait preuve de confiance et d'optimisme, assurant qu'il était encore trop tôt pour perdre espoir.

"Nous n'allons en aucune manière abandonner tout de suite", avait souligné à Londres Colin Pillinger, l'un des principaux responsables du projet, après le deuxième échec vendredi matin. Il a rappelé que son équipe disposait encore de treize tentatives pour entendre Beagle avant que son vaisseau-mère, Mars Express, n'essaie à son tour d'établir le contact.

"Nous allons poursuivre nos tentatives jusqu'à ce que Mars Express soit en mesure de nous remplacer, chose qui n'interviendra pas avant le 4 janvier", a ajouté M. Pillinger.

La sonde spatiale européenne Mars Express, qui s'est correctement placée en orbite autour de la planète rouge le matin de Noël, reste le meilleur moyen de recevoir un signal de Beagle-2. Car contrairement à Mars Odyssey et au radiotéléscope de Jodrell, son système de communications a été fabriqué pour recevoir les transmissions du module, a rappelé M. Pillinger.

Que Beagle-2 soit perdu ou non, la mission Mars Express reste "une réussite fantastique", a salué vendredi le commissaire européen à la Recherche, le Belge Philippe Busquin. AP

Source : Yahoo!Actualités


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MessagePosté: Sam Décembre 27, 2003 16:50 
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Et après ils disent que c'est pour bientot les humains sur mars :lol: en fait peut-être qu'ils n'en disent pas plus car ils savent ce qui est arrivé à la sonde, comme une ancienne sonde martienne avait filmé un ovni avant la perte de contact. :/

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MessagePosté: Sam Décembre 27, 2003 18:41 
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Hugamumbo a écrit:
en fait peut-être qu'ils n'en disent pas plus car ils savent ce qui est arrivé à la sonde, comme une ancienne sonde martienne avait filmé un ovni avant la perte de contact.


que veux-tu dire par là, qu'il y a des E.T sur Mars, mais alors pourquoi ont-ils pu y aller avant avec un robot avec mince je ne sais plus son nom en tête je suis un tête en l'air :roll:

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MessagePosté: Sam Décembre 27, 2003 18:46 
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Oui j'affirme, qu'il y a des E.T sur Mars. Ce n'est pas toutes les sondes qui ont eu des problèmes sur mars, mais je veux seulement dire que ce n'est pas la première qui a ce genre de problème et il est clair que l'une d'elle a filmé quelque chose là-bas

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MessagePosté: Sam Décembre 27, 2003 19:22 
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Si seulement il y avait une deuxième puissance mondiale on serait aller sur mars y a longtemps!
(Usa/URSS pour aller sur la lune)
Et puis je vois pas pourquoi il y aurait des petits hommes vert sur mars!


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MessagePosté: Sam Décembre 27, 2003 19:36 
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Tarot même s'il y avait une deuxieme puissance mondiale ce serait pareil, il y a des probleme comme la nourriture ou l'eau. Tu imagines toute la quantité de nouriture qu'il faudrait : déja il y a 1 ans de voyage, aller et retour... Alors tu vois je crois qu'on est pas encore prêt.

Et pour Hugamumbo je n'ai jamais entendu parler de la sonde qui avait filmé un ovni et quand tu dis :

Citation:
]il est clair que l'une d'elle a filmé quelque chose la bas
J'aimerais bien voir les images.

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MessagePosté: Sam Décembre 27, 2003 19:43 
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J'ai souvent vu des reportages sur les incidents sur mars enfin je crois que j'ai déja trouvé quelques sites traitant de ce sujet, si je les retrouves je te fait signe. :wink:

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MessagePosté: Sam Décembre 27, 2003 23:52 
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Liste des sondes martiennes :

Échec au lancement : explosion en vol, non-séparation de la coiffe, les causes d'échec au lancement ne manquent pas. Ce type d'échec est probablement le plus frustrant. Avant même que la mission commence, tout est déjà fini, et des années d'efforts sont réduites en fumée en une fractions de seconde. Encore aujourd'hui, le lancement est un moment aussi excitant que redouté ...

