Je viens de retrouver dans des papiers, un fait paru dans la Nouvelle république de Juin 2006. Je m'en vais vous le conter
.
"Nous sommes au XXIe siècle et non as au Moyen Age... Les faits se passent en 2004, chez un jeune couple habitant l'Indre. Des faits qui ont provoqué un traumatisme profond. Pendant plus d'un an, la famille a été ébranlée par des incidents à répétition qui font froid dans le dos.
Tout a commencé par la découverte de cadavres d'animaux éviscérés dans le jardin, disposé méthodiquement; canard, lapin, pigeon avec pattes de poules jointes à la dépouille de l'oiseau. La même orientation, le même scénario avec une volonté manifeste de faire peur, tout en déjouant les surveillances.
La panique s'est emparée du papa et de la maman lorsque subitement, leur enfants, chaque soir à 23H50 au rythme d'une véritable "pendule infernale", ensemble ou l'un après l'autre, se sont mis à hurler, atteints de crises d'hystérie, incontrôlables, comme subitement dotés d'une force "venue d'ailleurs".
Les médecins consultés n'ont pu donner d'explications, les examens des gamins ne révélant aucunes anomalies. Les cadavres d'animaux se multipliant et les cris d'enfants persistant au quotidien, les parents, sur indication d'une relation, prirent contact avec un prêtre de l'Indre excerçant en paroisse.
Le religieux se déplaça au domicile des victimes de ces phénomènes, prononça une messe en latin: un office en dehors des rites normaux de l'église. Passons sur toutes les péripéties qui ont suivi... Entretiens au presbytère, nouvelle visite du prêtre dans la maison perturbée avec cette fois une démarche "anti diable" plus marquée: portes et fenêtres enduites d'huile et plusieurs endroits du jardin saupoudrés de sel. Autre cosigne: mettre de l'eau bénite sue le front des enfants lors des crises d'hystérie du soir.
Ne parvenant pas à maîtriser le problème, le prêtre indrien alla jusqu'à suggérer aus marents malheureux de vendre leur maison pour fuir les mauvais esprits, ce qu'ils refusèrent de faire. Pour avoir des preuves et démontrer à leur entourage qu'ils n'étaient pas devenus fous, ils filmèrent les enfants lors des crises de 23H50 et les cadavres éviscérés des animaux. Les vistimes de ce harcèlement s'adressèrent au "prêtre officiel" du diocèse, chargé des démarches d'exorcisme; celui-ci fit preuve d'un certain scepticisme à l'énocé des faits.
Que se passa-t-il ensuite ? Le papa et la maman ont décidé de rompre leurs relations avec le prêtre de l'Indre étant intervenu chez eux. Deux chagements (mort et déménagement) ont eu lieu dans leur quartier... Et aujourd'hui les enfants ont retrouvé calme et sérénité. Pourquoi ? Entre Dieu et diable, on n'aura certainement jamais la réponse..."
Voilà, si vous avez des avis... Je vais voir s'il y a plus d'informations là dessus.