derek,
Je n'écarte pas le fait que ce soit réel, mais on ne peut non plus mettre à la poubelle la possibilité des hallucinations, même si c'est déplaisant pour les adeptes de la survie de l'esprit après la mort du corps.
Je suis convaincu qu'il existe des faits paranormaux un peu tous azimuts, mais il faut rester critique et objectif.
derek a écrit:
Alors, comment expliquer ceux qui ont fait des EMI alors qu'il ne croyait en rien ?
Cela n'apporte rien de concret, car il ne faut pas jusqu'à preuve du contraire être croyant pour avoir une âme ou des hallucinations.
Un petit texte intéressant :
Citation:
LA MORT CLINIQUE ET LA NDE / EMINous pouvons en toute logique nous poser la question suivante: les gens qui ont vécu une EMI, sont-ils vraiment morts?
La réponse logique doit être non. Purement et simplement parce que, dans nos schémas de pensée, on ne peut pas revenir à la vie une fois qu'on est mort. Mais où se situe alors la frontière entre la vie et la mort? Jusqu'à ce jour, aucun médecin n'a réussi à répondre à cette question car nous ne connaissons pratiquement rien de la physiologie de la mort. En somme, ce que nous savons c'est que ceux qui vivent une NDE "se sont trouvés plus près de la mort que la plupart d'entre nous."
Qu'est-ce que la mort clinique ? Par définition, on parle de mort clinique lorsqu'il n'y a plus de signe de vie, lorsque l'électroencéphalogramme est plat, ce qui veut dire que le cerveau n'enregistre plus aucun signe d'activité. Il existe cependant des cas où des patients arrivés à ce point reviennent soudain à la vie, sans qu'on puisse savoir pourquoi.
Les personnes qui ont vécu une EMI alors qu'elles ont été déclarées mortes, du fait qu'elles sont revenues à la vie, ne peuvent plus être déclarées mortes, la mort étant considérée comme un état irréversible. Cependant, les différents critères de la mort clinique étaient remplis, c'est-à-dire que le coeur s'est arrêté de battre pendant un certain temps (on parle ainsi de la règle des cinq minutes qui veut qu'on cesse toute tentative de réanimation lorsqu'il y a arrêt cardiaque pendant plus de cinq minutes. En effet, le cerveau, privé d'oxygène, subirait des dommages trop importants), il n'y avait plus aucun signe d'activité respiratoire, le corps se trouvait dans un état d'hypothermie, etc.
Il existe ainsi de nombreux cas qui remettent en question la définition de la mort clinique. Le Dr. Moody rapporte le cas "d'un homme que je connais [qui] avait été gravement blessé dans un accident de voiture. On l'avait amené au service des urgences d'un hôpital et, dès l'arrivée, on l'avait déclaré mort.
On avait mis le corps sur une civière qu'on avait poussée derrière des rideaux de la salle d'urgences. Il y était resté pendant que les médecins s'occupaient des autres blessés. Plusieurs heures plus tard, on vint chercher le corps pour l'emporter dans une autre partie de l'hôpital. Alors que la civière commençait à rouler, le corps sursauta!
Malgré l'absence de tout signal vital tel que battements de coeur ou réflexe pupillaire, cet homme était vivant... et il l'est encore à ce jour. - Source :
La mort clinique et la NDE/EMI
Je sais que cela peu sembler aberrant, mais il faut pouvoir envisager la possibilité que par exemple, si une personne dit que c'est blanc et que mille autres disent que c'est noir, que peut-être, c'est la seule personne qui dit que c'est blanc, qui à raison.
Je n'ai pas l'intention ici de démontrer (chose impossible) l'inexistence de l'esprit ou de l'âme après la mort et ce n'est d'ailleurs pas le but du message, mais bien d'inviter à ne pas perdre de vue cette possibilité, qui, il est vrai, est pour le moins inquiétante. Il vaut d'ailleurs mieux que ce ne soit jamais prouvé, car cela mettrait à mal toute notre société, par contre l'inverse aurait probablement un effet bénéfique.
En ce qui concerne les critères de détection de l'EMI, je veux simplement faire ressortir le fait qu'une personne peut répondre positivement un, des, voire à tous les paramètres sans jamais avoir fait une EMI.