Marsnik 1 (1960)
Marsnik 2 (1960)
Mariner 3 (1964)
Mars 1969 A (1969)
Mars 1969 B (1969)
Mariner 8 (1971

Échec en orbite terrestre : après un décollage réussi, la sonde se retrouve souvent temporairement en orbite terrestre. Pour rejoindre Mars, elle doit encore s'extraire du champ de gravité de notre planète. Il suffit alors d'une défaillance d'un étage supérieur ou d'une mauvaise programmation pour que l'engin spatial se retrouve prisonnier de la Terre. Et après quelques révolutions, la sonde finit immanquablement par s'abîmer sur notre monde

Spuntnik 22 (1962)
Spuntnik 24 (1962)
Kosmos 419 (1971)
Mars 96 (1996)

Départ trop tardif : les départs vers la planète Mars ne peuvent avoir lieu qu'à des moments bien précis, que l'on nomme fenêtre de tir. Si cette période est dépassée, il faut patienter deux années supplémentaires ! On peut bien sûr lancer la sonde en désespoir de cause, mais étant donnée la nature implacable de la mécanique céleste, celle-ci n'aura pas la moindre petite chance d'atteindre son objectif

Zond 3 (1965)

Échec durant le trajet Terre - Mars : le voyage vers la planète rouge s'étale sur de nombreux mois, une durée suffisamment longue pour qu'un pépin survienne. Et les caractéristiques du milieu spatial (vide, écart thermique) n'en font pas un environnement de tout repos. Une malencontreuse collision avec une météorite peut aussi provoquer de sérieux dégâts et dévier la sonde de sa trajectoire.

Mars 1 (1962)
Zond 2 (1964)
Phobos 1 (1988)

Échec lors de la manœuvre d'insertion orbitale : avec le lancement, la mise en orbite constitue la phase la plus critique de la mission. Il s'agit pour la sonde de freiner suffisamment pour être happée par le champ de gravité martien. Une mauvaise trajectoire, un freinage trop timide ou au contraire trop appuyé, et c'est la catastrophe. L'engin rate la planète, ou rentre en collision avec elle.

Mars 4 (1973)
Mars Observer (1992)
Mars Climate Orbiter (1998)
Nozomi (1998)

Échec à l'atterrissage : Si la mise en orbite est la bête noire des orbiteurs, l'atterrissage est celle des stations au sol et des rovers. Lors de cette phase où s'enchaînent des évènements d'une incroyable complexité, l'erreur n'a pas droit de cité. Un grain de sable dans les engrenages, et la surface martienne peut se prévaloir de posséder un nouveau (et très coûteux) cratère d'impact .

Mars 2 atterrisseur (1971)
Mars 6 (1973)
Mars 7 (1973)
Mars Polar Lander (1999)
Deep Space 2 (1999)

Quand la planète rouge s'en mêle : comme si cela ne suffisait pas, Mars elle-même peut décider de jouer les troubles fêtes. Son arme préférée n'est autre que la tempête de poussière. En recouvrant tout le globe d'un manteau opaque, une tempête peut parfaitement ruiner la mission d'un orbiteur. La modification des paramètres atmosphériques peut aussi compromettre un aérofreinage.

Mars 2 orbiteur (1971)
Mars 3 orbiteur (1971)

Défaillance prématurée des systèmes de bord : ce n'est pas tout d'arriver à bon port, il faut encore pouvoir effectuer sa mission. Si la qualité de fabrication n'est pas au rendez-vous, la sonde risque le délabrement. Au mieux les instruments lâchent les uns après les autres, au pire on perd définitivement le contact. Et comme la loi de Murphy s'applique aussi là-bas, cela arrive généralement au moment le plus important.

Mars 3 atterrisseur (1971)
Mars 5 (1973)
Phobos 2 (1988)

Mission réussie ! Lorsque l'on voit les obstacles qui jalonnent le trajet Terre - Mars, on comprend facilement la joie et les larmes des personnes impliquées dans une mission martienne lorsque celle-ci est un succès. Dans l'histoire de l'exploration martienne, les réussites sont relativement peu nombreuses. Mais lorsqu'une sonde parvient à se frayer un chemin jusqu'à la planète rouge, le résultat dépasse bien souvent les espérances les plus folles des ingénieurs et scientifiques.

Mariner 4 (1964)
Mariner 6 (1969)
Mariner 7 (1969)
Mariner 9 (1971)
Viking 1 (1975)
Viking 2 (1975)
Mars Global Surveyor (1996)
Mars Pathfinder (1996)

Mission en cours:

Mars Odyssey (2001)
Mars Express (2003)
Beagle 2 (2003)
Spirit (2003)
Opportunity (2003)

Source : Sondes martiennes


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MessagePosté: Sam Décembre 27, 2003 23:54 
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Tarot même s'il y avait une deuxieme puissance mondiale ce serait pareil, il y a des probleme comme la nourriture ou l'eau. Tu imagines toute la quantité de nouriture qu'il faudrait : déja il y a 1 ans de voyage, aller et retour... Alors tu vois je crois qu'on est pas encore prêt.


Il faut quand meme dire que le budget pour les agence spatials n'est pas tres consequents!
Donc c'est pas avec un budget minable que l'on peut trouver d'autre source d'energie pour se deplacer dans l'univers.


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MessagePosté: Dim Décembre 28, 2003 09:53 
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des ET sur mars? je ne sais pas pourquoi, mais j'ai un gros doute. Bon, personne ne peu rien savoir à ce sujet, ou alors peut être des cocos de la nasa :d. Non, je pense que sur mars, on s'apercevra bientôt qu'elle a du heberger ya un beau bout de temps une vie embryonaire, semblable à celle que la terre a connu sur ses débuts. Je pense que s'il y a des extra terrestre, ils sont à l'exterieur de notre systeme solaire. S'ils avaient vécu sur mars à "temps plein", je crois que d'une manière ou d'une autre, on l'aurait remarqué non?

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MessagePosté: Dim Décembre 28, 2003 11:19 
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Tarot a écrit:
Donc c'est pas avec un budget minable que l'on peut trouver d'autre source d'energie pour se deplacer dans l'univers.


Il est à remarquer qu'actuellement la NASA travaille dur à la réalisation de nouveaux moyens de propulsions dont certains sont au point. Il faut bien dire que lorsque ceux-ci seront mis en application (actuellement à l'essai sur des satellites) pour des plus gros vaisseaux cela va tout de même changer les perspectives des voyages vers Mars. Ils vont pouvoir y aller beaucoup plus vite avec une fiabilité des propulseurs nettement accrue.

Citation:
Un humain sur Mars en 2010 grâce à la propulsion nucléaire ?
Il semblerait que Georges Bush, président des Etats-Unis, va annoncer le 28 Janvier la création d'un projet nommé Prometheus Project ayant pour but de développer la propulsion nucléaire dans l'espace.

La NASA a demandé au congrès américain une augmentation "très significative" des fonds pour le développement des systèmes de propulsion nucléaire. Georges Bush pourrait donc annoncer la nouvelle lorsqu'il donnera le budget 2003 de la l'agence spatiale américaine le 28 Janvier.

Ainsi, les américains pourraient envoyer des hommes sur Mars en 2010 en raccourcissant considérablement la durée du voyage Terre-Mars grâce à une fusée à propulsion nucléaire.
Le voyage avec un vaisseau utilisant les technologies des fusées actuelles mettrait 6 mois alors qu'avec une propulsion nucléaire, le voyage ne durerait plus que 2 mois !

La NASA et la Maison Blanche ont donc décidé de donner grand un coup de pouce au programme spatial. S' il se réalise, le projet Prometheus permettra de garantir de très grands progrès futurs pour l'exploration spatiale. Cela fait en effet plus de 40 ans que le système de propulsion chimique est utilisé et bloque les rêves les plus fous de l'aventure spatiale. Mais, "avec le nucléaire, l'exploration ne sera limitée que par notre imagination" assure l'administrateur de la NASA.
Reste à voir le problème écologique que peut engendrer le nucléaire dans l'espace...

Source : Futura-Sciences


La propulsion nucléaire est quelque chose de connu, étudié depuis pas mal de temps et parfaitement réalisable. De nombreux projets et études ont déjà été réalisés.

Avez-vous été voir le topic suivant : http://www.paranormal-fr.net/forum/viewtopic.php?t=1219

En ce qui concerne les extraterrestres, imaginons qu'ils existent et ont des intérêts quelconques dans notre système solaire, il est plus que probable qu'ils aient établi une base avancée dans notre système. Où, sur ou à l'intérieur d'une lune de Jupiter par exemple, ce ne sont pas les lunes qui manquent dans notre système.

Il faut bien dire que la malchance de se faire repérer par nous est plus qu'infime, quand on pense qu'un gros astéroïde vient de frôler la Terre à la moitié de la distance de la Lune et qu'il n'a été remarqué qu'après son passage... De plus,ne doutons pas que leurs vaisseaux soient équipés de techniques furtives ou d'occultations qui les rendent indétectables même si nous les avons sous le nez.

Ils pourraient être aussi bien sur Mars dans une base souterraine que personne n'en saurait rien, ce ne sont pas ces quelques malheureux robots limités que nous envoyons sur Mars qui pourraient les inquiéter et des voyages habités non plus d'ailleurs. Il suffit d'une base souterraine bien dissimulée dans un des profonds canyons de Mars où les hommes n'iront absolument pas mettre les pieds par sécurité et limitation des moyens techniques. Ils sont peut-être occupés à se marrer en examinant Beagle 2 pour voir où en sont ces êtres de la planète bleue au niveau technologie pointue et se disent qu'ils peuvent être tout à fait rassurés. :wink:


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MessagePosté: Lun Décembre 29, 2003 09:00 
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Citation:
Tempête sur Mars : une accalmie ?

le 28-12-2003 à 19:02

Depuis début décembre, une tempête de poussière sévit à la surface de Mars. De jour en jour, la tempête a gagné du terrain faisant craindre le pire pour les prochains atterrissages sur Mars. Les spécialistes avaient soutenus que cette tempête de poussière était saisonnière et ne menaçait donc pas la planète entière comme ce fut le cas il y a deux ans, ce qui semblerait se confirmer actuellement.

En effet, selon les dernières observations de la sonde Mars Global Surveyor, qui gravite actuellement autour de la planète rouge, la tempête de poussière semblerait se calmer et les foyers où la tempête paraissait violente sont apparemment en train de disparaître. La dernière carte, réalisée grâce aux données glanées en orbite par le spectromètre TES de la sonde, date du 24 décembre :

À cette date, les sites d’atterrissage de Beagle 2 et de Opportunity sont encore embrumés dans la poussière martienne. Terra Meridiani, où se posera le second rover de la NASA, semble le plus sévèrement atteint par la tempête comme le montre le dernier cliché qu’a réalisé Mars Global Surveyor en survolant le site d’atterrissage d’Opporunity

Selon le Malin Space Science Systems (MSSS), qui propose sur son site un suivi régulier de la tempête, le ciel de Meridiani restera encore poussiéreux durant les prochaines semaines. Le véhicule robotisé de la NASA y atterrira le 25 Janvier, ce qui laisse un laps de temps convenable pour que le ciel soit dégagé lorsque Opportunity débarquera.

Le site d’atterrissage du rover Spirit, le cratère de Gusev, reste quant à lui indemne de toute rafale. Son atmosphère est quelque peu poussiéreuse du fait des tempêtes qui sévissent à plusieurs centaines de kilomètres de là mais selon les prévisions du MSSS, le ciel du cratère Gusev restera clair durant les prochaines semaines. Une excellente nouvelle puisque dans une semaine, Spirit atterrira en plein centre de ce cratère d’impact.

Le site d’atterrissage d’Isidis Planitia où s’est normalement posé le petit atterrisseur britannique Beagle 2 a subi une rafale de poussière le 21 Décembre. Durant la semaine du 20 au 26 l’atmosphère de la région est restée assez chargée en poussière. Beagle s’étant posé le 25 décembre, il serait possible que les grains de poussières en suspension dans l’atmosphère aient attaqué et détérioré son bouclier thermique lors de l’atterrissage, conduisant à un chauffage trop intense du lander. Cette hypothèse avait été avancée lorsque les conséquences possibles de la tempête sur les sondes avaient été étudiées, nous n’avons cependant aucune indication actuellement sur le silence de Beagle 2 et cette théorie doit être avancée avec prudence.
Le ciel d’Isidis Planitia devrait rester poussiéreux durant les deux prochaines semaines selon le MSSS.

Source : Futura-sciences


On pourrait (presque) croire que la planète Mars ayant remarqué l'approche des "intrus", se défend en créant des tempêtes de poussières impénétrables à sa surface.


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MessagePosté: Lun Décembre 29, 2003 19:29 
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De plus,ne doutons pas que leurs vaisseaux soient équipés de techniques furtives ou d'occultations qui les rendent indétectables même si nous les avons sous le nez.

Je pense que c'est un raisonement trop humain que tu a la. En admettant qu'il y ai des ET dans notre système solaire, je ne pense pas qu'il faille appliquer à leurs méthodes d'approche nos méthodes de pensées. C'est humain que de haïr tout ce qu'il ne connait pas, de faire la guerre à tout ce qu'il trouve, et de vouloir se cacher de tout ce qui pourrait le voir. Les ET ont certainement un mode de pensée totalement différent, et n'ayant rien à voir avec le notre. Peut être seraient-ils aveuglément amical, comme ses animaux sauvages qui se faisaient massacrés sans réagir, parce qu'il ne connaissaient pas les humains, ou bien profondément agressif, comme dans les 3/4 des films où l'humain se figure être l'inocente victime d'un cruel alien (marrant j'aurais tendance à croire en l'inverse non?), ou bien encore peut être auraient-ils un comportement totalement différend, ni amical, ni agressif, mais une autre notion que notre esprit ne pourrait pas comprendre, ou du moins une notion que nous ne connaitrions pas encore, ou que nous aurions oublié, que sais-je?
Tout ca pour dire que l'hypothèse de vaisseau furtif spécialement pour nous est à rejeter, je trouve. Déjà, cela impliquerai qu'ils aient longuement étudier nos méthodes de détections, qu'ils aient créé des vaisseaux spécialement pour passer inaperçu à nos yeux, et qu'ils aient la volonté de rester cacher à nos yeux.
Si leurs vaisseaux sont furtifs à nos yeux, ce peut être par accident, en utilisant une matière que nous ne detectons pas, ou pour une autre raison quelconque, mais je ne pense pas qu'il faille voire dans les ET une vaste menace intergalactique à notre encontre.

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MessagePosté: Lun Décembre 29, 2003 23:31 
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Cela c'est ton raisonnement, mais voici le mien. Je pars du principe que des êtres intelligents dominent leur planète. Ils sont apparus primitifs et dénués comme nous. Je pense que peu importe où est apparue une vie appelée à devenir dominatrice et intelligente, le processus d'évolution technologique doit passer par des stades comme nous.

Pour évoluer et prendre le dessus, ils ont dû se battre et s'imposer pour survivre et progresser pour en arriver à leur niveau avancé. A moins, qu'il ne soit issu d'une planète où il n'existait ni concurrence, ni prédateur. Mais dans ce cas, je crains que dans ce contexte, l'évolution soit lente, voire quasi inexistante.

Imagine des êtres sur une planète édénique, avec une température idéale, des conditions impeccables, sans prédateur, où il n'y a qu'à tendre la main pour manger, la vie est idéale et d'une facilité déconcertante, pas besoin de cultiver, de s'abriter, de chasser. Qu'est-ce que des conditions pareilles vont donner, des êtres à évolution lente qui n'ont pas besoin de se creuser la tête pour survivre, des proies .

Au contraire, des êtres qui doivent se battre pour vivre, manger, ce qui provoque l'évolution technologique ont toutes les chances de devenir les dominants, ceux-là ce sont les prédateurs.

Il y a donc à parier que si des races extraterrestres avancées existent, ce sont également des prédateurs comme nous, mais peut-être que leur société étant plus ancienne que la nôtre, ils ont acquis de la sagesse.

Imaginons qu'ils aient les capacités de se déplacer sur des distances dont nous ne pouvons même pas rêver, peut-être en explorateur, pourquoi pas ? Ils savent qu'ils peuvent rencontrer des êtres agressifs avec une technologie au même niveau que la leur et qu'ils pourraient se faire agresser, donc ils disposent sur leur vaisseau de systèmes d'armement et des dispositifs de contre-mesures. Il existe d'ailleurs des exemples ou un ovni poursuivi par un avion à désintégré celui-ci, les débris ont été retrouvés sur des kilomètres.

Maintenant, ils veulent peut-être ne pas être vus pour ne pas être confrontés à nous, car en cas d'agression de notre part, ils seraient peut-être obligés d'en arriver à utiliser leur armement et ils n'y tiennent pas.

C'est peut-être humain, mais je pars donc du principe, que tout être vivant à notre niveau ou supérieur à nous est forcément un "dominant" sur sa planète, donc un prédateur potentiel. Pire, ils sont peut-être dénués de tout sentiment de type humain et nous sommes tellement négligeables pour eux qu'ils nous laissent tranquilles. Ils viennent chez nous uniquement dans un but scientifique et de temps en temps se font déranger par nous dans leur travail et doivent jouer au chat et à la souris (mais qui est la souris ?).

Admettons qu'ils sont pacifiques, mais ils ne sont tout de même pas fous et innocents au point de s'aventurer dans l'espace lointain sans la moindre défense, les mains dans les poches comme des naïfs.


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MessagePosté: Lun Décembre 29, 2003 23:52 
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J'avou, c'est un point de vue qui se défend. Même très bien. Mais personnelement, je reste sur mon avis: une race extra-terrestre pourrait être tellement différente de la notre, que toute notion de prédateur/proie n'existerait pas. Certes dans le cas des humains, ce rapport a été prédominant dans notre évolution. Ton raisonement est tout à fait exact. Si nous n'étions pas obligé de chasser, ou de nous débrouiller pour survivre, jamais nous n'aurions eu la motivation nécessaire pour évoluer jusque là.
Mais l'évolution dépend de la motivation, pourrait-on dire. Aussi une civilisation extra-terrestre totalement différente pourrait tout à fait être pourvue de motivations tout autre que celle-ci, et que nous serions bien en peine d'imaginer. De ce fait, son comportement resterait totalement incompréhensible à nos yeux.
Maintenant, tout cela dit, l'univers est vaste. Peut être certaines civilisations répondent à ton raisonement, et peut être d'autres encore répondent au mien. Mais si une civilisation s'approchait à intervalle régulier de notre planète, pour nous étudier, pour nous surveiller, ou pour préparer une attaque, ou encore pour prévoir une attaque de notre part, je pense que à un moment ou autre, elle aurait fait une erreur, et se serait révélé à nos yeux. Nul n'est parfait. Il y a eu de nombreux témoignages sur les ovnis, mais je n'en ai encore vu aucun qui m'ai véritablement convaincu. Aussi j'ai du mal a accepter l'hypothèse que nous soyons surveillé par des ET ayant un mode de pensée prédateur/proie. Cela reste une possibilité aussi acceptable que toute hypothèse, mais je pencherai plutôt pour la théorie d'une façon d'agir totalement différente de la notre.

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MessagePosté: Mar Décembre 30, 2003 09:20 
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D'accord, match nul. :)

Nos deux points de vue sont défendables et si ET il y a, il est probable que les deux opinions s'appliquent, mais la vigilance est de mise. Quand tu vois les problèmes raciaux injustifiés d'ailleurs que nous avons sur Terre, on s'imagine ce que pourrait donner un contact avec des ET.

Imagine, le simple fait de sourire (montrer les dents) peut être interprété comme un signe d'agressivité et d'attaque imminente, chez les grands singes c'est d'application, alors pourquoi pas dans d'autres races.

Tiens, d'ailleurs du trouveras ici un document format pdf que tu peux lire ou télécharger concernant les possibilités de vies ET : Space connection


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MessagePosté: Mar Décembre 30, 2003 09:42 
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Citation:
Un cratère pourrait être à l'origine du silence de Beagle-2 --par Jill Lawless--

AP | 29.12.03 | 17:12


LONDRES (AP) -- Le gouvernement britannique a réaffirmé lundi son engagement en faveur de la recherche de vie sur Mars, malgré le silence persistant de l'atterrisseur Beagle-2, supposé s'être posé le jour de Noël sur la planète rouge. Les responsables scientifiques de cette mission européenne n'ont toutefois pas renoncé à établir un contact avec l'engin, qui pourrait se trouver au fond d'un cratère martien.
«Quand nous avons choisi ce site, nous nous sommes efforcés d'éviter tous les cratères évidents que nous pouvions voir», a expliqué lundi Colin Pillinger, chef de la mission, lors d'un briefing. «Mais on ne peut pas éviter tous les cratères de Mars...»
La sonde américaine de la NASA, Mars Odyssey, en orbite autour de la planète, est passée cinq fois au-dessus de l'endroit où les scientifiques espèrent que Beagle-2 s'est posé, sans enregistrer de signal. Un autre survol était prévu mardi aux alentours de 7h24 GMT.
Les puissants radio-télescopes de l'Observatoire Jodrell Bank (Angleterre) et de l'Université de Stanford (Californie) ont de leur côté de nouveau balayé en vain la surface de Mars, guettant le signal distinctif du robot, composé par le groupe britannique Blur.
«Nous sommes certes déçus que tout ne se passe pas comme prévu, mais nous sommes déterminés à poursuivre la recherche, pour établir un contact avec Beagle-2 mais aussi pour répondre à la question de savoir s'il y a eu de la vie sur Mars», a déclaré le secrétaire d'Etat britannique à la Science, Lord Sainsbury. «Sur le long terme, nous avons besoin de travailler avec l'Agence spatiale européenne (ESA) pour nous assurer qu'un Beagle-3 puisse être conçu.»
L'atterrisseur de conception britannique Beagle-2 a été largué le 19 décembre par le vaisseau Mars Express et devait atterrir à la surface de la planète rouge au matin de Noël. D'un poids de 67kg et doté d'un bras articulé pour prélever des échantillons de terre et de roche, il était censé déployer ses panneaux solaires et émettre un signal confirmant son arrivée quelques heures après s'être posé.
Colin Pillinger a précisé que son équipe avait reçu une nouvelle image plus détaillée du lieu où l'engin se serait posé. On y distingue un cratère d'un kilomètres de large, situé dans la zone ciblée d'une superficie de 70km sur 10km non loin de l'équateur martien.
Selon le chef de la mission, il est possible, même si la probabilité est mince, que l'atterrisseur soit empêché de communiquer en raison de sa présence au fond d'un cratère. «Ce serait une situation incroyablement malchanceuse», a-t-il admis.
Le scientifique Mark Sims a assuré devant la presse que ni la météorologie martienne ni l'horloge intégrée de Beagle n'était à l'origine des problèmes rencontrés par l'engin. Il a en revanche reconnu que le logiciel de l'horloge pouvait être défaillant. Une manoeuvre de relance du programme devait être tentée mercredi.
«Nous travaillons sur l'hypothèse que Beagle-2 se trouve à la surface de Mars et que, pour une raison ou une autre, il ne parvient pas à communiquer avec nous», a ajouté Mark Sims.
Les responsables du projet estiment que Mars Express offrira la meilleure chance de contacter l'atterrisseur lorsqu'elle gagnera une orbite moins élevée le 4 janvier.
La mission de contrôle de l'ESA à Darmstadt (Allemagne) va allumer mardi les moteurs de Mars Express pour modifier son orbite. L'objectif est de la faire passer au-dessus d'un des pôles martiens, une manoeuvre nécessaire pour que la sonde puisse scruter la planète toute entière avec sa caméra haute résolution et son radar capable de détecter des nappes d'eau souterraines.

Source : Google Actualités


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MessagePosté: Mar Décembre 30, 2003 23:52 
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bonjours je suis nouveau sur ce forum , simplement en sait on plus sur notre jolie sonde martienne égarée ? enfin je veux dire plus mais sous le manteau ...
enfin pour tous ceux qui ce creuse la tete du genre " d ou venons nous , ou nallons nous " je viens de relire un "vieux" bouquin de jean GUITTON de l academie francaise et de i et g BOGDANOV aux editions GRASSET : dieux et la science ! toujours aussi passionnant ..
merci pour des sites comme les votres qui eclairent nos vies si sombres ..

_________________
Pauvre poussiere humaine , le vent du destin te porte inexorablement vers ta fin ...


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MessagePosté: Mer Décembre 31, 2003 08:49 
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Bienvenue land-legende, :)

Non, pas d'autres nouvelles, on pense qu'elle est peut-être tombée dans un cratère, certains disent même qu'elle pourrait avoir raté la planète carrément.

Citation:
Pourquoi Beagle 2 reste-t-il silencieux ?

Lors de ses survols du site d’atterrissage de Beagle 2, Mars Odyssey doit exactement passer à la verticale de l’engin au sol pour que ses signaux soient interceptés. Or, l’équipe de la mission ne connaît pas précisément le lieu où Beagle 2 a atterri. D’autres part, l’antenne de Beagle 2 doit être en bon état et orientée à la verticale. Si l’atterrisseur s’est posé sur un terrain penché ou a déployé ses panneaux solaires sur un rocher, la communication avec Mars Odyssey aurait peu de chance de réussir. De plus, la sonde américaine a perdu l’un de ses instruments lors de la tempête solaire en octobre dernier et il serait possible que son système de communication en ait aussi souffert.
Les radiotélescopes géants de Jodrell Bank près de Manchester et de l’université de Stanford aux Etats-Unis seraient capables de discerner les signaux émis par un téléphone portable depuis la surface martienne. Or, la puissance de l’émetteur de Beagle 2 est de 5 watts soit un peu plus que celui d’un téléphone cellulaire. Cependant, ces radiotélescopes n’ont jamais effectué une telle communication entre la Terre et Mars. En 1999, la grande parabole de Jodrell Bank avait été utilisée pour rechercher un signal de la sonde Mars Polar Lander perdue à la surface de Mars, sans succès. Les capacités de ces radiotélescopes pourraient être exagérées. De plus, si Beagle 2 s’est posé à un endroit où les communications avec la Terre peuvent être délicates, il est possible que les radiotélescopes ne puissent pas détecter son signal.

Le 4 Janvier, la sonde Mars Express sera descendue sur une orbite assez basse qui lui permettra de rentrer en contact avec Beagle 2. Selon les responsables de la mission, c’est elle qui a le plus de chance de rentrer en contact avec le lander. « Si aucun signal n’est reçu le 4 Janvier, la situation commencera à devenir préoccupante » déclare l’équipe de Beagle 2.


La stratégie de la « Beagle 2 Team »

Un groupe a été constitué au sein de l’équipe de Beagle 2 pour se concentrer sur les raisons de l’apparent échec de Beagle 2. La mission de l’équipe, baptisée "Analysis and Recovery Think Tank", est de comprendre le silence de l’atterrisseur, d’émettre des hypothèses et d’avancer des solutions possibles pour tenter de rentrer en contact avec le lander. L’équipe, en accord avec le Jet Propulsion Laboratory de la NASA, peut essayer d’envoyer notamment des messages à Beagle 2 par l’intermédiaire de la sonde Mars Odyssey. C’est ce qui a été tenté samedi matin. Lorsque la sonde américaine a survolé le site d’atterrissage de Beagle 2, elle a envoyé « dans le vide » une série de commandes destinées à remettre à l’heure l’horloge interne de Beagle 2 qui aurait pu être déréglée, désynchronisant les séquences de communications prévues.

En effet, le 19 décembre avant la séparation de Mars Express, les contrôleurs de l’ESA ont téléchargé sur Beagle 2 un programme contenant tous les horaires des communications possibles avec Mars Odyssey. Ainsi, lorsque Mars Odyssey survole Isidis Planitia, Beagle 2 se met en mode de réception et attend un signal de la sonde américaine pendant 80 minutes. Si celle-ci répond, l’atterrisseur localise Mars Odyssey et commence à échanger des informations et notamment une mélodie de 9 notes composée par le groupe britannique Blur. La sonde relaie alors immédiatement ces informations à la Terre où elles sont analysées au Jet Propulsion Laboratory.
En supposant que l’horloge interne de Beagle 2 soit déréglée, tout ce programme chronométré ne peut fonctionner.

Si l’atterrisseur britannique ne reçoit encore aucun signal extérieur à la date du 30 décembre dans la soirée, il se mettra en mode de recherche. Cela devrait augmenter les chances de le trouver selon l’équipe de la mission. Beagle 2 sera en effet capable de rentrer en communication avec un orbiteur ou un radiotélescope qui recevra son signal.

Le 5 Janvier, si Beagle 2 ne reçoit aucune réponse, il se mettra en mode de secours et émettra en permanence, sauf durant la nuit pour sauvegarder ses batteries, un signal de détresse tel un explorateur perdu dans le désert martien…

Source : Futura-Sciences


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MessagePosté: Mer Décembre 31, 2003 11:04 
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Inscription: Mer Décembre 31, 2003 10:27
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sur le site suivant:
http://www.unexplained-mysteries.com/

ils disent que la sonde est tout bêtement tombée dans un cratère.


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MessagePosté: Mer Décembre 31, 2003 14:48 
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Inscription: Mer Avril 30, 2003 10:30
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Supposition pour l'instant, mais en fait, ils n'en savent strictement rien. En théorie c'est beagle 2 qui va se mettre à envoyer un signal, s'il ne reçoit pas de la Terre, donc ils attendent en gardant espoir que la sonde va lancer son cri de détresse.


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MessagePosté: Jeu Janvier 01, 2004 14:38 
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Citation:
Beagle-2: nouvel échec d'une tentative de contact

mercredi 31 décembre 2003, 19h18

LONDRES (AP) - La sonde américaine Mars Odyssey a effectué mercredi une huitième tentative infructueuse pour entrer en contact avec le module européen Beagle-2, censé s'être posé sur la planète rouge le jour de Noël.

Toutefois, les scientifiques n'ont pas perdu tout espoir d'avoir des nouvelles de l'atterrisseur de l'Agence spatiale européenne (ESA).

Mercredi, le centre de contrôle de la mission a envoyé à Beagle-2 un message destiné à relancer son horloge interne. Un problème de logiciel dans cette horloge pourrait être à l'origine du mutisme du module. On ignorait dans l'immédiat si cette opération de relance avait réussi.

Mardi, l'ESA avait effectué avec succès une délicate manoeuvre destinée à abaisser d'ici quelques jours l'orbite de la sonde Mars Express, avec l'objectif de réussir enfin à capter le signal que le module est censé émettre depuis la planète rouge.

Jusqu'à présent, toutes les tentatives de contact sont restées vaines, notamment celles menées par des chercheurs utilisant de puissants télescopes radio à l'observatoire Jodrell Bank en Angleterre et l'université de Stanford en Californie.

Toutefois, lorsque la sonde Mars Express aura atteint sa nouvelle orbite basse le 7 janvier, sa probabilité de capter le signal de Beagle-2 sera multipliée par 100. AP


Source : Yahoo!Actualités


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MessagePosté: Ven Janvier 02, 2004 20:47 
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Merci du lien dragon, mais j'arrive pas à atteindre le site la. Mais c'est surement mon pc, je plante de partout la. Je reesserai après un petit rebootage :wink:
Pour beagle 2, je veu pas être pessimiste, mais cela me semble de plus en plus mal partit pour arriver à le contacter non? Est ce que ca ne pourrait pas être aussi tout simplement un problème au niveau de sa propre transmission? Je ne sais pas trop comment est conçu le système de communication terre/beagle2, mais je sens bien le coup du moyen de transmission abîmé par une des tempêtes de mars.

_________________
Le temps est il la roue qui tourne ou bien la trace qu'elle laisse?


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MessagePosté: Sam Janvier 03, 2004 09:00 
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Inscription: Mer Avril 30, 2003 10:30
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En fait Beagle 2 a une espèce "d'horloge interne" qui détermine ce qu'il va faire tout seul comme un grand. On envisage le fait que le logiciel celle-ci serait défaillant pour une raison encore inconnue.

Citation:
Le scientifique Mark Sims a assuré devant la presse que ni la météorologie martienne ni l'horloge intégrée de Beagle n'était à l'origine des problèmes rencontrés par l'engin. Il a en revanche reconnu que le logiciel de l'horloge pouvait être défaillant. Une manoeuvre de relance du programme devait être tentée mercredi.


Je pense comme toi, que les espoirs s'amenuisent avec les jours qui passent.


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